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Islam et violence

Les victimes du Psychiatre islamiste de Fort Hood vont provoquer une immense inquiétude et compromettre encore plus les relations difficiles qu'entretiennent les pays occidentaux avec les pays islamistes. Les conséquences seront dramatiques pour l'Amérique et pour le monde entier. 

Le moins que l'on puisse dire c'est que « Fort Hood » démontre à l'évidence que l'islam est une religion archaïque qui a retourné contre les occidentaux  le mythe du sacrifice. Celui ci,  tout au long de l'histoire humaine aurait « protégé » l'homme de sa violence. Contrairement aux autres religions, qui comme le christianisme y ont renoncé, pour l'islam, le sacré c'est justement le rituel de la violence. Le tout, ici et maintenant,  est de ne pas se retrouver dans la peau du « bouc émissaire » occidental involontaire qui devrait par son sacrifice résoudre le désordre collectif et rétablir la « communauté des croyants ».

Il faut admettre en effet qu'ayant renoncé à cet aspect de la violence l'occident judéo-chrétien et issu des lumières,  se trouve démuni devant le terrorisme qui l'oblige à mesurer que le chemin parcouru depuis 2000 ans peut être effacé en quelques décennies. L'humanité, si radicalisation judéo-chrétienne il y a,  peut se retrouver  en panne « d'humanisme » et redécouvrir la barbarie des origines. Les juifs, et en particulier les israéliens, peuvent sombrer dans la violence « rédemptrice » si le « problème palestinien » n'est pas résolu dans les délais les plus brefs. Qui sait alors où l'enchaînement infernal des rétroactions positives, le vertige nihiliste des terroristes, entraînerait l'humanité.    

L'Amérique, et l'occident en général, a le plus grand intérêt à se retirer au plus vite des bourbiers en terre d'islam.

 

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