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Liberté d'expression

  • La guerre des castes ou le mépris du peuple !

    Le pitoyable spectacle que donne la France et son Président traduit la Guerre des castes.
     
    Réfléchissez-y. Monsieur Macron a fait réprimer avec une brutalité inouïe le mouvement dit des "Gilets jaunes" par le sinistre monsieur Castaner : garde à vue, :emprisonnement, mutilation, amendes, sans qu'il ait été possible (volontairement) d'empêcher les black-block de tout casser afin de disqualifier le mouvement de protestation.
    Pensez-donc, des gens qui vivent dans des déserts médicaux, désertés aussi par les services publics (poste, services des impôts, chemins de fer) se révoltent pour protester contre une augmentation incroyable du prix du carburant, qui n'affecte pas les bobos des métropoles, adeptes des taxis et des avions. Ce sont des gueux, des moins que rien. Passons sur les émeutes consécutives à la mort du jeune Nahel ; elles n'ont guère été réprimées. Dame, il fallait garder une poire pour la soif électorale. Et revenons-en à la deuxième révolte d'importance, celle des agriculteurs, accablés de paperasses, de normes, de contrôles, d'interdiction. Là encore, les castes dirigeantes les ont méprisés. Et dans une scène ridicule, un président en bras de chemise a fasciné au salon de l'Agriculture, quelques représentants syndicaux, sans régler le moindre des problèmes agricoles. Arrogance de celui qui sait contre les miséreux de la glèbe. J'en ai eu honte pour lui.
    Autour de moi, je ne connais personne qui ait simplement compris ce problème : mes amis sont polytechniciens, ingénieurs, universitaires, chercheurs, membres des professions libérales, juristes : tous du bon côté du manche.
    Je suis devenu une sorte de brebis galeuse et une amie de mon épouse, amie assez proche de la franc-maçonnerie l'a priée ironiquement de me consoler après l'annonce des résultats.

    Alors je vais vous dire : j'ai trois livres de philosophie politique qui m'inspirent : "Le discours de la servitude volontaire" d'Etienne de la Boétie ; "La liberté, pour quoi faire ?" de Georges Bernanos, et "Note sur la suppression générale des partis politiques", de Simone Weil.
    Ces titres, à eux-seuls, suffisent à définir ce à quoi je crois. Et au moment où je vous écris, je pense à Vincent, à sa femme, à ses deux enfants, qui habitent dans un hameau magnifique de l'Aveyron.
    Lui, notre Vincent, est un artisan maçon accompli, qui marche aux pas lents des familiers de la terre. Son fils le suit comme son ombre et s'imbibe en sa présence de la vertu des vieilles races du Centre de la France. Tant qu'il y aura des Vincent, La France vivra.

     

  • Union des droites

     
    Il y en a marre de toutes ces querelles d’egos dans les camps de droite ! Il faut l’union de TOUTES LES DROITES ! En incluant les Dupont-Aignan, Asselineau, Poisson, Philippot, Zemmour et tous ceux qui ont la fibre patriote, sans mégoter !
     
    C’est ce que veulent les citoyens qui veulent enfin pouvoir sauver la France du désastre qui menace. Et avec le passif que laissera Macron, il y aura du boulot pour tous !
     
    A moins que, si vraiment cela ne peut se faire, l’on trouve un général assez couillu pour faire un coup d’Etat avec l’accord de l’Armée pour prendre les affaires en main avec vigueur et sans pitié pour les fauteurs de troubles.
     
    Pour qu’enfin les casseurs, LFI, Black-Blocs soi-disant anti-fachos qui sont les pires des fachos, syndicats extrémistes et tous qui font la preuve chaque jour de leur peu de respect pour la démocratie soient empêchés de nuire ; pour qu’enfin les casseurs soient les payeurs de leurs méfaits !
     
    A tous les niveaux de la casse du pays !
     
    Jihème
    13 juin 2024
     

  • Le troupeau

    « Tout homme qui veut garder l’intégrité de sa pensée, l’indépendance de son jugement, voir la vie, l’humanité et le monde en observateur libre, au-dessus de tout préjugé, de toute croyance préconçue et de toute religion, doit s’écarter absolument de ce qu’on appelle les relations mondaines, car la bêtise universelle est si contagieuse, qu’il pourra fréquenter ses semblables, les voir et les écouter, sans être, malgré lui, entraîné par leurs convictions, leurs idées et leur morale d’imbéciles ».
     
    Ce rejet du monde est l’expression exacerbée d’un goût pour la solitude et d’une crainte des autres hommes. Maupassant l’exprime dès 1881.
    Il marque ainsi une répulsion vis a vis de ceux qui, faisant la mode (en politique, économie, vestimentaire, artistique, cinématographique, littéraire etc.), se croient gens de goût et dissolvent leur talent dans la banalité en tentant de plus en plus de rentrer dans le moule. Ils ne se contentent pas de ne pas penser par eux même.
     
    Non, en bon prosélytes, ils veulent prouver leur « foi » en tentant d’imposer la doxa du troupeau en ostracisant ceux qui s’écartent de la « bienpensance » de leur caste. <img class="xz74otr" src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t14/1/16/1f628.png" alt="