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  • Trump et l'avortement

    L’administration Trump a confirmé ne plus accorder les 335 millions de dollars de financement du FNUAP, l’agence des Nations Unies impliquée dans la promotion de l’avortement dans le monde.

    La mesure avait été annoncée en mars et vient d’être concrétisée : l’administration Trump a mis fin au financement américain du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), et a confirmé qu’aucune nouvelle ressource ne serait allouée à cette agence de l’ONU. Comme prévu, ce promoteur mondial de l’avortement a exprimé son mécontentement.

    Cette mesure s’inscrit dans la continuité de la politique pro-vie promue par Trump lors de son précédent mandat. En 2017, Trump avait déjà signé un décret supprimant le financement de cette agence en raison de sa collaboration avec la Chine dans la mise en œuvre de politiques de contrôle de la population par le biais d’avortements forcés.

    La FNUAP a exprimé ses regrets face à cette décision :

    « La FNUAP, l’agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive, note avec un profond regret que les États-Unis d’Amérique ont annoncé leur intention de refuser tout financement futur à l’organisation en déclenchant l’amendement Kemp-Kasten .»
    « Cette décision s’ajoute aux notifications d’annulation de fonds déjà reçues, qui totalisent environ 335 millions de dollars. »

    L’agence onusienne a exprimé son désir de maintenir « un dialogue ouvert avec le gouvernement des États-Unis, notamment par l’intermédiaire du Conseil d’administration du FNUAP, dont les États-Unis sont membres », et a appelé à un réexamen de sa position.

    Cette décision fait suite au décret pro-vie signé par Trump en janvier, qui interdit d’utiliser l’argent des contribuables américains pour financer des organisations qui promeuvent ou pratiquent des avortements à l’étranger.

    Cette mesure a aussi privé les géants de l’avortement comme la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) de centaines de millions de dollars, l’IPPF ayant à elle seule perdu jusqu’à 100 millions de dollars.

    La politique de Mexico, initialement établie par Ronald Reagan, a toujours été soutenue par les présidents pro-vie et abrogée par les présidents pro-avortement. Trump l’a non seulement rétabli, mais l’a considérablement élargi, augmentant le montant du financement de la santé mondiale et les programmes couverts par cette politique.

    Une longue histoire de complicité avec la culture de la mort

    La FNUAP a une histoire bien documentée de soutien à la politique de contrôle de la population de la Chine passant par des avortements imposés et de la stérilisation forcée. Les présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush ont tous deux suspendu le financement de cette agence. En 1993, Bill Clinton a repris le financement, mais en 1999, George W. Bush l’a à nouveau supprimé.

    En 2008, le secrétaire d’État de l’époque, Colin Powell, déclarait : « Le soutien et l’implication du FNUAP dans les activités de planification démographique de la Chine permettent au gouvernement chinois de mettre en œuvre plus efficacement son programme d’avortement forcé. Par conséquent, la poursuite du financement du FNUAP n’est pas acceptable pour le moment. »

    Cependant, en 2009, le président Obama a rétabli le financement et, entre 2009 et 2016, plus de 300 millions de dollars ont été alloués à l’agence.

    Une politique globale pour la défense de la vie

    La politique de Mexico, rebaptisée Politique de protection de la vie dans l’assistance sanitaire mondiale (PLGHA) en 2017, établit que les organisations étrangères qui reçoivent un financement américain pour la santé mondiale ne peuvent pas pratiquer, promouvoir ou financer des avortements. Cette politique interdit également à ces organisations de soutenir des tiers qui se livrent à ces pratiques.

    L’administration Trump a proposé d’étendre cette politique aux contrats gouvernementaux, en exigeant des entrepreneurs étrangers qu’ils certifient qu’ils n’ont aucun lien avec l’industrie de l’avortement, notamment en interdisant le lobbying en faveur de la légalisation de l’avortement.

    Cette décision décisive de l’administration Trump marque une étape importante dans la défense de la vie et souligne la nécessité de continuer à travailler pour garantir que les ressources publiques ne soient pas utilisées pour promouvoir une culture de mort.

    Léo Kersauzie

  • Algérie

    "Sans un véritable bras de fer courageux avec l’Algérie, rien ne changera. Il faut imposer la loi du plus fort et des mesures coercitives au régime algérien."

    Emmanuel Macron n'a engagé aucun rapport de forces visible, audible et dissuasif avec le régime algérien.

    On ne peut plus accepter les refus systématiques de l'Algérie de reprendre ses ressortissants. Il y a une obstination du Président à n'entamer aucune mesure de rétorsion pour forcer l'Algérie à reprendre ses ressortissants dangereux sous OQTF.

    Le dictateur Tebboune, président algérien, met donc les Français en grand danger en nous imposant ses terroristes et influenceurs. Emmanuel Macron est incapable de lui imposer sa volonté. Le régime algérien le tient en rênes courtes.

    Emmanuel Macron ne change pas de braquet. Il n'ordonne aucune rupture majeure dans la politique intérieure de sécurité et sur la politique migratoire.

    Nos frontières restent ouvertes à tous les barbares et terroristes.

    Il ne faut pas remercier les cabinets d’avocats spécialisés dans les recours des individus sous OQTF.

    Emmanuel Macron ne fera rien pour supprimer le droit du sol, le regroupement familial et l'aide médicale d'Etat. Il ne va pas rétablir le délit de clandestinité. Il ne modifiera pas la politique d'attribution de visas. Il ne bloquera pas le transfert de devises vers l'Algérie. Il ne gèlera pas les avoirs algériens. Il ne supprimera pas l'aide publique française au développement accordé généreusement chaque année à l'Algérie. Il ne dénoncera pas l'accord franco algérien de 1968.

    Il ne fera rien pour mettre un terme à l'immigration.

    Il nous chantera toujours le même couplet, et le même refrain.

    La vie des Français lui importe peu. Le sang de victimes innocentes coule sans aucune réaction opérationnelle majeure ni rupture politique de sa part.

    La liste des victimes de l'islamisme s'allonge.

    Notre président paralysé, impuissant et inefficace doit démissionner.

    Yann Bizien

     

  • Le changement

    Le changement
    Interne au système çà devient difficile ...voire impossible Un système ne peut se modifier lui même...C'est toujours la rencontre d'une circonstance extérieure avec "une poignée d'Hommes" qui produit le changement désiré.
    Depuis 1969 (après le départ de De Gaulle) nous ne faisons que faire un peu plus de la même chose...et de plus en plus mal d'ailleurs !
    Le changement ne peut venir que de l'extérieur; c'est la raison pour laquelle je pense que Trump et son équipe seraient les "bienvenus"
    Ce sera vérifié pour les proches élections en Allemagne
    Ceci pourrait et devrait inspirer une personnalité comme De Villiers, voire Zemmour ou encore Messiha
    Ensemble, les trois feraient l’affaire !
    FCN
    08 02 25