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elections européennes

  • Un projet

    Un projet

    La satisfaction de vie se mesure à l'aune d'un projet de vie, mais aussi à la qualité de chaque instant qui passe, des joies, des peines, des souffrances qui colorent notre existence, de nos relations aux autres.
    Elle s'évalue en outre par la nature des conditions extérieures et par la manière dont notre esprit traduit ces conditions en bien être ou en mal être.

    Il semble que nous soyons d’accord pour dire que ces conditions nous déplaisent et que nous voulons en changer.

    Chacun de nous doit prendre conscience de notre interdépendance si nous voulons que notre "monde" change ...rien de tel que de travailler ensemble sur un projet commun : faire élire Marion Maréchal par exemple.

    Nous pouvons le faire !

    Plus est en nous
    FCN

  • Quelques basiques à retenir avant de voter dimanche.

    24 mai, 10:30- Nul groupe parlementaire n’a jamais eu la majorité à lui seul à Strasbourg. Ainsi faut-il pour chaque vote rechercher, constituer, des accords avec d’autres. Pour le PPE, le groupe auquel adhèrent les LR, ces jonctions se firent avec le groupe des Démocrates-Libéraux ou du PSE ou des Verts. Jamais ne furent-ils avec le groupe ENL. On peut regretter cela, mais pas le contester. C’est un fait. Jamais le PPE ne s’associa avec ENL. L’interdit du B’nai Brith en est-il la cause ? Je ne sais.

    - Les programmes nationaux sont abscons ; ils ne pèsent pas plus que le papier sur lequel ils sont écrits. D'évidence seuls comptent les idées fondamentales, les volontés, les intentions des Groupes qui se constituent au Parlement Européen. Les programmes de Bellamy ou Bardella ou d’un autre sont perceptibles dans leur programme ; certes ! Mais la mécanique électorale actuelle ne permet pas à l’électeur de connaître à l’avance ce que sera le socle des valeurs et de la politique que souhaiteront appliquer les groupes parlementaires auxquels ils adhèreront.

    - Les LR n'ont pas un poids - un nombre de députés suffisant - pour amener le PPE à partager leurs valeurs. Ils ne le purent durant la mandature précédente, ils ne le pourront pas plus en ayant cette fois encore moins de députés qu'ils n'en eurent.

    - Une nouvelle mandature s’ouvre. Il me semble que si l’on souhaite que le PPE ‘droitise’ sa ligne de conduite il est important de constituer le plus fort groupe ‘ENL’ afin que la droite classique soit comme contrainte de chercher des accords avec ce groupe-là, plutôt qu’auprès du PSE, des démocrates-Libéraux ou des Verts. Si cela ne se fait… Eh bien les électeurs LR n’auront plus que leurs yeux pour pleurer et regretter que l’attitude et les décisions du PPE ne soient celles du programme de Bellamy.

    Bertrand du Boullay est avec Edmond Grimberg et 12 autres personnes.

    24 mai, 10:30 ·

     

    Agnes des Granges Un léger rajout...Certes "les eurosceptiques progressent. Mais la formation d’un groupe unique, tel qu’envisagé par les leaders de l’ENL, apparaît peu probable au vu d’intérêts divergents et de réserves mutuelles entre les différents partis nationalistes, et du fait que le CRE, tout comme l’ENL, ont mis en avant leurs propres Spitzenkandidaten...."

    Bertrand du Boullay Agnes des Granges Très chère Agnès, il se peut que le groupe Salvini-RN ne soit pas à la hauteur souhaitée, ou qu'un autre se crée en sus du côté des nationalistes. Qu'importe, ce qu'il faut est qu'ils soient les plus hauts possibles ; afin que le PPE se détache de ses alliés Libéraux ou Socialistes :

    Bellamy siégera au groupe PPE dont le président Manfred Weber a déclaré que ses alliés naturels étaient le Parti socialiste européen et les Libéraux. Il serait intéressant de savoir si les électeurs de la droite conservatrice considèrent d’un cœur léger une alliance avec les socialistes européens et les libéraux qui sont porteurs d’une idéologie libérale-libertaire à tendance totalitaire.

    Brigitte Pellegrin Les Républicains sont désormais très à droite, avec notamment des positions claires quant à l'immigration. Les 3 têtes de liste, Bellamy, Evren et Danjean, ont des valeurs fortes, ont déjà une expérience en tant qu'élus et sont compétents pour influencer au sein du PPE; Le FN n'a pas réussi à influencer lors de la dernière mandature ; pourquoi le ferait-il mieux dans les années qui viennent ? Je ne sais pas.

    Bertrand du Boullay Brigitte Pellegrin Brigitte, les LR n'ont pas un poids - un nombre de députés suffisant - pour amener le PPE à partager ses valeurs. Ils ne le purent durant la mandature précédente, ils ne le pourront pas plus en ayant cette fois encore moins de députés qu'ils n'en eurent.

    M'est avis que seul un groupe nombreux de ENL les obligerait à avoir recours à celui-ci pour faire passer certains textes.

    Voilà ce que j'ai tenté d'expliquer.

    Bien amicalement

    Gérard Auzou Merci de votre analyse. Intérêt supplémentaire d'un groupe ENL très fort : permettre de vérifier sur pièces la solidité et donc la sincérité des convictions droitistes affichées par Bellamy et LR pendant la campagne.

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • Le grand remplacement de Renaud Camus.

    L'essentiel de la problématique à laquelle s’attaque Renaud Camus est d'ordre culturel. Elle interfère avec d’autres  qui en sont à la fois les causes, les effets et les conséquences …tout est relié et en interaction dynamique, orienté vers un but !

    Cà intéresse l'éducation, la socialisation, la formation non seulement professionnelle, mais au savoir être et en "communication" (Managériale Pédagogique Thérapeutique)

    Depuis que Sartre à gagné sur Raymond ARON, et en particulier mai 68, nous sommes dans la nasse.

    Pour effacer 40 à 50 ans de culture en  décadence visant à une uniformité « gaucho-mondialo-islamo » nous avons du pain sur la planche. Tout n’est que conséquence de cet état premier car c’est en MODIFIANT profondément et dans le temps, les attitudes (donc les représentations) et les comportements (qui découlent des représentations) des individus que le pouvoir a pu, ensuite, faire de nous ce qu’il voulait pour son profit, son clan ou sa caste. Et il n’a pas fini si nous le laissons faire.

    C’est la raison pour laquelle nous, en France et en Europe, nous ne pouvons résoudre le problème de fond qu’en revenant sur NOS fondamentaux éducatifs ET socialisants.

    D’où l’intérêt du collectif « racines » de Marine Le Pen.

    Notre engagement,  celui du groupe des Systémiciens,  dans ce sens sera d’une grande utilité.  Car avec l’IESE  (Institut Européen de Socialisation et d’Education) nous pourrons intervenir DIRECTEMENT dans le milieu scolaire, familial et dans les associations du temps libre afin de refaire le travail inverse c’est à dire  re-former, re-socialiser,  re- assimiler, re-définir ce qu’est NOTRE culture, notre identité, re-inculquer nos codes, nos valeurs, les éléments de vie qui font que nous ne sommes pas les habitants du dessert ou de l’Afrique équatoriale, mais des EUROPEENS.

    Nous sommes adaptés physiologiquement et psychiquement à notre environnement et nos contextes que nous avons adaptés par rétroaction en « interagissant »  avec eux.

    Nous avons, nous autres, éducateurs et formateurs Systémiciens ou pas, du pain sur la planche.

    Mais nous devons attendre encore un peu car il faut d’abord que Marine reprenne le pouvoir (les pouvoirs) à ceux qui les détiennent et dans tous les systèmes : politique, économique, financiers, culturels etc.

    Pour ce qui nous concerne en temps qu’individus conscients et agissants,  je ne crois pas que nous soyons destinés à combattre une arme à la main pour mettre au pas ceux qui feraient obstacle à ce projet de changement global. Projet qui fasse échec au « grand remplacement », à la mondialisation libérale, à la finance prédatrice ou à notre destruction identitaire.

    Nous pouvons l’éviter si nous arrivons NOUS aussi à modifier les attitudes et les comportements de nos concitoyens. Le problème c’est que nous n’avons pas le temps pour nous et que c’est un travail de longue haleine que nos adversaires ont entrepris depuis en gros Mai 68. Ils ont de l’avance et n’ont pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin.

    Il faudra donc aller vite, massivement et énergiquement. Voilà ce que je vois pour nous ici,  maintenant et pour l’avenir… j’ai encore quelques bonnes années devant moi, mais je ne verrai probablement pas la fin de  l’aventure qui se poursuivra sans interruption très longtemps et selon des formes très diverses.

    Alors pensons à l’action au jour le jour, mais aussi à transmettre, à informer et former ceux qui prendront la suite c’est vital ! 

    Francis NERI

    Président de l’IESE

    Membre du Collectif Racines