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marion maréchal

  • Un projet

    Un projet

    La satisfaction de vie se mesure à l'aune d'un projet de vie, mais aussi à la qualité de chaque instant qui passe, des joies, des peines, des souffrances qui colorent notre existence, de nos relations aux autres.
    Elle s'évalue en outre par la nature des conditions extérieures et par la manière dont notre esprit traduit ces conditions en bien être ou en mal être.

    Il semble que nous soyons d’accord pour dire que ces conditions nous déplaisent et que nous voulons en changer.

    Chacun de nous doit prendre conscience de notre interdépendance si nous voulons que notre "monde" change ...rien de tel que de travailler ensemble sur un projet commun : faire élire Marion Maréchal par exemple.

    Nous pouvons le faire !

    Plus est en nous
    FCN

  • Une personnalité intégrée

    La personnalité idéale est la personnalité bien intégrée car elle associe la vie intérieure avec le milieu humain et social.
    La réserve et la distanciation affective sont des caractéristiques désirables. Elles permettent de mener une vie plus riche en parvenant à l’intégration qui rend capable de résister à des situations extrêmes. 
    Et, compte tenu du contexte actuel de désintégration sociale, économique, culturelle etc. cela s’avère plus que nécessaire.
    L’analyse systémique devrait permettre de faire émerger en tout individu une personnalité « bien intégrée ». Elle analyse à la fois les expériences de vie qui paraissent destructrices et celles qui seraient constructives.
    La psychanalyse ne peut nous aider car elle est loin d’être le bon instrument pour comprendre l’homme dans sa totalité. L’analyse systémique par contre participe à la création d’un environnement « total » conçu pour favoriser des changements profonds dans les attitudes et les comportements des individus.
    Le çà, le moi et le surmoi ne sont pas l’homme et, le problème n’est pas de savoir si l’un et l’autre de ces aspects existe, mais de savoir lequel domine en nous et comment les combiner pour survivre le plus agréablement possible en s’adaptant à notre environnement (à commencer par le proche) et en le modifiant à notre niveau de « possibles ».
    Pour un analyste systémicien, la psychanalyse n’est pas le moyen le plus efficace pour changer les attitudes et les comportements d’un individu ou d’un groupe, car il convient pour cela de modifier leur environnement.
    C’est-à-dire de modifier la représentation qu’ils ont de cet environnement (la carte n’est pas le territoire) si de plus il n’est pas possible de modifier cet environnement. Nous ne pouvons, par exemple, modifier le fait que Mr Macron soit de nouveau au pouvoir et qu’Éric Zemmour ou Marine Le Pen en soit absents.
    Dans le cas des crises multiples actuelles se renforçant l’une et l’autre, et le danger global que représente la guerre en Ukraine, la porte est ouverte à la fois pour un changement d’attitudes et de comportements (adaptation) et pour un changement radical de l’environnement économique, social, politique etc.

    L’Italie nous montre le chemin ; la question est : est-ce le bon pour nous Français ?

    La France est malade c’est incontestable et incontesté, mais de quoi ? Quel est le cadre de référence de sa maladie, le contexte ? Qui faut-il guérir, la France ou les français ? Comment faut-il le faire ? Qui peut le faire, avec quels moyens ?
    A quel niveau de communication faut-il se placer : Pédagogique ? Organisationnel ? Thérapeutique ? Une combinaison des trois ?

    Il n’y a pas de réponse automatique à ces questionnements et les réactions individuelles resteront sans effets globaux. Il n’y a pas, en effet, de comportements bons ou mauvais, idéal, bien intégrés car chacun de nous crée le monde qu’il habite et il doit prendre conscience que ce monde est unique, car c’est lui qui l’a créé !
    Après, il lui faudra interagir avec énormément d’autres mondes aussi uniques que le sien et qu’il devra y faire sa place, se faire reconnaitre dans cette « globalité » pour agir local tout en pensant global.
    Il lui faudra renoncer à la sécurité puisée dans la répétition de l’identique pour une sécurité incertaine dans un monde en évolution constante.

    La société a une influence certaine sur les attitudes et les comportements (personnalité) d’un individu et les moyens « manipulateurs » sont considérables. Il faut donc l’en protéger par l’éducation, la socialisation, l’intégration, l’assimilation contre ses effets potentiellement destructeurs. Il faut qu’il soit équipé pour modifier la société de façon à ce qu’elle ne soit pas un obstacle à son développement mais un cadre qui le facilite et l’encourage.

    Ce que l’école à apporté par l’éducation et la socialisation à l’édification d’attitudes et de comportements dans un environnement et un contexte social relativement stable doit aujourd’hui être réalisé pour une « personnalité » ET un « contexte » économique, social, culturel etc. tous deux en interaction et en évolution constante.

    La question se pose pour l’immigration massive, en particulier musulmane. Certaines des valeurs, des attitudes, des comportements de certains musulmans ne sont pas efficaces et appropriés à l’environnement occidental. Leur influence va en grandissant et bloque l’intégration et l’évolution du plus grand nombre d’entre eux.
    Il n’y a pratiquement pas d’interactions « constructives » entre la personnalité islamique qui puissent aboutir à une intégration et encore moins à une assimilation réussie.
    A défaut d’intégration et d’assimilation aux codes, valeurs, rôles, contraintes de la société d’accueil, les migrants recréent dés qu’ils en ont la possibilité et les moyens leurs propres codes, valeurs, pratiques, contraintes et tentent de les imposer à la société d’accueil.

    C’est à ce moment-là que la destruction de l’ensemble peut commencer avec la guerre de tous contre tous. Guerre sociale, culturelle, cultuelle, et raciale aggravée par une conjonction de crises en particulier économiques et financières d’une extrême férocité qui rend impossible l’ouverture d’une boucle de rétroaction négative pouvant apporter une solution de continuité par la « redistribution » aux plus atteints d’entre nous :  c’est-à-dire l’espoir d’un travail, d’un toit, la sécurité et un avenir pour ses enfants.

    Devant ce tableau très sombre nous pourrions désespérer. Un environnement extrême à pour effet de bloquer toute initiative (résister ou modifier l’environnement) et toute réaction personnelle puis collective à une action imposée par le pouvoir.
    Cette situation aboutit à l’effacement des réponses puis à l’effacement de la perception ; les stimuli n’atteignent plus les cerveaux sous une forme suffisamment claire pour provoquer l’action.
    Nous perdons notre capacité d’observer correctement et d’en déduire des conclusions exactes. Toute réaction émotionnelle est proscrite car considérée comme dangereuse pour sa sécurité.

    Nous sommes entrés dans cette phase. La question est de comment en sortir pour provoquer l’action, et si l’on renonce à observer, à réagir, à entreprendre une action, on cesse de vivre sa propre vie.

    Et c’est exactement ce que cherche le pouvoir actuel ! J’espère que nous saurons lui répondre !

    Francis Claude Neri
    Président de l’IESE
    Institut Européen de Socialisation et d’Education
      

  • Marion la terreur de Macron

    Nul n’est besoin d’être un grand politologue pour comprendre que la campagne pour les présidentielles vient de connaître un tournant qui peut être décisif : ce tournant concerne l’entretien que Marion Maréchal vient d’accorder au journal Le Parisien.

    Dans cet entretien, Marion déclare tout de go que se réinvestir en politique est quelque chose qui la « titille » depuis des mois, et que ce réinvestissement ne pourrait se faire du côté de Marine, mais pourrait se faire du côté de Zemmour.

    Dans ce que l’on appelle actuellement « la chasse aux ralliements », chaque candidat fait feu de tout bois. Valérie Pécresse a obtenu le séduisant ralliement du très séduisant Jean-Christophe Lagarde, patron de l’UDI, dont les meilleurs idées consistent à amasser chez lui des armes de guerre et à vouloir mettre deux balles dans la tête d’Éric Zemmour : on a les ralliements qu’on mérite.
    Plus intelligemment, Zemmour rallie peu à peu des têtes du Rassemblement National, comme l’emblématique Gilbert Collard, ou des têtes des Républicains, comme le non moins emblématique Guillaume Peltier : les prises sont bonnes, incontestablement. Mais un ralliement de Marion ne serait ni une « prise », ni une « bonne prise » : cela serait une révolution. Pourquoi ?

    Tout d’abord, la notoriété de Marion, ainsi que sa popularité, sont suffisamment grandes pour que l’on ne puisse évoquer le terme de « bonne prise ». Si Marion rejoint Zemmour, ce sera de façon libre, sous ses propres conditions, à prendre ou à laisser : il est fort peu probable que Zemmour ne se plie pas avec bonheur aux conditions de la très volontariste Marion.

    Ensuite, au moment où Macron descend peu à peu dans les sondages, et où Zemmour, Le Pen et Pécresse se tiennent dans un mouchoir de poche, la déflagration Marion risque de changer fondamentalement la donne, en faisant bondir Zemmour dans les intentions de vote. Car Marion, jeune femme de fer, sait communiquer avec une immense douceur et empathie, et avec un profond respect pour ses interlocuteurs, quels qu’ils soient. Quel atout exceptionnel dans la campagne de Zemmour !

    Pour Macron, cet entretien de Marion avec un journaliste du Parisien lui promet des nuits blanches à répétition, car l’éventualité d’un ticket Zemmour-Marion se traduirait très probablement par un second tour Zemmour-Macron, au cours duquel un débat entre ces deux candidats pourrait sonner la fin de la vie politique du grand déconstructeur qu’aura été l’actuel président de la République.

    Zemmour chamboule tout le jeu politique depuis six mois. Marion va chambouler tout le jeu politique dans les huit semaines à venir. Ce grand jeu de « chamboule tout » est particulièrement réjouissant, et réveille l’espoir.

    François Billot de Lochner

    28 01 22