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islamisation

  • Il n'y a pas deux islams.

    L'un qui serait modéré et l'autre radical, il n'y en a qu'un et il est indivisible selon son dogme.
    Simplement il y a des musulmans qui souhaitent vivre paisiblement et sont prêts à faire quelques concessions sur leur foi et des musulmans qui sont prosélytes et souhaitent faire le djihad pour gagner le paradis d'Allah.
    Ceux là font une lecture littérale du Coran dont certaines sourates appellent au meurtre des Juifs et des Chrétiens.
    Le clivage entre ces 2 types de musulmans se fait dans chaque famille et chaque fratrie.
    Il est totalement illusoire que les modérés se retournent contre les radicaux, d'abord parce que justement, ils sont modérés mais surtout parce qu'au fond d'eux ils ont le sentiment d'être de moins bons musulmans que les radicaux.
    Quand viendra l'heure de la confrontation, et elle est inéluctable, honte à tous ceux qui sont dans le déni; nous serons incapables de faire le tri et les musulmans modérés incapables pour le plus grand nombre de faire un choix hélas.
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  • Une colère froide

    Ce soir, comme beaucoup d'entre nous, ma douleur et ma colère sont incommensurables face à l'assassinat de Philippine. Une victime de plus d'un système judiciaire défaillant, de la bien pensance, du gauchisme, de la lâcheté, et de la folie immigrationniste.
    Le débat sur les "dangers" de l'émotion m’écœure. C'est un peu facile de nous ressortir l'éternelle phrase : "La colère est mauvaise conseillère" ou, pire encore : "Attention aux récupérations politiques !".
    Ces faits de société sont éminemment politiques, n'en déplaise aux gauchistes. Et la colère est légitime ! Sans émotions, rien ne change. Ce sont bien nos émotions qui sont à la base de nos actions et devraient aboutir à la volonté politique de protéger les citoyens des dangers que représente cette immigration-là.
    Après le temps du recueillement doit venir celui de l'action. Pourtant nous ne voyons que des temps de recueillement depuis des lustres : des fleurs, des bougies, des marches blanches... puis PLUS RIEN <img class="xz74otr" src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t8d/1/16/1f621.png" alt="

  • Trois réflexions sur la situation en France vue d’Israël

     
    Publié par Pierre Lurçat le 4 juillet 2023
    1 Vue d’Israël, la situation en France aujourd’hui semble à la fois stupéfiante, révoltante et tristement familière.
    Ce qui est stupéfiant c’est de voir comment un pays ancien peut se déliter à vue d’œil et renoncer à sa propre souveraineté et à sa propre survie… Quels sont les mécanismes profonds qui, au-delà des causes politiques et sociales immédiates, peuvent conduire un vieux pays à une telle situation ? Nous savons certes que les civilisations sont mortelles… L’histoire nous enseigne que les grandes invasions et les changements démographiques majeurs sont précédés d’évolutions plus lentes, qui affectent la volonté d’une nation de vivre et d’assurer son avenir. Quand un peuple n’est plus désireux de perpétuer sa propre identité et quand sa natalité chute, il est mûr pour se laisser envahir.
    Pour l’observateur vivant en Israël, pays confronté depuis sa renaissance à l’islam radical, il est attristant de voir que la France s’entête à ne pas comprendre ce qui nous semble évident. L’immigration incontrôlée de populations largement inassimilables et souvent hostiles à la France, à ses traditions et à son histoire, a conduit inexorablement à la situation actuelle. Cela fait plusieurs décennies que des analystes lucides, historiens ou écrivains (de Jean Raspail à Houellebecq et de Max Gallo à Bat Ye’or*), mettent en garde contre le risque de guerre civile et d’émeutes, telles que celles auxquelles nous assistons aujourd’hui.
    2 Le plus stupéfiant est sans doute de voir que les leçons de l’histoire et de l’actualité ne sont pas tirées et que les élites françaises continuent, dans leur grande majorité, à soutenir l’immigration qui est en train de détruire leur pays… C’est sans doute sur ce dernier point que la comparaison avec Israël est la plus instructive. Ici aussi, nous sommes confrontés à des foyers de population irrédentiste, animés par l’islam radical. Ici aussi, l’ennemi intérieur est soutenu par une fraction de la classe politique et des élites, animées par une idéologie progressiste suicidaire. Mais la comparaison tourne court lorsque survient la confrontation violente.
    Israël est en effet suffisamment fort et l’esprit national suffisamment vivace pour nous permettre de contre-attaquer et de nous défendre, comme nous le faisons aujourd’hui à Djenine, même si tout est loin d’être parfait à cet égard aussi, comme en atteste le fait que les habitants de Judée-Samarie soient trop souvent abandonnés à leur sort et contraints de se défendre par eux-mêmes contre les attaques incessantes de leurs voisins arabes, Tsahal se contentant d’intervenir partiellement et après coup…
    3 J’ajouterai une réflexion personnelle, en tant qu’Israélien venu de France il y a trente ans. A la tristesse de voir la France s’enfoncer lentement et renoncer à se défendre, se mêlent la fierté de faire partie d’un peuple et d’un pays qui sait encore se défendre contre ses ennemis et la conviction que l’exemple d’Israël peut renforcer et vivifier l’esprit de résistance des Français. Mais je sais aussi que la maladie mortelle qui atteint la France – celle du masochisme, de l’auto-accusation et de l’identification avec ses propres ennemis – existe aussi en Israël et au sein du peuple juif.
    Dans une certaine mesure aussi, qu’on ne doit pas exagérer mais qu’on ne peut ignorer, certains intellectuels et hommes politiques juifs français ont apporté leur pierre au courant destructeur, qui a conduit la France là où elle se trouve aujourd’hui. En soutenant l’immigration incontrôlée et en défendant l’idéologie progressiste, parfois au nom d’une morale dévoyée et d’une vision déformée du judaïsme, ils ont contribué au déclin de la France. On aimerait les entendre faire aujourd’hui leur mea culpa. J’adresse aux citoyens français patriotes qui voient aujourd’hui flamber leurs villes et leurs quartiers mon salut fraternel et mes vœux de courage et de résistance.
    Pierre Lurçat pour Dreuz.info.