Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisation - Page 3

  • Le langage

    « Ce n'est pas un hasard. Démolir le langage fait partie des moyens de rendre plus ardue la pensée claire. »

    Le mot "républicain" existe déjà dans le dictionnaire pour désigner celui qui lutte pour :

    - la liberté, que refuse l'islam,

    - l'égalité, que refuse l'islam

    - la fraternité, que refuse l'islam

    - les droits de l'homme, incompatibles avec le coran

    - et accessoirement la simple morale, contredite par les prescriptions du coran

    Le mot "islamophobe", créé par un certain Khomeyni https://fr.wikipedia.org/wiki/Rouhollah_Khomeini du temps qu’il était encore simple ayatollah, n'a pas la moindre raison d'être. "Républicain" suffit.

    "Islamophobe" est un mot bâtard à base d'arabe et de grec"

    Certes, mais "sociologie" a été le premier mot bâtard, fait pour sa part d'un préfixe latin et d'un suffixe grec, "automobile" ayant fait le contraire. Est-ce que ça choque ?

    "On dit anglophobe, francophobe - qui sont le pendant négatif d'anglophile, francophile, etc. "

    Parce que ce sont des mots utilisés afin de combler un besoin de communication, pas de propagande comme "islamophobie".

    Nous avons un autre mot en "phobe" qui a été forgé de la même façon et qui n'est pas le contraire du mot en "phile" : "homophobe" n'est pas le contraire d'"homophile".

    Frédéric D'Aubert
    07 01 21

     

  • La question de la triplice de l’horreur

     « L’islam est le glaive réorganisateur de la mondialisation libérale. Le gauchisme culturel (qui est à l’orthodoxie marxienne ce que sont les Témoins de Jéhovah au concile de Chalcédoine) est le prescripteur spirituel (inverseur des valeurs vertueuses) de cet attelage ; alliance contre-nature du sabre islamique et du goupillon sans dieu (cléricature gaucho-libéralo-anomiste). »

    Jacques Philarchein

    Qui saura, pour 2022, individu ou groupe, construire une coalition d’électeurs suffisamment forte, transcendant les lignes de parti traditionnelles, pour être capable de les amener avec eux afin d’ériger un nouveau « mouvement », en commençant par sa base ? 

    Une chose certaine, les mondialistes, les gauchistes et les islamistes, bref, la « Triplice »  n’ont aucune idée de ce qu’il peut alors se passer.

     Alors faut-il abattre la « Triplice » ?

    En période de calme et avec notre « système » d’organisation sociale actuel, nous pouvions nous contenter de dirigeants tels que ceux qui sont à la tête du pays.

    Ce n’est plus le cas. Les parasites de la « Triplice » ont lentement pénétrés l’organisme et l’organisation du pays, de l’Europe et pour tout dire de l’Occident Gréco-romain, judéo-chrétien et révolutionnaire.

    TOUT est à reprendre à la base : l’éducation, la socialisation, la culture, la production et l’affectation des richesses.

    Ce n’est pas une mince affaire et la Triplice n’est pas un adversaire qui nous laissera agir sans réagir. Le Président TRUMP en fait actuellement les frais.

    Mais David contre Goliath a, paraît-il, trouvé la faille. Alors en cherchant bien, en pensant global et en agissant local « tous ensemble » les résistants arriveront bien à mettre Macron et son équipe au rencart ? NON ?

    Et ce ne sera qu’un commencement !   

    20 12 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • Une démarche systémique

    « Système » : Ensemble d’éléments en interaction dynamique orienté vers un but. La finalité d’un système « est » de conserver SA structure.

    Analyse qui complète-s’oppose aux méthodes «classiques».

    Méthodes classique : Les différents éléments sont isolés, appréhendés les uns indépendamment des autres : c'est la méthode analytique (Aristote-Descartes)

    Approche globale : Une vision globale des problèmes étudiés. Une prise en compte des interactions- rétroactions entre les différents éléments composants un « système ».

    (Voir les « 7 problématiques)

    C'est l'approche systémique. Les 3 grands principes de la démarche

    S'élever pour mieux voir afin de discerner tous les éléments qui composent «l’objet», l’objet étant considéré comme une structure (un ensemble) -schéma heuristique- réseau).

    Relier pour mieux comprendre afin de discerner les interactions des éléments entre eux (considérés comme « signifiants ») - Les nœuds de communication- les supports de l’information-

    Situer pour mieux agir afin d’agir sur les éléments constitutifs de la structure (les nœuds - les supports)

    S’élever pour mieux voir :

    Nous nous devons d'évoquer, de désigner TOUT ce qui constitue - que nous considérons comme -  les éléments clés de la problématique à analyser ainsi que les LIENS avec les autres problématiques - recherche d’une information - factuelle- vérifiée.

    Exemple 1 : Quels sont les liens entre immigration de peuplement et islamisme ? -choisir son entrée- (dans ce cas c’est immigration)
    Exemple 2 : Quels sont les liens entre économie et guerre-islamisme-surpopulation-immigration (dans ce cas l’entrée c’est économie).

    Relier pour mieux comprendre

    Nous devons retraduire- nommer-les relations-rétroactions-circularité- entre tout ces éléments  (identifiés) qui constituent le système (en faire le schéma heuristique [1]- la carte du « territoire »-).

    Note : C’est à partir de ces éléments que l’on peut établir des prospectives (signaux faibles-approche Bayésienne)[2]

    Situer pour mieux agir :

    Nous devons agir avec discernement sur les aspects structurants qui constituent le système (plan d’actions) afin de le faire évoluer - changement vers la finalité- objectif(s)  fixée(s).

    Action : Dans le contexte actuel et compte tenu de TOUS les éléments constitutifs du « Système France », pour quelle(s) raison(s), comment, avec QUI et quels moyens- n’importe quels moyens ?- le faire évoluer  pour le bien et les intérêts de ses éléments-citoyens constitutifs.(Quels éléments-citoyens- les nationaux ?)
    Je propose une action-réaction partant du local (localisme) vers une structure « fractale »[3] et d’une organisation ayant des supports et des nœuds de communication d’esprit « subsidiaire »[4].

    Les 7 problématiques :

    1) Gestion des ressources, décroissance
    2) Absence de régulation, de contrôle et de remédiation
    3) Surpopulation
    4) Immigration
    5) Islamisation
    6) Union européenne
    7) Mondialisation, globalisation

    Exemple :

    Immigration. Sur 830 000 naissances recensées en France en 2006
    165 000 venaient de l’immigration. Le taux de fécondité des maghrébines était de 2,7, des noires d’origine africaines de 4,2.
    Actuellement 40 à 45 % des jeunes sont d’origine Afrique noire, Maghreb, Turquie  

    A partir de cette « entrée » examinons (sans moralisme) les relations, les interactions et les rétroactions entre les 6 autres problématiques et, si nous resterons impuissants sur le plan « Européen et mondial », nous saurons que faire sur le plan local /régional /national).
    Une alternative possible : Révolte
     : -Action Citoyenne -civique et civile-

    1- Action violente par laquelle un groupe se révolte contre l'autorité politique, la règle sociale établie ?
    2- Attitude de refus et d'hostilité devant une autorité, une contrainte ?

    Esprit de révolte. Qui est en révolte (contre l'autorité, le pouvoir).
    Synonymes : indignation, insurgé, rebelle
    Qui a une attitude d'opposition.

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    15 11 20

    [1] Une carte heuristique, carte cognitive, carte mentale, carte des idées1, ou encore schéma heuristique, est un schéma, supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée. Le terme anglo-saxon mind map est également parfois utilisé en français. Cela permet de mettre en lumière les liens qui existent entre un concept ou une idée, et les informations qui leur sont associées.

    [2] L'inférence bayésienne est une méthode d'inférence par laquelle on calcule les probabilités de diverses causes hypothétiques à partir de l'observation d'événements connus. Elle s'appuie principalement sur le théorème de Bayes.

    [3] Une « système » fractal est un objet qui présente une structure similaire à toutes les échelles. C'est un objet  «infiniment morcelé » dont des détails sont observables à une échelle arbitrairement choisie.
    (Ville-département-région-pays etc.)

    [4] Le principe de subsidiarité est une maxime politique et sociale selon laquelle la responsabilité d'une action publique, lorsqu'elle est nécessaire, revient à l'entité compétente la plus proche de ceux qui sont directement concernés par cette action. Lorsque des situations excèdent les compétences d'une entité donnée responsable de l'action publique, cette compétence est transmise à l'entité d'un échelon hiérarchique supérieur et ainsi de suite. Le principe de subsidiarité veille à ne pas déconnecter la prise de décision publique de ceux qui devront la respecter. C'est en somme la recherche du niveau hiérarchique pertinent auquel doit être conçue une action publique.