Agir local - Page 2
-
UlysseVenez, mes amis, point n'est trop tard pour se lancer en quêteD'un monde nouveau ; poussons au large et en rangs serrés,Fendons ces sillons sonores ; car je garde l'envieDe voguer au-delà du coucher du soleil où baignentToutes les étoiles occidentales, jusqu'à ma mort.Il se peut que les courants nous porterons,Il se peut que nous nous échouerons aux Îles FortunéesEt verrons le grand Achille que nous connaissions ;Bien que beaucoup ait été pris ; il nous en reste beaucoup,Et si nous avons perdu cette forceQui autrefois remuait la terre et le ciel,Ce que nous sommes, nous le sommes,Des cœurs héroïques et d'une même trempe,Affaiblis par le temps et le destin,Mais forts par la volontéDe chercher, lutter, trouver, et ne rien céder.
-
Le Liban
Le Liban
En 1972, j' étais au Liban où nous nous étions rendu pour rendre visite, celui qui est devenu mon mari pour voir un père de sa paroisse qui venait de retourner dans son pays, et moi pour y voir un médecin qui travaillait dans le service à l'hôpital ou j'étais secrétaire médicale.
C'est d'ailleurs là-bas que mon futur mari m'a demandé en mariage qui a eu lieu en 1973 et nous avons fêté nos 50 ans de mariage l'an passé.
Je me souviens de Beyrouth comme une ville magnifique et nous avons eu l'occasion de circuler dans l'ensemble du pays, visiter les différents sites archéologiques et même nous rendre en autocar local à Damas en Syrie.
Nous avons donc pu voir effectivement que c'était un pays magnifique et sans doute avec un niveau de vie, dans son ensemble, assez bon !
Par contre en traversant la frontière avec la Syrie nous avions pu voir déjà les endroits ou s’entraînaient ceux qui allaient, trois ans plus tard, propager une guerre qui a détruit ce havre occidentalisé pour le ramener - comme toujours dans ces cas - des décennies en arrière, avec tous les problèmes que l'on connaît maintenant !
Ainsi va ce monde tombé sur la tête, hélas !Emma Prudhomme -
Un projet
Un projet
La satisfaction de vie se mesure à l'aune d'un projet de vie, mais aussi à la qualité de chaque instant qui passe, des joies, des peines, des souffrances qui colorent notre existence, de nos relations aux autres.
Elle s'évalue en outre par la nature des conditions extérieures et par la manière dont notre esprit traduit ces conditions en bien être ou en mal être.
Il semble que nous soyons d’accord pour dire que ces conditions nous déplaisent et que nous voulons en changer.Chacun de nous doit prendre conscience de notre interdépendance si nous voulons que notre "monde" change ...rien de tel que de travailler ensemble sur un projet commun : faire élire Marion Maréchal par exemple.
Nous pouvons le faire !
Plus est en nous
FCN