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Agir local - Page 3

  • Eric Zemmour le projet Cygne Noir

    « Les faits ne pénètrent pas dans l’univers où vivent nos croyances ; ils n’ont pas fait naître celles ci, ils ne les détruisent pas. »
    J.F. Revel

     

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  • En France !

    En France
     
    Que 20% d'enfants naissent de parents musulmans, cela suggère deux mesures urgentes :
    1. Stopper les allocations familiales après le deuxième enfant. Un pays doit maintenir sa population, pas la faire croître de façon illimitée.
    2. Obliger l'école à faire son travail, qui est entre autres d'extirper les superstitions des têtes de la jeunesse.
    François Paganel
     
    L'urgence !
    Nos dirigeants, jusqu'au plus haut niveau de l'état, mais aussi certains maires ont fait sécession avec le peuple et ont délibérément choisi de trahir en toute conscience. Ils choisissent de donner divers gages à l'ennemi de l'intérieur à la fois par peur mais aussi dans l'espoir d'en tirer bénéfice. Oui, il y a urgence d'en changer !
    Yves Chauvel

  • Mémoire et identité

    Une identité nationale honorable se choisit ! On ne la reçoit pas passivement comme une onction divine. Choisir son identité nationale, c’est être capable de faire l’effort de comprendre le sens historique et culturel qui la fonde ; c’est pénétrer dans une immense bibliothèque qui conserve la trace de ce que, de génération en génération, des hommes ont dit et écrit, non pas pour s’enfermer à l’intérieur de frontières hermétiques mais pour offrir leur tribut singulier aux valeurs universelles. On n’y entre pas les yeux bandés ; ces traces ne sont pas conservées pour que l’on y mette servilement nos pas ; elles sont soumises à notre réflexion, offertes à la discussion collective. Une identité nationale se mérite donc par l’effort intellectuel et linguistique qu’on lui consent.

    ​Je veux ici dénoncer le renoncement d’un État qui n’a pas su remplir son devoir - minimum- d’intégration linguistique envers les nouveaux arrivants alors que la plus sûre promesse d’une intégration dignement construite, c’est qu’ils parviennent à maîtriser la langue française.
    Je dis bien “maîtriser” la langue française, et non la “baragouiner”. Nous avons en effet, depuis trop longtemps, accepté avec une complaisance coupable que le problème d’insécurité linguistique dont souffrent certains citoyens soit dissimulé sous le concept dangereux de “diversité linguistique”. Chacun pouvant ainsi parler comme il l’entend, chacun pouvant écrire comme cela lui chante, peu importe la justesse et l’efficacité de son langage.
    Nous devons, au contraire, à tous ceux que l’on accueille, d’où qu’ils viennent, le meilleur de notre langue.
    ​Ce n’est donc pas dans le foisonnement de particularismes langagiers, qui stigmatisent plus qu’ils ne distinguent, que réside la promesse d’une identité nationale honorable et désirée. Tous les citoyens dans ce pays ont droit à une langue commune juste, précise et… créative ; il est de notre devoir de la leur offrir, il est de leur devoir de la chérir.
    Par Alain Bentolila

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