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judéochrétienne

  • Paganisme et christianisme

    Je vois ici ou là, des querelles d'arrière garde sur le sujet sensible du christianisme et du paganisme.
    Alors, on serait tenté de tourner la tête et d'attendre que ça se passe.
    Moi, aujourd'hui, je vais quand même y mettre mon grain de sel et tant pis si je reçois des "marmites", j'y suis entraîné depuis longtemps :
    Du calme.
    La société française, en particulier, par ses "ayatollahs" républicains, ceux là même qui nous pourrissent la vie, est gangrenée par une "tour de Babel" qui ne dit pas son nom. Les dérives relativistes et hédonistes de l'Eglise catholique en particulier depuis les années 60 ont largement contribué à faire perdre la foi à bon nombre de baptisés. Certains ont recherché les origines de leurs racines sacrées, ils les ont trouvés dans le neo-paganisme. Ensuite, les hommes et leur orgueil, voire leur limite intellectuelle ont fait le reste.

    Les uns pourfendant l'hydre païenne comme la réincarnation du diable, les autres stigmatisant la chrétienté comme étant à l'origine de tous nos maux. L'une et l'autre des positions sont dérisoires au regard du défi qui s'annonce depuis déjà longtemps. Alors, moi qui suis catholique de tradition, fidèle à mon baptême et dans la continuité de ce que l'on m'a transmis, je m'attache autant que faire se peut à discerner ce qui est l'essentiel : la survie de ma civilisation et celle de ma descendance.
    Ma civilisation est greco-romaine et chrétienne, le nier ne sert à rien.
    J'ai des amis païens qui savent très bien où se trouve l'adversaire et me battre à leur côté, épaule contre épaule, ne me pose aucun problème.
    Dans le combat vital qui est devant nous, il faut savoir se compter et bien avoir présent à l'esprit que l'objectif à atteindre justifiera les pertes.
    Les querelles de chapelles doivent s’effacer, d'un côté comme de l'autre, sinon on ne peut pas vaincre, c'est aussi simple que ça .
    Quand on se trompe d'adversaire, on peut être certain d'une chose, la défaite est au bout de la route.

    Alors, du calme.

    Gerome Wilsdorff