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ségrégation

  • Le totalitarisme laïcard de Maître Collard !

    Ce titre est celui d’un article publié sur Boulevard Voltaire ; mais les commentaires en sont fermés. Nous pouvons nous demander pour quelles raisons ? Aussi, si vous voulez lire le texte. Allez sur ce Boulevard… qui pour une fois me déçoit un peu !

    Mais c’était sans compter sur Pascal Hilout…né Mohamed ! Notre ami, que nous soutenons ici, remet les pendules à l’heure et nous rappelle ce qu’est l’Islam et pour quelles raisons nous devons le combattre au même titre que les deux autres éléments dela TRIPLICE : la mondialisation non régulée, non contrôlée et non sanctionnée dans ses errements...et la gauche, sa complice depuis si longtemps.

    Alors, « étudiez » Pascal Hillout. Lisez et relisez, prenez des notes, ce qu’il DIT est important et cela peut nous « sauver » et nous aider lorsque nous hésitons, avons peur ou sommes inquiet pour l’avenir de nos enfants.

    Mais je vous laisse avec NOTRE ami Pascal !

    Le voile islamique et les cornettes des bonnes sœurs… par pascal Hilout.      

    Aussi bien Maître Collard que l’Église catholique ont tort de qualifier le voile islamique de signe religieux.

    Tout comme l’essayiste Arnaud Guyot-Jeannin qui en a disserté sur Boulevard Voltaire.

    Par Pascal Hilout né Mohamet

    Depuis la première offensive du voile islamique sur la scène publique,la Francepatauge dans la confusion la plus totale. Tout le monde fait semblant de ne pas saisir, d’un seul coup d’œil, ce que les voiles islamiques nous donnent à comprendre : celles qui me portent n’ont d’amour que pour les musulmans et les convertis bien circoncis. C’est de la ségrégation religieuse à l’état pur et impur à la fois. Le voile chrétien proclame autre chose : celle qui me porte s’interdit tout commerce avec les hommes. La kippa et la croix nous racontent des choses bien différentes. Ranger tous ces symboles dans le même tiroir relève d’un manque de discernement ou d’une confusion délibérée et, qui sait, mal intentionnée.

    Depuis des décennies, nous voyons les députés, les prélats, les essayistes et les journalistes participer à un bal des faux-culs. Leur lâcheté leur fait perdre la raison. Leurs manœuvres minables voudraient retarder l’inévitable affrontement avec la ségrégation islamique.

    Cette lâcheté généralisée, avec le mauvais choix de vocabulaire qui l’accompagne, est lourde de conséquences. Nous léguons à nos enfants une ségrégation islamique tranquillement affichée sur la voie publique. Depuis les années 80, nous l’avons laissée réussir l’installation de ses ghettos dans la cité : ghettos matrimoniaux, sexuels, vestimentaires, alimentaires, sportifs, commerciaux et sépulcraux.

    Il est pourtant si facile de revenir à nos principes fondateurs et de dire non à la ségrégation islamique ! Voilà ce qui est à même de nous sortir du confusionnisme général où l’Église, les politiques et notre intelligentsia pataugent encore en parlant de laïcité à rétablir au lieu de ségrégation à bannir.

    Albert Camus nous a pourtant prévenus : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. » Tout le monde n’est pas aussi beau qu’on voudrait continuer à nous le chanter. Ne disons pas amen à tout et à n’importe quoi, y compris dans les colonnes de Boulevard Voltaire.