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Systémique et politique

« Si les citoyens ne s’occupent pas de politique, alors c’est la politique qui s’occupe d’eux pendant que les médias les occupent avec des histoires de starlettes ! » 

Bien dit, mais comment s’occuper de politique sans se faire rouler dans la farine par tous ces politiciens de pacotilles qui ne pensent qu’à une chose : « Taisez vous et laissez nous faire, vous n’y comprenez rien !

J’ai ma méthode, le procès ! Prononcez procèssss à l’Américaine ! Elle vaut ce qu’elle vaut et ma foi elle me convient.

Par Procès, on désigne à la fois un processus systémique ayant conduit à un « événement », mais aussi l’instruction, l’analyse systémique, qui permet d’en expliquer les causes autant que faire se peut. Bref, il faut faire marcher sa tête, relier les évènements entre eux, si on ne veut pas se la faire prendre ! Oublier un peu ses émotions et ses certitudes, douter, sentir, mais le nez au vent, pas dans les émanations de gaz d’échappement, les pollutions de l’usine voisine, les émissions de télé  réalité.

Je vous dirais, « allez respirer un peu çà » et vous comprendrez mieux ce que je dis. Je parle bien évidemment pour ceux qui habitent dans les « Résidences ».

Les autres savent déjà cela ! Enfin j’espère pour eux !

Chaque évènement « important » est la conséquence de multiples causes et enchaînements de processus, mais s’ils prennent une grande importance, c’est par l’impact sur la société, ses dirigeants et ce qui en découle pour le monde. Ce que l’on n’appréhende pas n’existe pas dit-on !

Par exemple, le seul questionnement c’est pourquoi on se bat ? Nous annonce t-on de part et d’autre, en Afghanistan ou ailleurs.

Décidément, je n’aime toujours pas les pourquoi !

Je dirais plutôt : « Comment faire pour que nous n’ayons pas à nous battre ? » Et cela n’a rien à voir avec le pacifisme ! Mais ma « représentation «  de ces « évènements » ne me fait pas ressentir la nécessité de combattre ou de donner l’argent de mes impôts pour cela.

Bref, je n’ai rien à faire de cette galère. Ce qui m’intéresse, parce que cette galère s’intéresse à moi, c’est la vie en harmonie avec mon environnement, les oiseaux, les papillons, les renards et les ours, les rivières propres pour me baigner et les champs sans pesticides pour faire la sieste en été. Manger des salades sans être obligé de les passer au compteur Geiger (oui, j’habite en Alsace et j’ai vu passer le nuage) C’est comme cela que je vois la vie. Je sais que c’est ringard et que je suis un dinosaure, mais vous ne m’aurez pas. Je suis ce que je suis et vous ne m’en ferez pas démordre.

Je veux bien agir pour « défendre » cela, mais avant d’agir, il faut instruire le procès de ce qui a engendré un évènement, une crise systémique comme la guerre en Afghanistan ou en Irak, toute cette histoire, la guerre froide, les subprimes, le pétrole, la démographie, les talibans, les attentats et bien sûr la crise « écosystémique » qui personnellement me préoccupe plus que ces autres « évènements ».

Trop c’est trop, la coupe est pleine, je sens que je vais m’énerver,  il me vient alors des idées folles, reprendre le « Garan », qui faisait de moi un tireur d’élite en Algérie et voir un peu si je n’ai pas perdu la main.

Comme dirai un chanteur « de droite » : « Mais finalement je ne casse rien ». Alors, je me retourne et je me rendors.

13 09 08

Commentaires

  • une question stupide ? en tireur d'élite quel sorte de gibier avez vous abattu ?
    Est ce pour cela que, aujourd'hui, vous vous rangez du côté des "anti chasseurs" de chevreuil et petits oiseaux ? contre la corrida ?

  • Essentiellement des sangliers, les autochtones n'aimant pas le cochon, ils nous organisaient des battues. Une fois dans une embuscade, j'ai tiré..., j'avais trop peur ! Je crois que je n'ai atteint personne.

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