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Le systémicien

  • Macron contre la Russie.

    Je crains qu'il veuille se donner un rôle qu'il n'a pas où plus, voire, machiavélique, la perspective éventuelle en cas de conflit de suspendre la constitution,comme l'a fait le président ukrainien, pour se maintenir au pouvoir sans consultation des français....
    Chris Mvg
    Qui sont chez nous les plus farouches opposants à la Russie ? La gauche… N’est-ce pas un signe ?
    Qu’est-ce que nos dirigeants sont en train de bâtir ici ? Quelque chose qui ressemble de plus en plus à l’URSS… Économie dirigée, bureaucratie à tous les étages, contrôle de l’information, censure à peine masquée, opposants pointés du doigt à l’aide de termes discréditant, sujets dont il est de plus en plus interdit de débattre, comme celui de la responsabilité de l’Homme et de ses activités dans le réchauffement climatique, les moyens de lutter contre… CNews vient d’être condamnée pour avoir laissé parler l’économiste Philippe Herlin… N’est-ce pas un signe ?
    Thierry Willems

  • Élever son esprit

    Élever son esprit

    Vers la clarté, la bienveillance, la gratitude

    La souffrance naissant de l’attachement et de l’aversion, en refusant les deux la souffrance doit cesser

    J’ai mal car je suis attaché à telle personne et qu’elle veut rompre notre relation
    J’ai mal car j’ai de l’aversion envers telle autre
    J’ai mal car je suis attaché à des souvenirs (agréables ou désagréables)

    Doit-on, et comment, rompre avec les attachements ou les aversions ?
    C’est toute la question !

    FCN

  • France et Israël même combat.

    Il fut un temps où ils partageaient une véritable communauté de destin. Dans les années 1950 et 1960, Paris fut le premier allié occidental d’Israël. C’est la France qui lui donna les moyens de sa défense — le savoir-faire nucléaire, la technologie aéronautique, l’ingénierie militaire — dans une alliance stratégique fondée sur la modernité, la science, et une certaine idée du monde libre. C’est aussi la France qui, par ses savants et ses ingénieurs, participa à la construction du réacteur de Dimona.
    À cette époque, Israël regardait la France comme son grand frère intellectuel et militaire.
    Puis vinrent les renoncements. Le général de Gaulle, par son virage après 1967, fit basculer la diplomatie française dans un double langage : condamnation des « agressions » israéliennes d’un côté, ventes d’armes massives au monde arabe de l’autre.
    Depuis, la position française n’a cessé d’osciller, entre empathie verbale et retrait politique, entre discours moralisateur et impuissance pratique.
    Aujourd’hui, cette incohérence est devenue une ligne : celle d’une France qui, à force de vouloir ménager tout le monde, ne convainc plus personne.
    Ni Jérusalem, ni Washington, ni les capitales arabes ne prennent Paris au sérieux. Israël n’a plus confiance dans la parole française.
    C’est l’honneur de la France elle- même qui vacille : son courage, sa lucidité, sa fidélité à la vérité.
    Nous n’accepterons plus l’inacceptable. Nous n’abandonnerons personne. Nous ne capitulerons pas. "Nous sommes chez nous." Tous ensemble nous appelons à une prise de conscience libératrice, alors nous résisterons et nous gagnerons.

    Résistance civique