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Le systémicien - Page 3

  • Si Philippe se présentait !

     
    Depuis mes 18 ans je vote FN puis RN puis Reconquête. Aux prochaines élections je ne sais pas encore, sauf si Philippe de Villiers se présentait.
    Alors sans hésiter une seconde je voterai pour lui. Il est le seul qui critique sérieusement et ouvertement à la fois l'immigration et l'U.E.
    L'immigration c'est plus de 500 000 immigrés, soit une ville entière comme Toulouse, qui déferlent chaque année sur la France.
    La plupart sont mal éduqués voire pas du tout et une partie nagent dans la violence depuis leur naissance.
    Forcément sur les 500 000 immigrés "légaux" il y en a un grand nombre qui étaient déjà des délinquants dans leurs pays d'origine. Ils continuent ce chemin dans la durée puisqu'en France ils ne sont pas réprimés comme dans leurs pays d'origine et encore moins expulsés.
    Ce sont donc des millions d'immigrés que j'évalue à environ 20 millions depuis 40 ans avec, à la louche, les immigrés rentrés illégalement.
    Parmi ces gens là, un grand nombre n'ont pas respecté et ne respectent toujours pas nos lois, nos coutumes, nos traditions, notre culture.
    Parmi ces gens certains qui , habitués à faire n'importe quoi dans leur pays d'origine, n'ayant reçu pour beaucoup, voire aucune éducation, aucune instruction, vont non seulement perturber les classes dans tous les niveaux de l'éducation, mais également faire baisser grandement le niveau scolaire.
    Ils ont emmené un climat de violence quotidienne, de peur, de harcèlement amenant des conséquences gravissimes sur le mental de la jeunesse.
    Et si l'on revient en arrière ce sont les musulmans qui nous ont imposé leurs revendications en commençant par les repas à la cantine sans porc...
    Tout cela est la faute des politiques de gauche et de droite depuis 45 ans qui ont gouverné la France et fait ce choix de nous imposer cette invasion migratoire.
    Ils savaient, mais voulaient en faire leurs obligés pour les élections. "Souvenez-vous c'est grâce à nous que vous êtes devenus français". Alors pour certains, comme Melanchon, cela a fonctionné mais pour la droite hypocrite cela n'a pas marché.
    Que de trahison vis à vis du peuple français et vis à vis de ceux qui étaient au front national : c'est une double trahison subie car nous sommes ceux qui ont alerté depuis plus de 40 ans sur l'ensemble des problèmes.
    Tant qu'il y avait suffisamment d'argent et que tous en profitaient, un coup la gauche un coup la droite, et que même non élus se plaçaient à des postes lucratifs en attendant l'élection suivante.
    La droite des LR en est tout autant responsable que la gauche.
    Ils ont changé d'étiquettes en fonction des échecs politiques pour brouiller les cartes et mieux tromper leurs électeurs mais ce sont les mêmes qui après avoir perdu leurs adhérents LR...PS...ont muté pour toujours en profiter sur le dos des français.
    Depuis quelques années ils s'appellent EN MARCHE, HORIZON...ils sont ceux qui à gauche et à droite ont fait échouer la France depuis 45 ans et ce sont réunis pour ne pas perdre les privilèges du pouvoir politique.
    Ils ont rejoint le Macronisme qui fit autant de ravages sur la France mais cette fois-ci ENSEMBLE gauche et droite. Ce sont les mêmes !
    Je peux apporter des critiques au RN et j'en ai; mais ils n'ont pas fait les dégâts catastrophiques pour notre pays comme continuent à le faire la gauche et la droite au pouvoir depuis 45 ans ! Que ce soit comme président, ministre, député, conseiller départemental ou régional, maire.
    Il va falloir trouver beaucoup mieux pour bouger les lignes.
    Nous devrons aller vers celui ou celle qui œuvrera pour la France en toute honnêteté, par amour pour notre Pays et notre civilisation.
    Philippe peut être cet homme !
    Pas question de laisser à nos enfants une France orange mécanique!
    Se poser la question du danger à chaque déplacement n'est pas la douce France que nous voulons pas pour nous mais pour mes enfants et les enfants des honnêtes gens.
    Les français honnêtes de souches, les français honnêtes d'origine étrangères en ont marre, tout simplement, et ils le font savoir !
    Laurent Tardivel
    10 06 25

  • Génocide

    L’accusation de génocide n’est pas seulement factuellement délirante, elle est suicidaire pour la cause palestinienne. Ceux qui emploient ce mot ne se contentent pas de mentir : ils condamnent les Palestiniens à des décennies supplémentaires de conflit. Je m’explique ⬇️
    Je ne vais même pas discuter ici du mot génocide, juridiquement infondé, historiquement absurde, moralement obscène. Ni rappeler qu’il s’agit d’un vieux réflexe antisémite : retourner la Shoah contre ses survivants. Ce qui m’importe, c’est l’effet concret de cette rhétorique. Car au-delà du délire, c’est une impasse stratégique majeure.
    Un génocidaire, on ne lui parle pas, on le combat. On ne négocie pas avec lui, on ne lui fait pas signer d’accord, on ne rêve pas de compromis. On l’extermine. Coller cette étiquette à Israël, c’est rendre tout règlement politique impossible. Définitivement.
    Ce glissement rhétorique est exactement ce que veut le Hamas. Le Hamas ne veut pas une patrie pour les Palestiniens, mais un tombeau pour les Juifs. Il rêve d’un Djihad planétaire, pas d’un compromis territorial. La logique du Hamas, c’est celle de l’offrande sacrificielle : que le peuple souffre, pourvu que le récit survive. En criant au génocide, on entre dans sa logique : celle de la guerre religieuse, absolue, sans issue politique.
    Ce discours est une catastrophe pour les Palestiniens. Il les instrumentalise. Il les réduit à des icônes sacrificielles, figées dans le rôle de victimes éternelles, dépossédées de toute autonomie politique. Plus de stratégie, plus de responsabilité historique, plus de projet. Ils deviennent les figurants d’un fantasme occidental, victimes pures pour son théâtre post-colonial.
    Le mot génocide agit ici aussi comme une suspension de l’intelligence. Plus l’accusation est grave, moins elle exige de réfléchir. Le mot génocide dispense de raisonnement. C'est un couperet qui évite d’avoir à penser la guerre, la complexité historique, les enjeux stratégiques, les responsabilités partagées, les dilemmes moraux.
    Enfin, ce discours est aussi une bénédiction pour l’extrême droite israélienne. En traitant tout Israël de nazis, on justifie tous les réflexes sécuritaires. On pousse des Israéliens modérés dans les bras de ceux qui leur promettent la force, l’unité et le refus de tout compromis. Plus on réduit Israël au mal absolu, plus la société israélienne se convainc qu’elle n’a plus rien à perdre. En somme, c’est le rêve humide de Ben Gvir : un monde qui ne voit Israël que comme un monstre, et qui renforce son discours de citadelle assiégée.
    Ceux qui parlent de génocide ne sont pas les alliés des Palestiniens, ils sont leurs fossoyeurs. Ils ne préparent pas la paix : ils la rendent impossible. Les mots ont un coût politique. Et le mot "génocide", ici, vaut 20 ans de guerre de plus. Par confort idéologique ou par haine recuite, ils sacrifient l’avenir d’un peuple sur l’autel de leur posture, car ils préféreront toujours l’éclat tragique d’une cause éternelle aux compromis ingrats d’une solution réelle."
    Emmanuel Ruimy

  • Trump et l'avortement

    L’administration Trump a confirmé ne plus accorder les 335 millions de dollars de financement du FNUAP, l’agence des Nations Unies impliquée dans la promotion de l’avortement dans le monde.

    La mesure avait été annoncée en mars et vient d’être concrétisée : l’administration Trump a mis fin au financement américain du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), et a confirmé qu’aucune nouvelle ressource ne serait allouée à cette agence de l’ONU. Comme prévu, ce promoteur mondial de l’avortement a exprimé son mécontentement.

    Cette mesure s’inscrit dans la continuité de la politique pro-vie promue par Trump lors de son précédent mandat. En 2017, Trump avait déjà signé un décret supprimant le financement de cette agence en raison de sa collaboration avec la Chine dans la mise en œuvre de politiques de contrôle de la population par le biais d’avortements forcés.

    La FNUAP a exprimé ses regrets face à cette décision :

    « La FNUAP, l’agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive, note avec un profond regret que les États-Unis d’Amérique ont annoncé leur intention de refuser tout financement futur à l’organisation en déclenchant l’amendement Kemp-Kasten .»
    « Cette décision s’ajoute aux notifications d’annulation de fonds déjà reçues, qui totalisent environ 335 millions de dollars. »

    L’agence onusienne a exprimé son désir de maintenir « un dialogue ouvert avec le gouvernement des États-Unis, notamment par l’intermédiaire du Conseil d’administration du FNUAP, dont les États-Unis sont membres », et a appelé à un réexamen de sa position.

    Cette décision fait suite au décret pro-vie signé par Trump en janvier, qui interdit d’utiliser l’argent des contribuables américains pour financer des organisations qui promeuvent ou pratiquent des avortements à l’étranger.

    Cette mesure a aussi privé les géants de l’avortement comme la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) de centaines de millions de dollars, l’IPPF ayant à elle seule perdu jusqu’à 100 millions de dollars.

    La politique de Mexico, initialement établie par Ronald Reagan, a toujours été soutenue par les présidents pro-vie et abrogée par les présidents pro-avortement. Trump l’a non seulement rétabli, mais l’a considérablement élargi, augmentant le montant du financement de la santé mondiale et les programmes couverts par cette politique.

    Une longue histoire de complicité avec la culture de la mort

    La FNUAP a une histoire bien documentée de soutien à la politique de contrôle de la population de la Chine passant par des avortements imposés et de la stérilisation forcée. Les présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush ont tous deux suspendu le financement de cette agence. En 1993, Bill Clinton a repris le financement, mais en 1999, George W. Bush l’a à nouveau supprimé.

    En 2008, le secrétaire d’État de l’époque, Colin Powell, déclarait : « Le soutien et l’implication du FNUAP dans les activités de planification démographique de la Chine permettent au gouvernement chinois de mettre en œuvre plus efficacement son programme d’avortement forcé. Par conséquent, la poursuite du financement du FNUAP n’est pas acceptable pour le moment. »

    Cependant, en 2009, le président Obama a rétabli le financement et, entre 2009 et 2016, plus de 300 millions de dollars ont été alloués à l’agence.

    Une politique globale pour la défense de la vie

    La politique de Mexico, rebaptisée Politique de protection de la vie dans l’assistance sanitaire mondiale (PLGHA) en 2017, établit que les organisations étrangères qui reçoivent un financement américain pour la santé mondiale ne peuvent pas pratiquer, promouvoir ou financer des avortements. Cette politique interdit également à ces organisations de soutenir des tiers qui se livrent à ces pratiques.

    L’administration Trump a proposé d’étendre cette politique aux contrats gouvernementaux, en exigeant des entrepreneurs étrangers qu’ils certifient qu’ils n’ont aucun lien avec l’industrie de l’avortement, notamment en interdisant le lobbying en faveur de la légalisation de l’avortement.

    Cette décision décisive de l’administration Trump marque une étape importante dans la défense de la vie et souligne la nécessité de continuer à travailler pour garantir que les ressources publiques ne soient pas utilisées pour promouvoir une culture de mort.

    Léo Kersauzie