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Violence sociale

Les renseignements, que nous pouvons tous recouper par des sources différentes, confirment que la violence dirigée, organisée, se banalise comme mode d'expression à part entière. Les pouvoirs publics, notamment éducatifs et judiciaires, démontrent chaque jour leur impuissance à l'enrayer.

Il est probablement trop tard pour reconstruire un monde sur des principes de réalité, un monde pragmatique qui respecterait les lois, les codes sociaux et les valeurs sociétales qui ont construit la civilisation occidentale sur des principes démocratiques.

Le monde, que nous avons connu, est à présent entre les mains des prédateurs et des barbares.

Il est à craindre qu'une étape ait été franchie avec le déclenchement de la crise écosystémique globale à côté de laquelle, la crise financière actuelle apparaîtra comme un "symptôme" et tout au plus comme une conséquence d'une période de dominance des concepts socialo, gaucho, bobo, bref psycho-marxistes devant lesquels la droite s'est inclinée.

La conjonction des crises : financière, économique, écologique, énergétique, démographique, alimentaire va provoquer un gigantesque tsunami dont les conséquences seront catastrophiques.

Il n'y a hélas, plus grand-chose à faire en matière de prévention et de remédiation. La gauche, comme la droite, a lamentablement échoué dans leur rôle d’éducation et de socialisation. Il est aussi trop tard pour réformer : les jeux sont faits !

Le modèle est d'ores et déjà répressif et, les libertés individuelles vont céder le pas devant un système autoritaire et "régulateur" dont les nouvelles technologies de l'information et de la communication, mais aussi les nanotechnologies, de nouvelles formes d’organisation et de gestion, vont permettre une application planétaire organisée.

Les ressources mondiales vont faire l'objet d'une guerre sans merci afin de s'en emparer ou de les conserver. Le monde va rapidement se partager entre ceux qui auront encore accès aux biens et aux services disponibles (environ un tiers de l'humanité enfermée dans ses forteresses) et le reste des hommes, en particulier la majorité des pays du Sud.

Pour eux Il n’y a plus grand-chose à faire. La décolonisation a accéléré leur dépendance à des cultures et à des croyances invalidantes d'un autre âge. Leur déficit technologique, social et culturel est considérable, leur agonie a déjà commencée car ils sont les premières victimes de la crise financière, économique et bientôt écosystémique.

Pour ce qui concerne l'Occident, nous aurons à nous prémunir contre ceux des nôtres et des migrants qui n'auront plus leur place dans un système ou la "solidarité" envers "l'autre" va disparaître au profit de celle "des siens" et contre cette singularité que représente l'Islamisme radical qui va constituer le fer de lance de la révolte de ceux, trop nombreux, qui seront inadaptés au monde qui se prépare.

L’avenir appartient à une humanité resserrée, moins nombreuse, éduquée et socialisée, respectueuse de son environnement, possédant une pluralité d’outils maîtrisés et des organisations conviviales[1] et responsables.

C’est, à mon avis, dans ces conditions que nous survivrons en tant qu’individu et en tant que groupe.

Qu'en pensez vous ?



[1] J’entends par organisation conviviale une société où l’action des hommes responsables est la plus créative et autonome possible.

Commentaires

  • OUI tout cela n'est pas réjouissant, et pourtant c'est la réalité. Enfin je veux continuer à lutter pour ce qui me parait le plus important au monde la Nature.... et dispenser autour de moi, l'espoir, et le désir de faire quelque chose. L'action en elle-même est dynamisante. N'y aurait-il pas une lueur d'espoir dans toutes ces ténèbres ????

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