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Education et socialisation

Depuis trop longtemps notre identité, nos fondamentaux culturels et cultuels sont foulés au pied et nous reculons devant la pression de cultures étrangères.

De quelque "chapelle" qu'il soit, un Maire à le devoir de reprendre  en main dans nos cités : l’acculturation, l'éducation, la socialisation et le principe d’assimilation.

Il en a les moyens, ne serait ce qu’en mettant fin à l’action pernicieuse de certaines associations gauchistes, dites « d’éducation populaire », comme les Francas, les CEMEA etc…Il suffit pour cela de couper les vivres à ces associations et aux Centres Sociaux dits culturels et de culture gauchiste bien évidemment.

Ils peuvent aussi le faire en s’opposant à la culture mortifère d’un système UMPS inspiré par des sociologues ou philosophes gauchistes comme Sartre, vainqueur hélas de Raymond ARON, ou Mérieux, ce dernier en tant que père du pédagogisme et des instituts de déformation des maîtres.

Le pédagogisme et l’IUFM, ainsi qu’un faux libéralisme qui n’a rien de libertaire, ont déstructuré depuis 1968 une quantité considérable d’élèves qui à leur tour sont devenus des enseignants conditionnés par cette sous culture consumériste qu’ils perpétuent.

Des « psychanalystes » délirants comme Françoise Dolto ou Lacan, et leurs « enfants rois » ont fait le reste !

Le résultat c’est qu’à présent le système à la Peillon est prêt à nous imposer la « théorie du genre » et comme toujours sous le prétexte de gommer les différences entre les sexes, mais en réalité d’aller toujours plus loin vers la fabrication d’un individu asexué, consommateur docile et interchangeable.  

Le système scolaire actuel n'est tout simplement pas le notre car l'éducation et la socialisation doivent être le fruit de ses trois pôles :

L’école, notre école,

La famille, notre famille,

La cite et ses institutions, notre cité et nos institutions sur lesquelles le pouvoir du Maire est considérable.
C'est en mettant ces trois pôles en cohérence et non pas en les opposant, en soutenant l’Ecole libre, en multipliant ses établissements, que nous remettrons de l'ordre au sein d'une Education nationale qui depuis mai 68 détruit la France que nous connaissons, que nous aimons et que nous voulons reconstruire.

Un Maire ayant de tels objectifs aura le soutien total des militants du FN/RBM et plus généralement de tout citoyen conscient de la destruction organisée et voulue de l’Education Nationale en France !

Des citoyens conscients qu’il s’agit tout simplement de sauver l’avenir de leurs enfants et de leur pays !

 

Francis NERI

19 01 14

Commentaires

  • Espérons qu' il y est bien plus de maires FN sinon c' est pas gagné !

  • je suis de votre avis que 68 a été le declencheur de tous nos malheurs,tout c'est degrade depuis, l'enseignement,la politique aujourdhui denuee de tout bon sens de morale et nos compatriotes qui comme un troupeau se dirige droit vers l'abattoir ,trop occupes a leurs individualismes,a leurs semblant de libertes,ecoutant les clowns qui nous divisent savamment,avec des "quenelles"un president sans personnalite,avec le charisme d'une huitre,qui court le guilledou ce dont on foutrait completement s'il faisait le boulot pour lequel il a été elu,je hais la gauche ;elle salit tout ce qu'elle touche.

  • En mai 1968, j'étais encore étudiant à Strasbourg. J'ai eu le même sentiment de grande tromperie, qu'en entendant le tristement célèbre "je vous ai compris" de de Gaulle, sur le forum d'Alger, à 11 ans en mai 1958. Quand pour calmer le jeu, et ne pas perdre le pouvoir, le gouvernement gaulliste, par la voix du ministre Edgar FAURE, abdiqua sur l'Education Nationale. Ce qui fonda la France moderne, noble, grande, généreuse et puissante, ce fut en grande partie l'Education. Et effectivement, l'Education National permit l'ascension sociale pour des millions de Français, de toutes origines, durant des générations. L'acculturation fut sensible dès le tout début des années 70. Je la constatais effaré quand j'étais jeune auxiliaire à la fin de mes études. Et depuis, la situation n'a cessé de se dégrader... Avec la volonté farouche de tout reconstruire, il faudrait, au minimum, une génération pour arrêter la ruine. Or, cette volonté n'existe pas dans la majorité de la population.

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