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Définir la menace, c’est désigner l’ennemi.

La menace islamiste n’est pas seulement incarnée par ses organisations terroristes qui ont déclaré la guerre à ses ennemis mécréants, apostats ou mauvais musulmans.
La menace totalitaire est également du fait d’Etats « amis » reconnus, dotés d’armes régulières, fournies principalement par les occidentaux, de moyens financiers considérables et même de l’arme nucléaire.

Cette menace est relayée, cautionnée, financée, appuyée, par des associations, des médias, des organisations partout dans le monde par CES Etats.

Si, elles évaluaient le péril islamiste dans sa globalité, les démocraties occidentales se retrouveraient face à leurs contradictions.
Ils ont affaire à une menace idéologique et géopolitique (salafisme, wahhabisme) appuyée, soutenue et diffusée par des alliances stratégiques et économiques qui remontent à la fin de la dernière guerre mondiale et déterminée par la politique économique, financière, stratégique américaine pour endiguer (en vain) l’expansion de l’ex-union soviétique.

L’Amérique, une fois encore jouant aux apprentis sorciers, est incapable, jusqu’à présent, de remettre en question cette politique et cette stratégie.

Et si l’espoir renait d’une cohérence d’action entre Poutine et Trump, rien encore ne se confirme du fait d’une forte opposition de la part des partisans d’Obama et de Clinton.

Les américains  savent pourtant que ces étranges alliés nous combattent aussi profondément que les terroristes, ils poursuivent les mêmes objectifs que les djihadistes les plus violents, à savoir la conquête pour l’islamisation du monde, en particulier du ventre mou européen.
Quand à L’UE, gagnée par l’utopie multiculturaliste des démocrates chrétiens comme Schumann, Monet et autres acolytes pro américains et mondialistes, elle est la  meilleure arme des islamistes… comme la plus sure voie de pénétration.

Comme le disait Karl Popper, le pire risque de dissolution des sociétés pluralistes, consiste à tolérer sur leur sol l’intolérance au nom de la tolérance.

Vous comprendrez alors que NOUS Français devons soutenir sans réserve  la résistance italienne, polonaise, autrichienne, hongroise, allemande et plus généralement la FIN de cette UE qui n’est pas NOTRE.

J’incite mes ami(e)s à le faire en se regroupant localement pour le moment venu …car il viendra …être prêt pour la « Reconquête » de nos valeurs, de nos territoires, de nos identités ETC…

Pensez y !

Francis-claude Neri
12 07 18

Commentaires

  • Tout à fait vous avez raison un grand merci pour votre article .

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