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Désespérance ?

Le Billet Amer de Pierre Maresca

En prison, fouiller les détenus et leurs visiteurs...Vous n’y pensez pas? Le faire serait porter une intolérable atteinte aux libertés individuelles, à la dignité des individus, à leurs droits essentiels et faire preuve d’une inacceptable et indécente pulsion répressive.
Tout ce que notre belle société des droits de l’homme, tout ce que notre inappréciable état de droit a mis des décennies à élaborer, à faire entrer dans les esprits, remis en cause?
Pas question...D’ailleurs la Ministre de la Justice, Mme Belloubet, l’a affirmé avec force. Après l’agression par un détenu radicalisé des surveillants pénitentiaires à la Maison d’arrêt de Condé- sur- Sarthe, inadmissible bien sûr, toutes les mesures seront prises.

Traduction du message codé: comme d’habitude, nous ne ferons rien! Mais avec toute la fermeté qui s’impose et dans le cadre de notre bienveillante loi pénale.
Un ministre de l’intérieur, Gérard Colomb, annonce des affrontements imminents, la présidente de la Région île de France, Valérie Pécresse, sonne le tocsin sur l’état des banlieues gangrenées  par la propagande salafiste et par les violences des trafics en tous genres, Grenoble flambe aujourd’hui comme d’autres villes hier parce que des délinquants se tuent sur un scooter volé en fuyant la police, le terrorisme islamique assassine dans nos rues, l’antisémitisme et la cathophobie s’expriment partout librement et tout continue comme avant. Il est bien plus urgent de s’interroger sur les « droits » des djihadistes « français » prisonniers en Syrie qui exigent d’être rapatriés, alors que l’on démontre chaque jour notre incapacité à gérer ceux que l’on détient...et ceux qui sont en liberté.

Mais qu’est- il arrivé à notre pays, grand corps malade, dont les défenses naturelles se sont affaiblies au fil du temps le laissant à la merci de tous les périls qui délitent notre corps social?
Le grand débat national répondra à toutes les questions. Sauf à celles qu’il est indécent de poser. C’est à dire la plupart des problèmes qui rendent la vie de nos concitoyens chaque jour plus insupportable. Et on s’étonne de la montée de la « peste brune », de la «  lèpre populiste » et toute cette sorte de qualificatifs que l’on exprime en se bouchant le nez. Manière politique d’ignorer les causes en stigmatisant les effets.

Publié dans Les Nouvelles Calédoniennes du lundi 11 mars 2019

Les droits de l'homme

Bonsoir Pierre,

Les droits de l'homme tels qu'ils sont enseignés, perçus en France, sont assimilables à une cruelle et interminable maladie.

Comparables à une sorte de cancer, une espèce de leucémie qui ronge et affaiblit notre société et ceux qui en sont issus.

Cette pathologie gangréneuse et métastasique a un nom : "droits-de-l’hommisme viraux".

La plupart des Français sont répertoriés comme "porteurs malsains"  du virus DH et peuvent être contaminés notamment dès l'école mais aussi, par le biais des politicards mafieux et journalistes fêlons (menteurs serait un pléonasme) ennemis de la France !

Paradoxalement, si le Français est le plus atteint par ce fléau, il est aussi le seul à ne pas pouvoir bénéficier de son traitement
Le Français subit mais ne profite pas de la thérapie réparatrice réservée en général aux seuls muridés et ramoneurs africains...

A suivre !

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