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bourdieu

  • Education et Socialisation

    Je  ne soulignerai et ne dénoncerai jamais assez le mal que la gauche, la droite, les syndicats de l’EN firent et font toujours à la France et les Français depuis 40 ans en matière d’éducation et de socialisation.

    J’ai pris conscience à ce sujet de la collusion gauche, droite, islam et du désastre en cours dans les années 90 alors qu’en tant qu’éducateur sportif et formateur je constatais les dégâts du pédagogisme au sein de la fédération sportive et de son bureau national.
    Convaincu de l’importance du sport en matière d’éducation et de socialisation, je créai la « Commission Nationale d’Education et de Socialisation ».
    La levée de bouclier fut immédiate aussi bien de la part des autres dirigeants fédéraux que du Ministère des Sports (c’était Mme Buffet à l’époque)
    Personne ne voulait comprendre et admettre que si nous n’éduquions pas et ne socialisions pas nos jeunes conformément à nos codes, nos valeurs et nos lois, la rue et l'Islam s’en chargeraient.
    Nous fumes, ma commission et moi-même écartés au plus vite et je fus prié d’aller colporter ailleurs mes « délires » ; le sport n’avait rien à voir avec l’éducation et encore moins avec la socialisation.

    Michel Foucault et Pierre Bourdieu, leurs thèses et l’I.U.F.M régnaient alors en maître, les syndicats imposaient leurs lois et les Francas leur pédagogie communiste et stalinienne née en 1945.

    J’insistais pourtant et créais aussitôt une association : l’I.E.S.E (Institut Européen d’Education et de Socialisation ) avec quelques amis enseignant, éducateur, psychologue, médecin, policier, responsable politique qui comme moi voyaient venir le danger de la déculturation de nos enfants.
    Nous avions choisi comme « entrée » la dépendance (aux drogues en particulier), et assez vite obtenu notre habilitation auprès de l’EN !
    Mais çà n’a pas duré, le contenu et la forme de notre enseignement à peine connus par les enseignants et les syndicats, l’accès aux collèges et aux lycées nous fut interdit, notre qualification en tant qu’organisme de formation refusé par deux fois et toute forme de subvention également.
    Mes amis découragés ont renoncé et si j’ai maintenu en vie notre association c’est sans véritable espoir de la voir renaître un jour.
    C’est la raison pour laquelle je constate avec plaisir que d’autres que moi, à présent, ont pris conscience de la gravité de la faute commise ; identifié les responsables et la nécessité de leur ôter tout pouvoir afin de faire cesser leurs pratiques criminelles !

    Eric Zemmour est l’un de ceux là ! Et il l'écrit ! 

    ….Cette alliance improvisée entre libéraux de droite et libertaires d’extrême gauche pour détruire la culture classique, les uns parce qu’elle refrénait les pulsions du consommateur, les autres pour abattre la culture bourgeoise, accoucheraient d’une déculturation inouïe, couverte par les oriflammes médiatiques du « le niveau monte ».
    Mai 76 fut aussi la première année effective du regroupement familial qui amena en France un public scolaire d’un médiocre niveau socioculturel où l’école et le savoir sont rarement portés au pinacle des valeurs familiales, ne parlant pas ou peu le Français.
    Le regroupement familial fut au pédagogisme ce que le nitrate est à la glycérine. Se mettre à la remorque des élèves c’était leurs interdire toute acquisition du savoir si leur milieu social ne les y avait pas préparés. C’était donc accroître les inégalités sociales en se proposant de les réduire.
    Des enfants qui ne savent pas lire et écrire sont condamnés à être relégués dans le collège unique. Le mépris français pour l’enseignement technique se conjugua au refus de ces jeunes d’être « les esclaves  des français » comme papa, c'est-à-dire ouvriers. La machine éducative s’interdisant désormais de leur inculquer les rudiments du « roman national », leur manque identitaire les jeta dans les bras chaleureux de l’Oumna islamique et de la haine de la France.

    Quarante ans plus tard, 40 % des jeunes garçons de l’immigration étaient au chômage….La violence règne dans les collèges de banlieues, et les classes favorisées se protègent dans les établissements du centre ville ; les classes moyennes prennent d’assaut les écoles privées…On comprend mieux la  révolte populaire qui gronda contre le projet de 1984 d’intégrer de force l’école privée dans l’enseignement public….la gauche se révèlerait maladroite, arrogante…

    Le suicide français
    pages 159 /160
    Eric Zemmour                                        

    Nous devons impérativement faire renaitre le concept d’éducation et de socialisation au sein des trois pôles de l’Education : l’école, la famille et les associations du temps libre ; nous ne pouvons en aucun cas continuer à laisser la rue, les mafias et les communautarismes éduquer et socialiser nos enfants.

    Il n'est pas trop tard.

    Francis NERI
    Président de L’IESE
    Institut Européen de Socialisation et d’Education
    20 01 15