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islamisme radical

  • Soumission

    Soumission  la refuser ce serait choisir la guerre.

    Un grand nombre de spécialistes et de docteurs de la foi semblent être d'accord pour voir dans le Coran une déclaration de guerre au monde en arabe. Dans ce cas peu importe les nuances, les interprétations, les bonnes intentions, le Coran demanderait en simplifiant à peine, la soumission de tous, la refuser ce serait donc choisir la guerre.

    Si l'on considère ce paradigme, impossible à contredire, comme la matrice du texte, à laquelle tout peut être ramené, quelles sortes d'intérêts aurions nous, musulmans ou impies, à le nier?

    Pour les premiers on parle d'une tactique, une ruse de dissimulation appelée Taqyah.

    Mais pour les seconds, s'agit-il d'un vœu pieux, d'une déficience cognitive, d'une alliance objective ?

    Je pense que le message est on ne peut plus clair, sachant que la traduction du mot "islam" est "soumission" et la traduction du mot "musulman" est le substantif "soumis"! Il est impossible de manière logique de ne pas en déduire le contexte de l'interaction avec l'islam imposé par l'islam aux autres croyances ou à l'absence de croyance et donc du musulman avec le non musulman.

    Le résultat est dynamique, puisqu'il s'agit du rapport entre la Soumission et l'insoumission, donc à l'échelle humaine du soumis à l'insoumis, c'est à dire concrètement du déjà soumis soumettant (s'il pense que le rapport de forces le permet et sinon en attendant s'engageant à œuvrer pour qu'il le permette) à l'insoumis à soumettre.

    La différence entre l'islamisme radical et l'islam dit modéré n'étant qu'une question de tempo, l'un n'ayant pas la patience de l'autre, l'un n'ayant pas les doutes de l'autre sur l'assistance de la Providence divine.

    L'islam c'est chouïa chouïa et l'islamisme c'est fissa fissa et sinon c'est kif kif.

    Le statut de dhimmi et le concept de djihad sont là confirmation de ce qui précède.

    François Amsallem

    01 05 19

  • 290 morts chrétiens au Sri Lanka

    290 morts chrétiens au Sri Lanka et le politico-médiatique

    La routine quoi. En même temps faut les comprendre les journalistes, si on devait s’émouvoir à chaque fois qu’un musulman tue un juif, un chrétien, un bouddhiste, un hindouiste ou un mécréant sur Terre, on y passerait toutes nos journées alors bon, ils n’auraient même plus le temps de nous faire avaler leurs salades.

    Bon là, les gars n’ont pas fait dans la dentelle alors ils ont fait un effort pour saluer l’évènement, mais s’il y avait eu moins de 20 morts, ça serait passé en faits divers, faut pas inquiéter les français pour rien quand même, surtout en cette période d’incendies spontanés qui prennent sur les toits par la voie du St Esprit, ça pourrait perturber leur vote sous hypnose en mai prochain.

    Mais que font la police …et le Pape ?

    Clamp

    22 04 19

    La résistance contre l’islamisation est de la légitime défense.

    Les textes fondateurs de la religion islam instruisent les musulmans à tuer, convertir de force, discriminer, exiler juifs, chrétiens, apostats, opposants, gays, etc. Ils les incitent à la pédophilie et à inférioriser les femmes, et tout ceci a été suivi par un nombre énorme de musulmans depuis le 7e siècle jusqu’à nos jours et va à l’encontre des lois Occidentales et des Droits de l’Homme.

    Les musulmans (y compris en vertu du principe de précaution) doivent donc tous être EXPULSÉS vers les 57 pays musulmans qui se devront de les accueillir car ils sont frères en religion, et comme leur religion islam sera INTERDITE en Occident. Islam, musulmans, islamisme, islamistes, djihad, djihadiste, salafisme, salafistes, etc. une SEULE et MÊME affaire : le tout est concerné par le retour au bled.

    Une guerre nous est conduite sans discontinuité depuis 7 siècles ; il est grand temps de RÉGLER le problème une fois pour toute !

    Le monde entier avait su s’unir contre le péril nazi, et en débarrasser la planète. Il faudra faire de même pour éradiquer le cancer islamique, et ceux qui les soutiennent.

    Ancien d’AFN
    22 04 19

     

  • E. Morin et la complexité

    Je viens de lire un article d' André Burguière sur E.MORIN dont je partage certaines idées qui traitent de « complexité ». Je regrette toutefois que le Président Nicolas Sarkozy ait cru bon de le recevoir et de lui donner une audience médiatique qu'à mon humble avis, il ne mérite pas.

    Ses idées forces sont les suivantes selon André Burguière :

    . L'imaginaire de la culture populaire socialise les désirs et les peurs.
    . La pensée sépare et oppose les phénomènes, alors qu'elle devrait les rapprocher et les envisager dans leur complexité.
    . La mondialisation est porteuse d'une conscience mondiale.

    Je suis d'accord avec ces trois concepts. Ce sont les interprétations et applications des lois de la complexité, que donne E Morin, qui sont contestables car elles sont le reflet de ses déterminismes marxistes.

    E. Morin est un indécrottable trotskiste :"Le socialisme ou la barbarie.». Il est passé, comme bien d'autres déçus par l'effondrement de l'URSS, dans le camp des islamos-gauchistes dont il loue la « singularité ». Il est d'ailleurs encensé par les islamosfascites qui reconnaissent en lui un maître à penser.

    Paradoxalement, ses attitudes et son comportement illustrent bien, tout au long de sa vie, cette incapacité à remettre en cause les déterminismes biologiques et sociaux qu'il dénonce.

    E. Morin est en fait prisonnier de son passé qu'il projette dans un futur onirique que seuls quelques dinosaures « penseurs » comme Jacques Derrida, Pierre Bourdieu, Jean-Luc Nancy, Pierre Legendre, Amartya Sen, Noam Chomsky, Alain Badiou, proposaient encore récemment à des soixante-huitards perclus de rhumatismes et de frustrations.

    Se sont ceux là qui soutiennent encore la « pensée séparée » d'idéologies poussiéreuses que ces « penseurs » entendaient pourtant rapprocher dans une hypothétique mondialisation et universalité culturelle devant précéder l'universalité économique et sociale.

    Il faut sortir de cette injonction paradoxale, cette double contrainte, qui pousse un homme comme E.Morin, porteur et vulgarisateur de concepts récupérés ailleurs, en particulier auprès de ceux de l'école de Palo Alto ( Bateson, Watzlawick), à les dénaturer au bénéfice d'une idéologie mortifère comme l'islamisme radical.

    Il n'y a pas, dans le contexte actuel, pour le monde occidental  et oriental, de finalité première qui ne soit plus forte que celle-ci : l'éradication de l'islamisme radical. Ensuite pourra venir la maîtrise de la démographie mondiale, puis la régulation économique et sociale, et enfin une juste répartition des ressources planétaires.

    Commençons donc par le commencement !

    §

    Le texte en question !

    Intelligence de la complexité

    De la sociologie appliquée à la culture populaire jusqu'à la philosophie de la connaissance, cet esprit insatiable est devenu une référence

    Voilà plus de trente ans qu'Edgar Morin, l'un des grands sociologues français du XXesiècle, s'est engagé dans sa grande aventure intellectuelle : l'écriture de « la Méthode », une somme philosophique à la manière des grands traités du XIXe siècle, six volumes dans lesquels il entreprend de repenser les fondements du monde naturel, de la connaissance et de la morale. Cette tâche immense l'a condamné à un isolement monacal et l'a tenu à l'écart de l'agitation médiatique. Mais elle lui a gagné l'audience des spécialistes des sciences exactes et des sciences de la vie, parce qu'au lieu de suivre le parcours obligé des grands textes philosophiques il y dialogue avec les savoirs de la biologie moléculaire, de la pensée systémique ou des théories de l'information.
    Le concept de complexité qu'il entend substituer au vieux principe cartésien de spécialisation et de réduction de la réalité observée à des éléments simples a d'abord séduit les chercheurs des sciences dures puis ceux des sciences humaines qui avaient eu tendance à s'enfermer au contraire dans une spécialisation accrue. Edgar Morin, qui a longtemps souffert d'une image d'amateur et de marginal dans son milieu professionnel, est aujourd'hui un penseur reconnu, commenté, célébré du Vieux Continent au Nouveau Monde; une sorte de grand sachem dont tout le monde, du professeur de collège au chef de l'Etat, invoque l'autorité.
    En réalité, Edgar Morin n'a pas eu deux vies. Il en a eu trois, quatre, peut-être dix, et toutes n'ont cessé de survivre en lui. C'est ce qui explique l'exceptionnelle richesse de son itinéraire et de son oeuvre publiée (une bonne trentaine de livres). Tout se noue pour lui quand les troupes allemandes entrent à Paris au moment où il commençait des études supérieures. Il choisit de fuir en zone libre. A Toulouse, il entre dans un réseau de Résistance d'obédience communiste et connaît les tribulations de la vie clandestine avec ses hasards heureux et ses drames. Versé à la Libération dans les forces d'occupation en Allemagne, il en revient avec son premier livre, « l'An zéro de l'Allemagne », un saisissant témoignage sur Berlin enseveli sous les ruines et la défaite. A son retour, le PC lui assure le couvert avec un poste de permanent qui lui permet de s'initier au journalisme. Mais il a de plus en plus de mal à retrouver dans le stalinisme soupçonneux du parti de Maurice Thorez l'optimisme révolutionnaire, adossé au grand frère soviétique, qui l'exaltait dans les combats de la Résistance. Il se serait éloigné du Parti sans fracas si celui-ci n'avait décidé de l'exclure, comme il l'a raconté dans « Autocritique », un passionnant essai autobiographique qui inventa un genre littéraire promis à un grand succès en France : les Mémoires des ex-communistes.
    Sa rupture avec le PC, qui aurait pu n'être qu'un simple dégrisement, devient pour lui une blessure profonde dans laquelle se réveille le sentiment de rejet, d'abandon qu'il éprouva, enfant, à la mort de sa mère. Son exclusion ne l'a pas poussé vers la droite, comme nombre d'autres intellectuels qui ont quitté le Parti. Mais elle l'a rendu allergique pour toujours au manichéisme de l'adhérent et du militant.
    Plus que la fidélité religieuse à une gauche dont la définition serait toujours à reprendre, c'est son passage par le marxisme qui entretient en lui une attention aux ferments qui travaillent la société et l'obligent à se remettre en question. Mais il semble qu'un fil rouge plus secret relie sa posture politique et sa pensée sociologique à la réflexion épistémologique et philosophique qu'il poursuit depuis quarante ans. Pour le saisir, il nous faut remonter plus haut et chausser, l'espace d'un instant, les lunettes du docteur Sigmund. Edgar Morin est né en 1921 dans une famille juive de Salonique, émigrée à Paris pendant la Première Guerre mondiale. A 5 ans, il perd sa mère, que les médecins avaient prévenue : une grossesse menacerait gravement sa santé. Ce lien affectif perdu a durablement orienté sa manière d'appréhender le monde et sa propre identité.
    Son adhésion profonde à la culture française de l'école publique et au catéchisme enchanté de l'histoire nationale n'a pas effacé en lui la douceur des saveurs sépharades, qu'il associe à l'image lointaine de sa mère. «Moi marrane », a-t-il écrit, non pour préserver, à la manière des conversos, une identité secrète sous l'identité qu'il déclare, mais pour revendiquer la liberté de choisir lui-même l'agencement de son identité composite. Il reste attaché au destin singulier du judaïsme et à l'héritage moral qu'il lui a transmis, mais ne s'est jamais senti un devoir d'allégeance à la politique de l'Etat d'Israël.
    Elevé par un père qui ne s'était pas remarié et rentrait tard le soir après avoir fermé sa boutique, il a connu dans son enfance de longues plages de solitude qu'il comblait par une boulimie de lectures désordonnées. C'est ce qui donne à sa culture son immensité chaotique, mal supportée par ceux qui ont subi le dressage des grandes écoles. Cette solitude privée de tendresse maternelle lui a communiqué très tôt une attente des autres mêlée de curiosité, comme si chaque rencontre qui le sortait de lui-même devait être une découverte et chaque individu avec lequel il pouvait établir un lien, un puits de vérité. La particularité de sa quête sociologique vient de là. A la différence de la tradition dominante de la sociologie française, attachée à dégager les normes qui assurent le fonctionnement de la société ou y entretiennent des rapports de domination, Edgar Morin s'est intéressé en priorité à la créativité de l'imaginaire social, c'est-à-dire à la socialisation des désirs et des peurs. Les thèmes des ouvrages sociologiques qui l'ont fait connaître, « le Cinéma ou l'Homme imaginaire », « les Stars », « l'Esprit du temps » ou « la Rumeur d'Orléans », ont pu paraître futiles aux doctes parce qu'ils prenaient au sérieux une culture populaire de consommation réputée aliénée. Mais c'est, en réalité, la capacité de la société à se critiquer et à se réinventer que Morin s'employait à débusquer dans les accents « sauvages » du yé-yé ou l'univers onirique des films à succès.
    Le tournant intellectuel qu'il opère au début des années 1970 après une invitation au Salk Institute en Californie n'efface pas les obsessions de son enfance. Il les transfère au plan épistémologique et métaphysique. Ses nouvelles interrogations ont ceci de commun avec la pensée de Michel Foucault qu'elles considèrent le besoin de séparer, de réduire comme une infirmité de l'esprit humain. Mais alors que l'auteur de « l'Histoire de la folie » ne voit aucune issue à cette malédiction - parce que l'énonciation de la vérité, à ses yeux, sert de fondement à la domination sociale -, Edgar Morin croit possible une réforme intellectuelle qui apprendrait aux hommes à penser ensemble ce qu'ils ont cru longtemps utile de séparer, d'opposer, pour arriver à mieux vivre ensemble.
    On pourrait le qualifier de doux rêveur. Mais son expérience des tragédies du XXe siècle, sa critique impitoyable des idéologies, y compris de l'idéologie du progrès, qui ont porté ces tragédies sont là pour prouver qu'il ne se berce pas d'illusions. Un optimisme incertain, venu des attentes de son enfance, demeure rivé en lui. Au moment où tout le monde dénonce les méfaits sociaux de la mondialisation, il entrevoit dans « Terre-Patrie » la possibilité d'une conscience mondiale sur laquelle pourrait se construire une nouvelle citoyenneté. Cette conscience ne provient pas d'un sursaut humaniste mais des signes désormais évidents d'un danger qui menace la survie de la planète et de l'humanité. Elle a déjà modifié nos habitudes quotidiennes. Elle ne suffira peut-être pas à sauver la planète. Mais l'histoire des hommes comme celle de la Nature sont le produit d'un mélange étrange de hasard et de nécessité. Rien ne permettait de prédire que la vie saurait répondre à l'enfant esseulé Edgar Morin qui cherchait à se lier aux autres.

    Edgar Morin en quatre dates :

    1921. Naissance à Paris.
    1942. Engagement dans la Résistance.
    1969. Parution de «la Rumeur d'Orléans ».
    1977. Début de la publication de « la Méthode »

    André Burguière

    05/08/10