Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

l'afrique est un problème

  • Un monde futuriste

    Projetez-vous dans un monde futuriste. Un monde où tout serait facile, où la technologie faciliterait grandement votre quotidien. Tapotez une recette de votre choix sur ordinateur et par miracle votre diner est prêt. Présentez-vous sur une plateforme de téléportation et la machine ultra sophistiquée vous propulse vers la destination de votre choix en un éclair.

    Combien de temps cela vous prendrait-il vous, hommes ou femmes, du 21e siècle pour vous acclimater à ces merveilleuses technologies?

    Cela dépendrait de vos capacités bien sûr, mais en tout état de cause votre ambition personnelle vous pousserait à dompter et à domestiquer ces nouvelles technologies dans l'idée d'évoluer et pour parfaire votre existence.

     Aussi comment expliquer que des populations qui immigrent en France se complaisent à reproduire leur mode de vie médiocre voire misérable qu'ils ont laissé derrière eux ?

    N'est-ce pas pour trouver une vie meilleure que l'on fuit dictature, pauvreté ou famine ?

     Comment peut croître économiquement un pays qui intègre des individus imperméables à l'évolution ?

    L'intégration est balayée d'un geste de la main par des gens qui se refusent à la moindre concession en faveur du pays qui les accueille. Évoluer ne les intéresse pas, c'est une notion qui leur est inconnue. Pour ne parler que de l'Afrique, vous prenez ce continent il y a 100 ans, il y a 50 ans et aujourd'hui, rien n'a changé, reprenez-le dans 100 ans ce sera toujours la même civilisation improductive, particulièrement avec l'expansion de l'islam.

    En même temps les idées progressistes sont inutiles sous gouvernance socialiste puisqu'on régresse plus que l'on progresse, voilà pourquoi on ouvre grandes les portes de la maison France, afin de trouver de futurs électeurs qui seront d'accord sur tout pourvu que l'on finance leur médiocrité.

    Lise Baylac