A la jeunesse afro maghrébine
Jeunesse afro maghrébine, vous gâchez vos chances et êtes en train de détruire, comme des enfants gâtés, grincheux et mal élevés, ce que nos parents ont bâtis et que vos parents sont venus chercher et ont aidés à développer.
Vous êtes en train de scier la branche de l'arbre que nous avons planté et élevé et sur laquelle vous vous êtes assis. Mais une fois la branche coupée, car vous la scierez bien évidemment, devinez ce qui va arriver ?
Nous mettrons un pansement sur le moignon afin d'éviter l'infection et nous veillerons bien attentivement à ce que vous ne puissiez plus jamais remonter sur NOTRE arbre.
Ensuite, d'autres branches pousseront et l'arbre se développera, grandira pour faire toujours plus de place à ceux qui voudront participer à son développement et qu'il puisse produire toujours plus de fruits.
Et puis, nous planterons d'autres arbres car nous avons quelque chose que vous n'avez pas dans les pays de vos ascendants : de l'eau, plusieurs sortes d'eau, et je vous laisse devinez laquelle est aujourd'hui la plus précieuse pour nous !
Mais plus jamais nous ne vous inviterons à partager les fruits de nos efforts.
Nous avons tout compris en voyant dans quel état les vôtres, dont vous portez haut les drapeaux, tout en brûlant le notre, entretiennent les pays africains et maghrébins dont vous êtes originaires.
Nous avons compris que si, individuellement, vous êtes capables de socialisation, et de modernité, collectivement vous vous comportez comme des barbares destructeurs, paranoïaques et schizophrènes, enfermés dans votre religion de haine avec laquelle vous espérer bien nous envahir et nous détruire sans réfléchir une seconde que vous vous détruirez en même temps.
Il vous reste une chance pourtant.
Je suis d'accord avec vous pour reconnaître qu'il existe dans notre pays des inégalités financières, sociales, culturelles, cultuelles qui sont source de conflit. Mais nous avons appris à les gérer, ce que vous ne savez et ne voulez pas faire, car certains vous ont inculqué au sein de vos mosquées et dans vos quartiers perdus, que seul l'islam et le djihad étaient éducatifs, socialisants et source de bien être pour tous.
Nous sommes un vieux pays, de culture judéo-chrétienne, il le restera ! Vous êtes originaires de pays jeunes et bouillonnants comme votre jeunesse à qui des idiots utiles ont dit que la transgression de nos règles, nos codes sociaux était socialisante, que la France c'était comme les mobylettes, qu'il fallait du mélange pour la faire marcher.
Ces imbéciles se sont et vous ont trompés, çà ne marche pas ainsi.
Il vous reste une chance, disais je, de comprendre et de vous insérer dans un monde qui, si vous ne le faites pas, vous broiera inexorablement, vous et vos imams fanatiques.
Cette chance, c'est de partir ! Il n'y a plus de place pour vous chez nous. Je répète, nous sommes un vieux pays qui n'a pas fini de vieillir car nous vivons de plus en plus longtemps.
Trouver un emploi chez nous est une gageure. Les grands chantiers du monde s'ouvrent ailleurs ; aller au Maroc, en Algérie, en Afrique noire, il y a tant à faire. Tout est ouvert aux esprits pionniers. Nous y avions laissé une structure saine, économique, administrative, des biens, meubles et immeubles. Qu'est ce que vos frères sur place en ont fait ? Pourquoi les Chinois viennent prendre la relève ? Vos frères sont ils incapables de s'auto gouverner ? Ce n'est pas aux chinois de venir labourer, saisir les bras de la charrue et le manche de la cognée, mais aux indigènes de le faire et, vous pouvez les y aider.
Contrairement à eux, vous avez eu accès à l'Éducation, une formation, et une assistance sociale qui a permis a nombre d'entre vous de vivre.
Il faut malheureusement constater que beaucoup trop abusent du système, demandant toujours plus sans arrêt. Il est au bord de l'explosion.
Le gâteau est devenu trop petit mes amis et vous ne faites pas grand-chose pour l'agrandir !
Souvenez vous et, si vos parents ne vous l'ont pas raconté, demandez aux anciens Pieds Noirs. Vos frères leur ont tout prit et puis ils ont dit : « La valise où le cercueil » et pourtant comme vous aujourd'hui, ils étaient chez eux, et ils auraient bien aimé rester.
Alors si vous voulez jouer en France une hypothétique deuxième mi temps de la « guerre d'Algérie », ou prendre une revanche sur la « colonisation », méfiez vous, vous pourriez quitter la France dans de plus mauvaises conditions que celles que j'ai l'intelligence de vous proposer et que vous n'aurez pas la stupidité de refuser.
Vos frères vous attendent, bon voyage mes jeunes amis !