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rafle du val d'hiv

  • LETTRE OUVERTE AUX ECONOMISTES DE VICHY.

    Ils soutiennent Macron, ces économistes vendus à l’UE, et l’écrivent dans une tribune à paraitre, dans le quotidien « dont l’indépendance éditoriale » n’est plus à démontrer « LE MONDE ».

    Ainsi, il conviendrait de soutenir la politique de « L’Offre », un peu comme s’il y avait une « Demande » ! Et pourtant, ils n’ont pas tort, le paradigme de l’économie européenne conduit à toutes les positions les plus absurdes pour la France, car oui, la demande européenne est soutenue par les subventions éponymes versées aux clients polonais, tchèques et slovaques de l’Allemagne.

    Et moderniser une chaine de production polonaise, revient en fait, à intégrer le contribuable français dans les Conseils d’administration de ces entreprises, sans qu’il ait la moindre voix à exprimer, pas même l’indemnisation d’un jeton de présence.

    La DEMANDE existe en Allemagne, et nous la finançons (je ne reviendrai nullement sur les principes du marché Mitteleuropa), en nous saignant à blanc pour aider ce marché de l’Est dont nous sommes désespérément absents !


    Pourtant, il n’y a pas de DEMANDE en France, mais quelques économistes de bas niveau ou stipendiés qui s’escriment à nous vendre le rêve économique européen, en portant à bout de bras la politique de l’OFFRE qui ne bénéficie qu’à l’Allemagne.

    Et pour le coup, et on ne pourra pas me taxer d’idéologue de droite « extrême », car j’estime que les travaux de Jacques Sapir, dans la mesure où il pose un diagnostic étayé et implacable sur les ressorts de l’économie mondiale, et Joseph Stigliz dont nous pouvons affirmer qu’il ne fréquente pas les milieux « extrémistes » sont des techniciens de bons sens (j’irai jusqu’au terme de scientifique pour Stiglitz), et que cette fascination morbide de la part de certains Français pour cette Union contre nature, va jusqu'à nier les évidences économiques et monétaires, d’un fiasco qui s’inscrira finalement dans les futurs livres d’Histoire comme la plus dévastatrice expérience économique et monétaire de tous les temps.
    Il n’aura fallu que quinze ans pour que les salaires français les plus bas, s’approchent des salaires roumains, pendant que dans nos anciens comptoirs asiatiques, nos revenus d’aujourd’hui feraient « pleurer » d’orgueil les plus modestes !

    Comment peut-on encore croire à cette Europe, et craindre une sortie d’un système oligarchique financier qui lamine les identités et nivelle la France par le bas.

    Le bien bas qui n’aspire qu’à mettre à bas, la civilisation et les hommes qui furent pourtant toujours nourris par la terre de leurs ancêtres.
    D’autant plus qu’ il n’y a qu’en Europe que l’on voit des traitres hors-sol, thuriféraires du « Grand Remplacement », déployer autant d’énergie pour tenter de démontrer qu’une monnaie de « misère » serait un tel signe d’opulence qu’elle devrait-être partagée avec les « migrants ».

    Ces signataires d’une tribune « économique » dans un journal qui partage désormais son statut de quotidien « torche-cul » avec le journal Libération, sont bien les dignes descendants de Walter Hallstein, et sont à « l’économie », ce que Doriot, Laval et Abel Bonnard, étaient à la politique; les serviteurs d’une bien funeste théorie.

    Patrick Escudie

    12 04 17

     

    Comment peut-on encore croire à cette Europe, et craindre une sortie d’un système oligarchique financier qui lamine les identités et nivelle la France par le bas.
    Le bien bas qui n’aspire qu’à mettre à bas, la civilisation et les hommes qui furent pourtant toujours nourris par la terre de leurs ancêtres.