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antisémitisme

  • L’antisémitisme en France.

    Le volcan gronde, et personne ne veut l’entendre.
    En France, l’antisémitisme n’est plus un résidu du passé. Il n’est plus souterrain. Il n’est plus marginal. Il est là, à ciel ouvert, au grand jour, quotidien, visible, impuni. C'est un signe un avertissement puissant sur ce qu'il risque d'advenir à tous !
    Il est dans la rue, dans les écoles, dans les entreprises, dans les administrations, dans les médias, dans les stades, sur les bancs de l’université et même dans les assemblées élues. Il est même parfois à l’Élysée, quand le silence devient complicité.
    Et pourtant, rien. Ni sursaut, ni honte, ni mobilisation. Seulement le silence. Ce silence assourdissant qui trahit les démocraties fatiguées, vidées de leurs principes, livrées à la peur de nommer les choses, à la peur de déplaire, à la peur de perdre une voix ou une alliance électorale.
    Notre société est en état de pré-éruption.
    Le cratère fume. Les signes sont là. Mais comme toujours, les démocraties tardent à réagir. Elles attendent le sang, le drame absolu, la honte irréversible.
    Alors que déjà, la société s’érode. Le volcan ne gronde plus seulement : il menace d’entrer en éruption.
    Cette éruption, ce ne sera pas un pogrom à l’ancienne. Ce sera une normalisation de la haine. Une mise à l’écart acceptée. Une invisibilisation des juifs de France, contraints de cacher leur identité, de fuir leurs quartiers, voire leur pays. Un glissement sournois d’une démocratie vers l’injustice systémique.
    Nous ne sommes pas dans les années 30. Nous sommes peut-être déjà dans les années 40 sans nous en apercevoir. Les camps ne sont plus physiques, ils sont mentaux, sociaux, numériques. Mais l’enfermement est réel. Et la violence possible.
    Les Français, tous les Français sont concernés quelle que soit leur confession; ils devraient dire stop ! Pour dire non. Pour nommer. Pour alerter. Pour réveiller les consciences et prendre des mesures qui les rassemblent sur la base d'un puissant "Egregore".
    Philippe De Villiers est en compétence et capacité pour réaliser ce "rassemblement"
    Le temps presse. Chaque jour de silence est une défaite. Chaque hésitation est un cran de plus dans la montée de l’irrémédiable.
    Plus est en nous !
    Crédit à l'auteur !

  • Un projet plus large de conquête de l’Occident

    Un antisémitisme sous-jacent à l’islamogauchisme a désormais largement supplanté celui, traditionnel, d’extrême droite, souligne Simon Epstein.
    Il semble s’être instaurée une alliance de circonstance entre une partie de la gauche voyant en l’islamisme un facteur de destruction du capitalisme, ou adhérant à la vieille association Juifs = Argent (relire les pages antisémites de Karl Marx) et une partie des jeunes d’origine arabo-musulmane.
    Mais les slogans et discours de beaucoup d’entre eux dépassent largement le conflit à Gaza, et s’inscrivent dans un projet plus global des islamistes, décrit en détail dès 2005 par un remarquable livre enquête du journaliste suisse Sylvain Besson La conquête de l’Occident, en commençant par l’Europe, considérée comme son « ventre mou ». Un projet qu’expliquent candidement nombre de jeunes islamistes en France, en Allemagne, au Royaume-Uni.
    Des petits soldats biberonnés à la nécessité de prendre tout simplement le pouvoir dans les pays occidentaux au nom d’une sourate prédisant qu’un jour l’humanité entière sera musulmane. D’abord pacifiquement, via l’entrisme dans des associations travaillant à une société séparée ou « réorientée », des horaires de piscines aux codes vestimentaires, en passant par les menus à l’école, ou les programmes scolaires, etc.
    Puis en misant sur la dynamique démographique pour devenir majoritaire et imposer la valise, la conversion, la dhimmitude ou le cercueil.

    Yves Bourdillon
    Contrepoints

  • Marine Le Pen a raison

    Marine Le Pen a raison n’en déplaise à tous les professionnels de la repentance perpétuelle.
    La France n’est pas responsable de la rafle du Vélodrome d’hiver pour la simple est bonne raison que le Régime de Vichy n’a jamais été la France.
    Sous l’occupation, la France c’est la résistance et certainement pas Philippe Pétain ou Pierre Laval.

    Ceux qui se sont prostitués avec l’occupant nazi à l’instar de René Bousquet, l’un des cerveaux de la rafle du Vél’ d’hiv, ne sont pas et ne seront jamais la France.
    Ces individus ont d’ores et déjà rejoint la poubelle de l’Histoire.

    Ceux qui aujourd’hui s’indignent de la déclaration pleine de bon sens et historiquement juste de Marine Le Pen, feraient mieux de balayer devant leur porte.

    La complaisance dont a fait preuve François Mitterrand l’égard de son ami intime René Bousquet, décoré de l’ordre de la Francisque et grand organisateur de la rafle du Vel’ d’Hiv, devrait inciter certaines associations gauchisantes à un peu plus de retenue.

    Plusieurs ordures ayant collaboré avec Hitler sous l’occupation et ayant participé à ce simulacre de gouvernement de Vichy ont été recyclées après la Libération par la gauche mitterrandienne malgré leurs agissements et leur attitude durant la seconde guerre mondiale sans que cela dérange beaucoup de monde.

    Que pensent la très socialiste Union des Etudiants Juifs de France et consorts de Jacques Saunier, Yves Cazeaux ou encore Pierre Saury, tous recyclés par la gauche ?
    La gauche aurait pourtant pu à l’époque choisir les réseaux de Jean Moulin plutôt que ceux de René Bousquet, n’est-ce pas ?

    Non, la France du bon beurre n’est pas la France (référence au film d’Edouard Molinaro). Notre nation n’a pas à s’excuser du comportement de certains de nos compatriotes ayant agi pour leur propre compte au nom de la France. La France et les Français ne sont pas responsables des actions menées par les collabos de Vichy.

    Rejeter la responsabilité de la France en tant que nation dans la rafle du Vel’ d’Hiv n’est en aucun cas du négationnisme. Marine ne nie pas la réalité de ce fait historique pas plus qu’elle ne nie les conséquences cataclysmiques pour les Juifs déportés en 1942.

    En revanche, imputer à la France et à son peuple la responsabilité de la déportation des Juifs vers les camps de la mort serait tout simplement historiquement faux même si personne ne peut nier que des Français ont participé à la mise en œuvre de la solution finale.

    Michel Thooris,
    Président de l’UPFJ.

    12 04 17