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antisémitisme

  • Un projet plus large de conquête de l’Occident

    Un antisémitisme sous-jacent à l’islamogauchisme a désormais largement supplanté celui, traditionnel, d’extrême droite, souligne Simon Epstein.
    Il semble s’être instaurée une alliance de circonstance entre une partie de la gauche voyant en l’islamisme un facteur de destruction du capitalisme, ou adhérant à la vieille association Juifs = Argent (relire les pages antisémites de Karl Marx) et une partie des jeunes d’origine arabo-musulmane.
    Mais les slogans et discours de beaucoup d’entre eux dépassent largement le conflit à Gaza, et s’inscrivent dans un projet plus global des islamistes, décrit en détail dès 2005 par un remarquable livre enquête du journaliste suisse Sylvain Besson La conquête de l’Occident, en commençant par l’Europe, considérée comme son « ventre mou ». Un projet qu’expliquent candidement nombre de jeunes islamistes en France, en Allemagne, au Royaume-Uni.
    Des petits soldats biberonnés à la nécessité de prendre tout simplement le pouvoir dans les pays occidentaux au nom d’une sourate prédisant qu’un jour l’humanité entière sera musulmane. D’abord pacifiquement, via l’entrisme dans des associations travaillant à une société séparée ou « réorientée », des horaires de piscines aux codes vestimentaires, en passant par les menus à l’école, ou les programmes scolaires, etc.
    Puis en misant sur la dynamique démographique pour devenir majoritaire et imposer la valise, la conversion, la dhimmitude ou le cercueil.

    Yves Bourdillon
    Contrepoints

  • Marine Le Pen a raison

    Marine Le Pen a raison n’en déplaise à tous les professionnels de la repentance perpétuelle.
    La France n’est pas responsable de la rafle du Vélodrome d’hiver pour la simple est bonne raison que le Régime de Vichy n’a jamais été la France.
    Sous l’occupation, la France c’est la résistance et certainement pas Philippe Pétain ou Pierre Laval.

    Ceux qui se sont prostitués avec l’occupant nazi à l’instar de René Bousquet, l’un des cerveaux de la rafle du Vél’ d’hiv, ne sont pas et ne seront jamais la France.
    Ces individus ont d’ores et déjà rejoint la poubelle de l’Histoire.

    Ceux qui aujourd’hui s’indignent de la déclaration pleine de bon sens et historiquement juste de Marine Le Pen, feraient mieux de balayer devant leur porte.

    La complaisance dont a fait preuve François Mitterrand l’égard de son ami intime René Bousquet, décoré de l’ordre de la Francisque et grand organisateur de la rafle du Vel’ d’Hiv, devrait inciter certaines associations gauchisantes à un peu plus de retenue.

    Plusieurs ordures ayant collaboré avec Hitler sous l’occupation et ayant participé à ce simulacre de gouvernement de Vichy ont été recyclées après la Libération par la gauche mitterrandienne malgré leurs agissements et leur attitude durant la seconde guerre mondiale sans que cela dérange beaucoup de monde.

    Que pensent la très socialiste Union des Etudiants Juifs de France et consorts de Jacques Saunier, Yves Cazeaux ou encore Pierre Saury, tous recyclés par la gauche ?
    La gauche aurait pourtant pu à l’époque choisir les réseaux de Jean Moulin plutôt que ceux de René Bousquet, n’est-ce pas ?

    Non, la France du bon beurre n’est pas la France (référence au film d’Edouard Molinaro). Notre nation n’a pas à s’excuser du comportement de certains de nos compatriotes ayant agi pour leur propre compte au nom de la France. La France et les Français ne sont pas responsables des actions menées par les collabos de Vichy.

    Rejeter la responsabilité de la France en tant que nation dans la rafle du Vel’ d’Hiv n’est en aucun cas du négationnisme. Marine ne nie pas la réalité de ce fait historique pas plus qu’elle ne nie les conséquences cataclysmiques pour les Juifs déportés en 1942.

    En revanche, imputer à la France et à son peuple la responsabilité de la déportation des Juifs vers les camps de la mort serait tout simplement historiquement faux même si personne ne peut nier que des Français ont participé à la mise en œuvre de la solution finale.

    Michel Thooris,
    Président de l’UPFJ.

    12 04 17

  • LETTRE OUVERTE AUX ECONOMISTES DE VICHY.

    Ils soutiennent Macron, ces économistes vendus à l’UE, et l’écrivent dans une tribune à paraitre, dans le quotidien « dont l’indépendance éditoriale » n’est plus à démontrer « LE MONDE ».

    Ainsi, il conviendrait de soutenir la politique de « L’Offre », un peu comme s’il y avait une « Demande » ! Et pourtant, ils n’ont pas tort, le paradigme de l’économie européenne conduit à toutes les positions les plus absurdes pour la France, car oui, la demande européenne est soutenue par les subventions éponymes versées aux clients polonais, tchèques et slovaques de l’Allemagne.

    Et moderniser une chaine de production polonaise, revient en fait, à intégrer le contribuable français dans les Conseils d’administration de ces entreprises, sans qu’il ait la moindre voix à exprimer, pas même l’indemnisation d’un jeton de présence.

    La DEMANDE existe en Allemagne, et nous la finançons (je ne reviendrai nullement sur les principes du marché Mitteleuropa), en nous saignant à blanc pour aider ce marché de l’Est dont nous sommes désespérément absents !


    Pourtant, il n’y a pas de DEMANDE en France, mais quelques économistes de bas niveau ou stipendiés qui s’escriment à nous vendre le rêve économique européen, en portant à bout de bras la politique de l’OFFRE qui ne bénéficie qu’à l’Allemagne.

    Et pour le coup, et on ne pourra pas me taxer d’idéologue de droite « extrême », car j’estime que les travaux de Jacques Sapir, dans la mesure où il pose un diagnostic étayé et implacable sur les ressorts de l’économie mondiale, et Joseph Stigliz dont nous pouvons affirmer qu’il ne fréquente pas les milieux « extrémistes » sont des techniciens de bons sens (j’irai jusqu’au terme de scientifique pour Stiglitz), et que cette fascination morbide de la part de certains Français pour cette Union contre nature, va jusqu'à nier les évidences économiques et monétaires, d’un fiasco qui s’inscrira finalement dans les futurs livres d’Histoire comme la plus dévastatrice expérience économique et monétaire de tous les temps.
    Il n’aura fallu que quinze ans pour que les salaires français les plus bas, s’approchent des salaires roumains, pendant que dans nos anciens comptoirs asiatiques, nos revenus d’aujourd’hui feraient « pleurer » d’orgueil les plus modestes !

    Comment peut-on encore croire à cette Europe, et craindre une sortie d’un système oligarchique financier qui lamine les identités et nivelle la France par le bas.

    Le bien bas qui n’aspire qu’à mettre à bas, la civilisation et les hommes qui furent pourtant toujours nourris par la terre de leurs ancêtres.
    D’autant plus qu’ il n’y a qu’en Europe que l’on voit des traitres hors-sol, thuriféraires du « Grand Remplacement », déployer autant d’énergie pour tenter de démontrer qu’une monnaie de « misère » serait un tel signe d’opulence qu’elle devrait-être partagée avec les « migrants ».

    Ces signataires d’une tribune « économique » dans un journal qui partage désormais son statut de quotidien « torche-cul » avec le journal Libération, sont bien les dignes descendants de Walter Hallstein, et sont à « l’économie », ce que Doriot, Laval et Abel Bonnard, étaient à la politique; les serviteurs d’une bien funeste théorie.

    Patrick Escudie

    12 04 17

     

    Comment peut-on encore croire à cette Europe, et craindre une sortie d’un système oligarchique financier qui lamine les identités et nivelle la France par le bas.
    Le bien bas qui n’aspire qu’à mettre à bas, la civilisation et les hommes qui furent pourtant toujours nourris par la terre de leurs ancêtres.