01-Eric Zemmour provoque le malaise chez certains Français juifs
Le président du CRIF, un « homme de gauche » a lancé un appel pour qu’il n’y ait « pas une voix juive » pour le potentiel candidat à la présidentielle dont les prises de position ont heurté. Une mise en garde qui peine à trouver écho dans une partie de la base.
Francis Kalifat, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) nous dit : « Pas une voix juive ne doit aller au candidat potentiel Zemmour », a estimé, mi-septembre sur Radio J, en qualifiant Eric Zemmour de « juif utile ».
Ce dernier avait rétorqué que M. Kalifat était « l’idiot utile des derniers antisémites ».
Soyons sérieux Mr Khalifat vous ne représentez plus rien, le sujet est le « conflit de civilisations » avec un islam menaçant la République, dont Eric Zemmour est le seul à comprendre l’ampleur. A propos du terrorisme islamiste : « On ne crie pas “Heil Hitler”, on crie “Allahou akbar”. ».
02-Et pour enfoncer le CRIF.
Faire imploser l'UE !
« Si mettre fin à cette guerre politique qui ne dit pas son nom paraît utopique, il n'est par contre pas impossible de combattre en toute lucidité cette tendance hostile usant de la possibilité historique du moment présent pour affaiblir et mieux encore faire imploser l'UE au profit d'états nations souveraines avec lesquelles Israël pourrait plus sereinement agir dans le cadre d'accords bilatéraux.
Pour cette raison bien que ce ne soit pas la seule, loin de là, à la différence du CRIF nous exploiterons cette possibilité au slogan "pas une voix juive ne doit manquer à Eric Zemmour ».
03 L'UE, Israël et Zemmour :
C'est une lutte à mort qui va bientôt se dérouler en Europe, pour la survie de l'UE dans sa conception actuelle.
Celle que cette institution veut imposer aux nations qui ne la supportent plus.
Le très social démocrate Danemark,- non encore soupçonné de fasciste, mais qui sait, venant de la gauche française- vient également de mettre fin par des mesures idoines -préconisées par Eric Zemmour- à cette immigration folle, emboitant le pas à la Hongrie, la Pologne et l'Autriche.
Les lignes de clivage sont claires, connues, débattues franchement alors qu'elles étaient quasiment étouffées pour cause d'abus d'élixir bien pensant, sorte de liqueur écœurante aujourd'hui au goût de vinaigre.
Ce n'est pas une simple opposition politique qui se traduit par des « mesurettes » démagogiques ou des compromis boiteux à la "LR-Macron" en sauce "socialo-humanisto-démagogique" pour encore gagner du temps alors que les échéances brûlent.
04. Encore 4 ans de perdus et ce sera trop tard.
Les titulaires du pouvoir politique, médiatique et financier ont trop à perdre en cas de Frexit direct ... ou indirect sous le poids des antagonismes.
Ils ne resteront pas les bras croisés s'agissant de voir leurs privilèges s'amoindrir.
Pour la France par exemple, rien que de penser comme en ex-Union Soviétique le danger pour sa presse subventionnée et autres média télévisés de voire leurs allocations prélevées sur les impôts des français disparaitre, combien ne doivent pas en dormir la nuit, imaginant le séisme qui se profile à l'horizon des élections présidentielles.
Encore 4 ans de perdus et ce sera trop tard.
Parce que le prix à payer pour en sortir-si tant est que ce soit possible- sera bien plus élevé.
Autre volet du chambardement possible concernant Israël :
La satisfaction immense d'un effondrement de l'UE.
La politique de ce bloc uni par la volonté de fonctionnaires internationaux non élus se manifeste depuis plusieurs années par une constante allant crescendo :
Le soutien financier par millions d'Euros aux organisations palestiniennes-y compris à Gaza par le biais d'associations prétendument humanitaires, une autre partie des fonds étant destinés à la construction arabe illégale en Judée-Samarie pourtant légalement sous le controle exclusif d'Israël.
D'incessantes interventions auprès des organismes internationaux en compagnie des pires dictatures se traduisant en votes par la délégitimassions territoriale, cultuelle et culturelle d’Israël.
05 -Distinguer entre les bons et les "mauvais" juifs ?
L'imposition du label des produits israéliens fabriqués en Judée-Samarie, émanation moderne d'une bonne vieille idée européenne de distinguer entre les bons et les "mauvais" juifs, usant d'un droit de poursuite dans la continuité historique puisque le phénomène "gênant" s'est déplacé sur la terre de leurs ancêtres.
Si mettre fin à cette guerre politique qui ne dit pas son nom paraît utopique, il n'est par contre pas impossible de combattre en toute lucidité cette tendance hostile usant de la possibilité historique du moment présent pour affaiblir et mieux encore faire imploser l'UE au profit d'états nations souveraines avec lesquelles Israël pourrait plus sereinement agir dans le cadre d'accords bilatéraux.
Pour cette raison bien que ce ne soit pas la seule, loin de là-, à la différence du CRIF nous exploiterons cette possibilité au slogan "pas une voix juive ne doit manquer à Eric Zemmour".
Cygne Noir
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