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Antisémitisme - Page 2

  • Israël et la Palestine

    La guerre déclarée à l’occident par les islamistes de la Oumma, dépasse de beaucoup le conflit Israélo-palestinien. Il est vain de croire que l’incendie terroriste planétaire disparaitrait du jour au lendemain avec la paix entre Israël et ceux qui se disent encore Palestiniens même s’ils sont nés en Israël.
    L’islamisme et son terrorisme repose sur la misère et l’ignorance de peuples entiers à la démographie exponentielle. Misère et ignorance qu’exploite la diffusion de l’idéologie Wahhabite.
    Jadis ultra minoritaire dans le monde musulman, elle bénéficie de l’argent du pétrole Saoudien pour son expansion planétaire. La ligue Islamiste mondiale distribue des fonds à des mosquées et à des Madrasas du monde entier, Europe largement comprise, à l’exemple de la mosquée de Strasbourg, même si cette dernière est également soutenue par le calife Erdogan.

    C’est ainsi que des pays misérables se trouvent avec des dizaines de moquées financés par l’Arabie Saoudite le Qatar et autres mais rien pour le développement local !
    Il y a là une volonté certaine de maintenir ces peuples sous la dépendance sans faiblesse de la religion.

    Après l’Irak, D. Trump avait réussit l’exploit de faire se rencontrer l’Arabie Saoudite et Israël, ces deux pays pouvant ensemble craindre l’Iran des Mollah.
    Avec l’arrivée de Jo Binder, les cartes sont rebattues et le conflit est reparti de plus belle à la bande de Gaza.


    Pendant ce temps, la France face à l’agression islamiste, l’invasion migratoire et l’islamisation du pays, a ses bonnes âmes persuadées que l’Occident a commis une faute ou un crime original et qu’il doit faire profil bas, exprimer ses regrets et faire repentance.
    Il nous importe de rompre d’urgence avec les songes creux du neutralisme et de l’angélisme et de faire face aux réalités.
    Les islamistes nous ont déclaré la guerre et pas seulement à Israël. La France est visée par ceux qui aimeraient en finir avec le modèle de société occidentale.
    Nous savons qu’Eric Zemmour fait de ce combat contre l’islamisme un objectif premier et que nous pouvons compter sur nos amis Israéliens pour continuer à être le fer de lance de l’Occident au moyen orient et qui a sa propre stratégie pour surmonter les épreuves des décennies à venir.
    Stratégie dont la France ferait bien de s’inspirer et de se donner un Président en 2022 qui soit capable de la faire sienne.

    Pour les soldats du Cygne Noir Eric Zemmour est cet homme !  
    09 07 21

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

  • La Hongrie de Viktor Orban

    Alliée d’Israël, la Hongrie refuse d’apporter son soutien à une déclaration commune de l’Europe sur la désescalade des violences.
    Une fois de plus et bien heureusement, l’Union européenne est paralysée et réduite à être spectatrice du conflit israélo-palestinien, ce qui, compte tenu de son parti pris pro-palestinien, est une très bonne chose.
    Mardi, c’est la Hongrie de Viktor Orban qui a bloqué la déclaration commune que Josep Borrell, le haut représentant pour les relations extérieures, tentait d’arracher aux ministres des Affaires étrangères de l’UE, réunis en urgence par visioconférence.
    Mais en fin d’après-midi, dépité, Borrell a dû jeter l’éponge face au refus répété de la Hongrie de soutenir un texte qui tentait à la fois d’appeler à la désescalade des violences et Israël à la retenue dans sa riposte.
     
     
    Francis-claude Neri
    Cygne Noir
    23 05 21

  • Philippe Séguin

    « Un regard lourd et désapprobateur sur ce que la droite est devenue »

    Gaulliste social, Philippe Séguin, partisan emblématique du "Non" au référendum sur le traité de Maastricht, ancien président de l'Assemblée nationale (1993-1997) et ancien président du Rassemblement pour la République (RPR), Philippe Séguin s'est éteint le 7 janvier 2010.

    Que reste-t-il de ses combats politiques ?

    Philippe Séguin a tenté, en vain, d’empêcher qu’une exception française soit éradiquée : l’existence d’un mouvement gaulliste, transcendant le clivage droite-gauche. En quelque sorte, Jacques Chirac, Edouard Balladur et Alain Juppé souhaitaient mettre la droite française aux normes internationales dès 1989 en rapprochant le RPR de l’UDF, sachant que c’est globalement sur les idées de cette dernière que devait se faire ledit rapprochement.

    Aidé par Charles Pasqua, Séguin s’est battu corps et âme, parvenant même à devenir président du RPR en 1997.

    Il a échoué, le RPR fusionnant avec l’UDF en 2002 dans l’UMP. La question européenne était l’une des clefs de ce rapprochement. Un RPR gaulliste avait évidemment tout pour s’opposer au traité de Maastricht.

    Séguin et Pasqua furent à deux doigts d’empêcher sa ratification en 1992, emmenant avec eux les plus gros bataillons des adhérents et de l’électorat du RPR. Pendant que Chirac, Balladur et Juppé se prononçaient pour le "Oui".

    Du moment que le mouvement gaulliste avait disparu en 2002, Séguin a quitté la politique, expliquant clairement dans ses mémoires que cette disparition en était la cause.

    La bataille de Maastricht a été la première étape d’un processus qui a façonné la nouvelle géographie politique et idéologique que nous connaissons depuis 2017. Pour une bonne part, la carte du "Oui" de 1992 se superpose avec celle du "Oui" du référendum de 2005 et celle du macronisme aujourd’hui.

    Pareil pour la carte du "Non" de 1992 et 2005 et celle de ce que Jérôme Sainte-Marie nomme le "bloc populaire" (versus le "bloc élitaire") depuis 2017.

    Il n’est donc pas étonnant que parmi ceux qui refusent l’Union européenne telle qu’elle a été construite depuis trente ans, beaucoup se retrouvent dans un personnage qui, pour l’essentiel, a fait figure de visionnaire.

    A droite, il n’a pas été écouté. Je pense même trahi. Toutefois, des hommes se réclamant de lui et dont il avait été proches ont été à la manœuvre notamment dans le quinquennat Sarkozy. Alors que François Fillon était Premier ministre et souhaitait un plan de rigueur drastique, c’est Henri Guaino, conseiller spécial du Président (et qui avait mis la main à la pâte pour le fameux discours du 5 mai 1992), qui a influencé Nicolas Sarkozy dans un sens tout à fait différent, symbolisé par le discours de Toulon.

    Fillon et Guaino avaient, tous les deux, été proches de Séguin et pourtant ils préconisaient des solutions aux antipodes. Philippe Séguin ne s’est pas exprimé à l’époque. Personnellement, je considère qu’il était en phase avec Henri Guaino.

    Aujourd’hui existe-t-il encore de Séguinistes ? A part Patrick Escudier et moi !

    18 08 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/