Liberté j'écris ton nom !
Je reviens sur cette journée du 4 septembre où, pour moi tout au moins, le monde a basculé, avec une carte mentale désormais périmée. Christine TASIN et la plupart d'entre nous avions anticipé l'idée d'un rassemblement de toutes les forces capables de mettre en adéquation l'émotion, la raison et la connaissance objective des faits.
Quelle cruelle désillusion si l'on pense aux conséquences de ce fantastique appel au dialogue, à la concertation , manqué une fois de plus.
C'était un appel, un dernier cri avant que ne s'abattent la tourmente, le désespoir voire la guerre civile sur notre beau pays de France.
Un appel à la raison, à la recherche non pas de la vérité, car chacun à la sienne, mais de la réalité des faits.
Nous autres, les désespérés, ceux qui portent nos valeurs gréco-latine, judéo-chrétiennes et républicaines comme une solide colonne vertébrale nous tenant debout, nous avons voulu tenter une dernière démarche, stopper au bord de l'abîme l'infernale chute.
Nous avons voulu alerter pacifiquement les communautés qui se dressent les unes contre les autres du danger mortel que représente l'Islam intégriste et politique.
Que voulions nous ? Tout simplement être entendu : faire entendre notre parole, que l'on comprenne notre angoisse.
Nous voulions que l'on sache que nous n'étions pas contre les musulmans de France, mais pour une profonde évolution de leur religion. Une religion qui saurait s'adapter à notre siècle, qui rejetterait la Charia et toutes ses règles qui s'opposent à nos codes sociaux et nos lois républicaines.
Depuis quelques mois, un nombre grandissant de Français de toutes origines se rassemblent et entendent faire usage de leur liberté d'expression, ils nous y poussent, ils s'expriment, malgré la peur de ceux qui veulent les faire taire.
A Résistance Républicaine, nous avons compris, avant d'autres, que ces mères, ces pères de famille tranquilles, ces jeunes inquiets pour leur avenir étaient prêts à se mobiliser pour lancer un dernier appel.
Alors, le 4 septembre, nous l'avons fait.
Courageusement, ils sont venus. Peu nombreux, c'est vrai la peur, encore la peur ! Et pour voir quoi ? Un déchaînement de violence médiatique, voire physique comme à Toulon par exemple.
A Strasbourg, lorsque nous avons voulu dresser le drapeau Français, nous avons dû le replier, sous l'injonction de la police, pour ne pas « offenser » un mariage musulman qui se tenait non loin de là.
Certains élus, tous de gauche, et représentants du culte musulman nous ont condamnés avant même de nous avoir entendus. Les journaux ont déformés nos propos, accusés d'être racistes, islamophobes. Des amalgames ont été fait avec les nazis, Vichy, que sais-je encore ?
Profondément blessés, nous nous sommes repliés, contemplant notre drapeau couché, humilié sur la photo d'un journal local.
Pour ma part, j'ai compris : l'islam de France, personne n'en veut, à commencer par les musulmans eux mêmes.
Que va-il se passer à présent ?
Je vous le laisse imaginer mes amis. Pour ma part, je pense que si notre parole ne peut s'exprimer, alors oui, nous pouvons être inquiets pour notre liberté; et si les musulmans ne comprennent pas cela très vite, et ne mettent pas un peu de vin dans leur eau et un peu de cochon dans leurs assiettes, le monde deviendra pour eux comme pour nous très très dangereux.
Commentaires
Cher Francis. Je partages de bout en bout ton inquiètude. Cat s'il y a lieu de s'étonner de constater que bien des français sont déjà dhimmisés pour les uns répondent à l'appel de Munich pour les autres. Il y a lieu aussi de constater que des résistants seront là aussi, en minorité certes, mais présents. Alors oui, ce n'est pas contre une armée motorisée. C'est pire, c'est contre une idéologie religieuse. Alors tous les conformistes s'adapteront, ils se feront pousser la barbe, léveront leur cul au ciel. Des femmes trouveront dans cette idéologie de bonnes raisons de se retrouver en tant que femmes soumises et dévouées à leur mari et leurs enfants parce que trop effrayées devant la liberté ou sans doute trop idiotes.
Mais il y a pire, partout en Europe monte un vent de refus de l'islamisation. En Suède, en Hollande, en Autriche et ailleurs. Jusqu'où ira ce refus? Les armes sortiront-ils? Danger!
La liberté Ojala étaient si faciles à obtenir, nous vivons tous beaucoup plus pacifique.