A propos du mariage homosexuel
Quelques amis se sont étonnés de ne pas me voir participer à la manifestation contre le "fascisme" islamiste. Je donnerai ultérieurement mes raisons. En attendant je vous informe que je participerai à la marche pour que le "mariage homosexuel" soit l'objectif d'un débat national et si possible d'un référemdum.
A propos du mariage homosexuel
En 1984, deux millions de personnes étaient descendues dans la rue pour l’école libre et la gauche avait dû retirer son projet de loi.
Le front se reforme entre une certaine gauche et l’Eglise, soutenue par une partie de la droite.
L’enjeu est considérable car il met en danger la structure encore relativement stable de notre société : la famille, mais aussi notre mémoire, notre identité, notre culture humaniste.
Cette démonstration parisienne devra être suivie de grands rassemblements régionaux auxquels nous devrons faire participer tous ceux qui ont des raisons de s’opposer à la dénaturation du mariage et de la parenté.
En 1984 cette mobilisation avait fait reculer le gouvernement. François Mitterrand, avait retiré son projet de loi.
Nous devons faire en sorte que François Hollande fasse de même et, pour commencer exigeons de lui un référendum sur le sujet et, battons nous tous ensemble pour que le non l’emporte.
Méfions nous de ceux qui prétendent que seul le mariage devant Dieu compte vraiment et qui renoncent à se battre pour empêcher que soit autorisé le « mariage civil » homosexuel.
Les pays bas ont déjà fait l’expérience de la ténacité des homosexuels et aujourd’hui des prêtres y procèdent officiellement au mariage homo afin de ne pas être accusés de discrimination.
«Ce ne sera pas le mariage pour tous, mais le mariage de quelques-uns imposé à tous».
Bien sur on nous fait des reproches, en particulier à l’Eglise :
- «vouloir imposer une vision de la famille à la société».
- «faire pression sur les élus de la République pour les empêcher de donner les mêmes droits à tous les citoyens».
- «le retour en arrière choquant de l’Eglise catholique, retour vers un fondamentalisme qui pose problème».
Mais le problème ne concerne t-il que l’Eglise catholique ?
Nombreux sont ceux à droite comme à gauche, et d’autres confessions, qui demandent l’ouverture d’un débat national au sujet d’un projet de loi qui change radicalement l’institution du mariage
- «il est logique et légitime que l’Église expose son point de vue comme tous les autres acteurs de la société favorables ou opposés à ce mariage. Les positions de l’Église catholique sont normales et utiles.»
Affirme Manuel VALS
Nous sommes le peuple et il appartient effectivement au peuple de décider !
Alors prenons-les au mot !
Soyons à nouveau deux millions à dire :
NON au Mariage pour tous !
Commentaires
Ce que l'on peut regretter dans cette affaire, c'est la non prise en compte d'un être silencieux, sans défense qui aurait pourtant à juste titre, droit au débat. Ce tiers, c'est l'enfant qui se retrouve avec deux papas ou deux mamans dans une société de dingues. Qu'il pense à se suicider, tout le monde s'en fout.
François a raison ! Que devient l'enfant ds cette affaire ?
Certain lobby homosexuel prétend même que l'enfant est plus heureux, moins sectaire, moins figés dans ses convictions...homophobe, raciste etc.qu'un enfant né avec un père et une mêre.
"L’enjeu est considérable car il met en danger la structure encore relativement stable de notre société : la famille, mais aussi notre mémoire, notre identité, notre culture humaniste."
Argument qui n'en est pas un. En quoi le fait que votre voisin homo puisse se marier va changer quoique ce soit au millions de famille de ce pays.
Encore une fois, 0 argument et une pensée purement dogmatique...
Et pour François : la méthode lacrymale ne sert à rien : "le suicide d'un enfant", "être innocent"... combien de cas de suicides d'enfants causés par des parents homos? Si vous me trouvez des chiffres pour prouver vos dire, et pas simplement faire du sensationnel, votre message aura peut-être un quelconque intérêt. En attendant...
Un commentaire de Jacques sur l’homosexualité.
Cher Monsieur,
Nous vivons une curieuse époque !
Alors que le monde est confronté à de graves menaces issues d’une fécondité mal contrôlée, face à des incapacités économiques notoires, sans la moindre vision sur les issues possibles pour une population courant à sa fin les yeux fermés, voilà qu’on nous rabat les oreilles avec le mariage homosexuel. Demain pourquoi la pédophilie ‘’ officielle ne deviendrait elle soudain pas parfaitement ‘’ in ‘’ et pourquoi pas le cannibalisme ou le zoologie ? Ceci afin d’apaiser les circonvolutions mentales des dégénérés qui prétendent mettre le monde à mal en lui faisant perdre la notion la plus simple de ce qu’est la vie et ce que sont ses lois !
Je vous prie d’excuser ma franchise mais pour moi l’homosexualité c'est-à-dire le goût dépravé que certains êtres peuvent avoir pour des gens du même sexe, est une déviation des instincts naturels, un déséquilibre qui peut se traiter par une bonne droite et saine morale.
Qu’un certain ombre de psychiatrico opportunistes trouvent là un moyen efficace de faire de l’argent ne change pas grand-chose au fond du problème. Pourquoi demain certain ne nous vendraient ils pas les avantages du cannibalisme ?
L’homme à mon sens a un autre destin que celui de se laisser de façon systématique guider par ses instincts les plus avilissants, au point d’en perdre la notion la plus élémentaire de sa nature véritable. Ce n’est pas à cela que doit conduire l’intelligence me semble t il.
Comment ne pas voir que cette société est orientée par médias interposés vers les déviances les plus aberrantes ? Cela explique que notre monde paraisse obstinément courir à sa perte.
Sortons de cela de grâce.
Rappelons nous W.Shakespeare , ne laissons pas les malades mentaux conduire le monde !
N’avons-nous pas actuellement plus graves et urgents problèmes à traiter que ces délires de malades mentaux ?
JD CATON
Dans la série « Extrapolations prospectives » :
Nouvelle victoire de la tolérance sur l'exclusion
Par Jean Kühl-Leemusch, éditorialiste à L'Aberration
Après l'essai transformé par les couples LGBTPS (lesbiens, gays, bisexuels, transsexuels et polysexuels), qui ont enfin obtenu le droit de se marier et de fonder une famille, triomphant ainsi de l'abjecte discrimination homophobe dont ils étaient victimes depuis toujours, on a pu assister à la lutte splendide des couples homozoosexuels (formés d'une personne humaine et d'une personne animale), longtemps marginalisés et persécutés par une société réactionnaire qu'imbibaient d'antiques préjugés judéo-chrétiens porteurs d'une homozoophobie pathologique. Or, cette lutte vient d'aboutir, puisque le droit des couples homozoosexuels à se marier et à avoir des enf...... des petits comme les couples LGBTPS a été reconnu par la Cour de Cassation dans son arrêt 666 du 24 décembre dernier (numéro et date dont on notera le symbolisme de combat).
C'est Nick Mamère (dont nos lecteurs se souviendront qu'il fut, en France, le premier édile assez libéral et courageux pour sanctifier citoyennement un mariage gay), qui a eu hier, au nom de la Raie-Publique, le juste privilège d'unir par les liens sacrés du mariage civil le premier couple homozoosexuel « légitime » du pays.
Les deux tourtereaux ont donc dit « oui » à Monsieur le Maire, déclenchant les vifs applaudissements d'une assistance nombreuse et enthousiaste au sein de laquelle se remarquait en particulier la présence radieuse de Jean-Louis Roméro et Caroline Fourest, témoins respectivement du marié et de la marié(e). Pour être exact, Jean-Élodie – tout(e) de blanc vêtu(e) – a dit « oui », mais Cadichon – crinière fleurie et parfumée, queue tressée, sabots vernis – s'est contenté d'un « HIHAN !! » non moins affirmatif qui émut beaucoup l'assistance. Puis, Cadichon et Jean-Élodie (l'un(e) monté(e) sur l'autre, et celui-ci monté comme un………. (bref) sont allés faire bénir religieusement leur union par le doux et bienveillant Jacques Gaillot, dans un espace intercultes LGBTPS aménagé à promiscuité du Salon de l'Agriculture. Le couple souhaite avoir beaucoup de pet... d'enfants et a d'ores et déjà demandé à bénéficier des premières avancées de l'homozoobiologie reproductive, science toute nouvelle qui n'en est encore qu'à ses balbutiements, mais dont l'avenir est on ne peut plus prometteur. Souhaitons à ces deux courageux pionniers de la grande aventure pansexuelle tout le bonheur et tous les pet... enfants possibles.
La prochaine conquête de la Liberté Pansexuelle, qui est en préparation, sera la reconnaissance du mariage homonécrosexuel (entre une personne humaine vivante et une personne humaine à survie contrariée), qui demeure l'objet d'un tabou aussi tenace qu'incompréhensible. Des recherches sont activement menées en Haïti afin d'y étudier le cas très particulier des zombies, ainsi qu'en Transylvanie, berceau du vampirisme, les pionniers de l'homonécrobiologie reproductive ayant pour objectif à moyen terme de rendre féconds les ménages ainsi formés.
Quant au couple homocoprosexuel (entre une personne humaine excrémentielle et une personne non humaine excrétée), il devra attendre encore un peu, le temps que soit fondée l'homocoprobiologie reproductive et, surtout, que disparaissent les ultimes remugles d'un ordre moral nauséabond qui ne veut décidément pas crever davantage que la bêtimondauventreutoujourfécond, sinistre acteur des zeureulépluçombreudeunotristoire.
On cherche d'ores et déjà (en vain pour l'instant, hélas !) ce qui pourrait succéder à l’homocoprosexualité dans l'éventail toujours trop étroit des préférences sexuelles nouvellement institutionnalisées, et toutes les suggestions seront les bienvenues ; s'adresser à notre rédaction, qui ne manquera pas de faire suivre. En attendant, on envisage d'exiger l'interdiction du « mariage » hétérosexuel, qui n'est qu'une parodie sacrilège et immonde du Mariage, avant de faire abolir purement et simplement l'hétérosexualité elle-même, cette répugnante perversion, cette manie de détraqués, ce vice contre nature, ce haïssable fossile biblique fondé sur la prétendue « normalité » que dicterait on ne sait quelle « loi naturelle » découlant d'une « loi divine » encore plus improbable.
Paris, le 14 juillet 2014