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Une conception cyclique de l'histoire

Courriel à un ami avec qui j’ai manifesté contre le mariage homo.

 

Depuis l'effondrement incompréhensible de l'opposition, dû à une nouvelle guerre des chefs pour lesquels revenir au pouvoir n'est que l'occasion de satisfaire leurs ambitions et leurs plans de carrière, la donne politique a changé.

La droite semblait avoir échappé à l'implosion que lui prédisait Marine Le Pen. Ce n'est plus le cas. Jean François Copé et François  Fillon sont responsables d'un désastre dont nous n'avons pas encore pris la dimension explosive.

Les conséquences, compte tenu du contexte de crises multiples, font que les mauvaises nouvelles vont s'accumuler sans qu'il n'y ait d'opposition constituée au pouvoir actuel en déshérence.

C'est la raison pour laquelle nous devons faire l'unité, si nous voulons préserver nos valeurs judéo-chrétiennes, nos codes sociaux et nos pratiques et nous associer (co-organisation) à tous les  manifestants qui luttent contre  le mariage homo.

Mais ce ne sera pas suffisant.

Nous vivons dans un système global au sein duquel les interactions, rétroactions et les complémentarités ne peuvent plus être dissociées, traitées séparément.

Ainsi la lutte contre le mariage homo rejoint celle contre l'islamisation de la France et la substitution de nos populations, mais aussi la marchandisation de l'homme que l'on dénature, les multinationales prédatrices qui mettent en concurrence les ouvriers du monde entier, ceux enfin qui détruisent notre environnement à Notre Dame des Landes sans profit pour le peuple.

Nos élites ont failli. La droite comme la gauche sont incapables et impuissantes. Le pouvoir doit à présent revenir au peuple. Nous ne voulons plus de ceux qui sont responsables du désastre car ils sont LE problème, ils ne peuvent pas faire partie de la solution.

C'est en nous rassemblant sur ce qui nous unit que nous changerons le cours des évènements qui nous précipitent à l'abîme.

« L'histoire a peu ou pas de sens », affirmait Poniatowski, « une poignée d'hommes peut la déterminer pourvu qu'ils le veuillent ». Cet homme, ministre de V.G.E savait de quoi il parlait.

Nous sommes plus qu'une poignée : faisons l'unité, mettons en commun nos énergies, nos intelligences, nos moyens et occupons la rue, les institutions, les pouvoirs.

Disons :

-        oui au renouveau de nos valeurs, sociales, culturelles et cultuelles,

-        oui au renouveau de notre puissance industrielle, de notre économie, de notre Nation; 

-        oui à la préservation de notre environnement,

-        oui à la défense de nos libertés individuelles,

-        oui à notre influence sur le monde qu'il nous appartient de réguler et de contrôler en matière de production, de répartition des ressources et de l’usage que l’on en fait.

Disons :

-        non à la repentance,

-        non à la culpabilité,

-        non à l'invasion démographique

-        non à la mort programmée de l'Occident. 

 

Contrairement à nos  "politiciens" incapables de comprendre "l'intérêt supérieur" nous refusons de disparaître en tant que peuple issu d'une culture qui puise ses fondements dans sa mémoire plusieurs fois millénaire.

Mémoire et identité, c'est pratiquement la même chose. C'est notre mémoire et l’environnement qui nous ont déterminés et faits de nous un peuple différent des autres.

Nous ne sommes pas à la « fin de l’histoire » Occidentale, nous croyons en notre destinée, même si nous ne la voyons inscrite nulle part.

Nous ne croyons pas à une conception linéaire de l’histoire, à un début et une fin. Les Grecs nous en ont laissé une conception cyclique en héritage. C’est la raison pour laquelle nous croyons fermement en notre renaissance et voulons rallumer les feux de l’espérance.  

C’est ce que nous voulons faire à tout prix au travers d’une spiritualité qui élève et relie, qu’elle soit laïque ou religieuse.  

En commençant par dire aux hommes et à leurs enfants ce qui est véritablement arrivé dans leur passé lointain ou proche, leur dire d’où ils viennent, comment ils sont arrivés là et comment aller plus loin encore.

 

Francis NERI dit :

http://semanticien.blogspirit.com

 

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