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La France kipu

La France kipu

« La vermine et les complices de la vermine nazislamiste sont au pouvoir en francekipu.

L'unique moyen pour se débarrasser de cette pourriture, c'est la force.

La balle est dans le camp des patriotes. Subir, ou se battre ».

Charles DALGER

Tu as bien raison Charles Dalger de t'en prendre « aux complices » des Islamistes dont la présence sur notre sol n'est qu'une conséquence, celle du renoncement à défendre les bases de la civilisation  Occidentale. 

Et je ne pense pas, ici et maintenant, et de moins en moins, à la démocratie et au suffrage universel.

Nous nous sommes abandonnés au nihilisme, au pouvoir de l’argent, renoncé à nos valeurs, nos cultes, nos pratiques éthiques, notre empathie envers les nôtres et notre réserve envers les « autres ». Nous nous sommes endormis comme ceux de la Rome antique. Alors les « barbares », les « Loups » sont entrés dans Paris.

Pour ce qui concerne la France, seule la désunion funeste de la droite et l’oubli de ses valeurs à permis à François Hollande, un misérable, d’atteindre au pouvoir suprême.

Compte tenu du contexte « démocratique » actuel, et de notre constitution « défigurée » par des « amendements » successifs, seule une « droite dure », de combat, culturellement unie autour du projet d’un chef responsable et placée au delà et au dessus des partis pourra le lui reprendre.

Il nous faut seulement nous méfier de ceux, à gauche comme à droite, qui ont la conviction d’avoir raison « contre » ce projet et auront « l’orgueil » de se sentir lésés dans leurs droits et leurs privilèges dont nous entendons bien les délivrer.

Je vois qu’une personne qui puisse incarner l’ambition de reprendre en main les clés de notre destin, c’est Marine Le PEN et j’ai choisi de la soutenir.

Il faut à un moment donné, lorsque nous avons le glaive au dos, et qu’il nous pousse à avancer et agir, choisir notre camp. Marine Le PEN par le hasard de sa naissance et de son conditionnement familial et social est placé sur notre route. Elle possède les compétences, l’énergie et les moyens de nous mener au combat et à la victoire. Elle a la peau dure, elle sait rassembler et nager dans les eaux troubles du pouvoir. Je crois que c’est elle qu’il nous faut. Qu’en penses-tu mon ami ?         

Francis NERI

http://semanticien.blogspirit.com

 

Commentaires

  • Cher Francis,

    J'en pense que tu as raison, cent fois raison, mille fois raison, je marche aussi dans cette direction, en invitant mes amis et les autres à en faire autant

    Cordialement Claude

  • Oui Claude nous avons choisi le chemin le moins fréquenté, mais je crois que c'est le bon !

  • Je ne veux pas être la mouche du coche mais je crains que l'inaction politique ne soit pas seulement une non-volonté" mais une complicité d'impuissance: qui veut risquer tout dans le Public?
    Qui veut risquer tout dans la Carrière politique?
    "Les jeunes qui ne veulent rien foutre" sont légions: on vit trop bien depuis deux générations et le sens du travail et des privations n'habite qu'une minorité. Les jeunes qui bossent et se décarcassent...Que font-ils pour défendre leur droit: ils votent aussi pour les incompétents et ne veulent rien risquer par "tolérance"...Les excès totalitaires ont paralysé incapacité la plupart des gens qui se plaignent et râlent mais dès qu'on leur offre l'issue douloureuse (la seule) ils reculent épouvantés...on les comprend mais dans ce cas on ne doit ni râler ni se plaindre mais "faire avec". Il fallait Ne pas reconnaître le Chancelier Hitler comme chef de gouvernement dès le 31 janvier 1933......Vu son Livre Programme et sa méthode mise en place depuis 5 ans dans les rues et universités allemandes....
    Il fallait attaquer Hitler sur Deux Fronts dès le 2 septembre 1939....(passer par les pays Baltes et le Danemark...) Je vous explique le reste?

  • Tout cela est juste Epicure ! Mais c'est une constante historique. Nous n'avons pas inventé l'effondrement, non pas toujours d'une civilisation, mais d'une pratique ou tout au plus d'un système. Et c'est toujours le même processus destructeur, celui dont vous faites état, les « barbares » arrivent cassent tout. Et puis çà repart vers un nouvel équilibre.
    Les vagues sont plus courtes, plus rapprochées et plus meurtrières c'est tout.
    Ce dont nous avons maintenant besoin, c'est plus de maîtrise de l'affect collectif, plus de régulation, de contrôle et de sanctions sur les grands équilibres économiques, financiers, industriels et plus de maîtrise de la production et de l'affectation des richesses.
    Je sais, ce n'est pas une mince affaire, et ce n'est pas pour demain, mais c'est une "cause" qu'il me plait d'initier, de défendre et de promouvoir.

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