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Interpellation à Aulnay-sous-Bois

Dans le premier rapport rendu par l'IGPN au parquet de Bobigny et à la juge d'instruction, la police des polices retient la thèse de l'accident et affirme qu'il n'y a pas eu viol, qu'il n'y avait pas intention de commettre un crime sexuel.
Lors de l'interpellation, une bagarre éclate entre les policiers et Théo, le jogging du jeune homme est baissé, avant que le policier lui donne des coups de matraque, ce qui aurait occasionné les blessures dont souffre la victime.

L'avocat du policier, au micro de RTL, espère que cette information va permettre de garantir une "présomption d'innocence" qui est "foulée aux pieds". "Pour moi, il n'y a pas de surprise dans ce constat.
C'est effectivement ce que nous avons constaté nous aussi à l'occasion de la garde à vue", déclare Me Frédéric Gabet, appelant à laisser la justice travailler "de manière sereine, c'est-à-dire en dehors de toute pression".

Il n'y a pas eu viol. C'est ce que conclut l'IGPN, la police des polices dans son rapport.

La juge d'instruction avait connaissance de ce dossier dès le week-end du 4 et 5 février, elle a donc pris elle-même la décision de qualifier l'agression de viol malgré les conclusions de l'IGPN.
Il n'y a qu'elle qui peut décider de requalifier les faits.

Conclusion il faut, plus que jamais mettre, en cause l’attitude inqualifiable du bouffon qui nous sert encore de président.
Il nous faut aussi assurer un soutien inconditionnel à notre police.
Enfin il faut exiger que TOUS les prétendants à l’élection présidentielles se positionnement sur cette affaire une fois la réalité des faits établie …et ce sera à NOUS de juger pour QUI nous allons voter !

Francis-claude Neri
09 02 17

Commentaires

  • Je viens juste de commenter une publication similaire et je reproduis ici ce commentaire.

    Je ne comprends pas que ce Théo ne soit pas poursuivi pour rébellion !
    Il a été fait usage de la force par les représentants de l'ordre public et quelles que soient les conséquences physiques de cette intervention musclée, cela n'efface en rien l'infraction du contrevenant.

    Pour ce qui est de la qualification de viol, le Moretti, avocat de Théo, me fait bien rire car, il sait très bien que pour qu'une infraction soit réellement constituée, elle nécessite la réunion obligatoire de trois éléments qui sont :
    L'élément matériel qui est avéré, les faits sont là et ne sont pas niés,

    l'élément légal qui existe puisque le viol est prévu et réprimé par la loi,

    l'élément moral qui relève de l'intention de l'auteur d'une infraction de la commettre en conscience et pour le moment cet élément n'est pas avéré.

    En l'état actuel de ce qu'il nous est donné de connaître, le fonctionnaire auteur du coup ne pourra être poursuivi pour viol et son infraction, si infraction il y a car nous ne connaissons pas tout et ne disposons d'aucune image, l'infraction retenue sera requalifiée.

    Charles Lefevre
    (merci de diffuser cette précision)

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