La systémique des sources
La libanisation guette la France ou plus certainement sa balkanisation dans tous les sens du terme, englobant tout à la fois la défaite identitaire qui annihila l’âme serbe et érigea le Kosovo en porte drapeau international de la doxa victimaire, alors que cette province était serbe depuis le moyen âge, et cette incurie économique qui aujourd’hui encore contraint des grecques à la famine.
C’est tout cela l’Union-européenne, un acte de décès des peuples par son remplacement, les remplaceurs esclavagistes et un DOGME ; celui qui consiste à toujours davantage soumettre à la repentance comme pour mieux s’assurer la soumission de ceux qui n’oseront plus jamais relever la tête devant tant de « crimes » commis au nom d’un colonialisme supposé barbare.
Il en va de la survie des totalitarismes que de parer leur propagande de mots simples et de slogans « unificateurs » !
Le « Vivrensemblisme » pour mieux entériner la soumission à un nouvel ordre sociétal, le « réformisme » bruxellois pour mieux sceller l’asservissement économique, et la « Nationale éducation » pour entretenir une débilité hiérarchisée de génération en génération.
Alors, la résistance peine, et peine encore à exprimer l’inexprimable, la systémique des sources et des implications économiques comme ce fameux débat sur le Frexit, ou ces débats abscons sur les « évolutions » des mœurs (PMA, GPA, droits des LGBTI) qui cachent mal cette volonté farouche de vouloir imposer la marchandisation de l’humain au même titre que la plus simple des marchandises, de Paris à Tokyo.
Il n’y a plus de politique, ni de théorie économique à l’œuvre, en ce bas monde, tout juste une course effrénée vers le nihilisme absolu !
Patrick Escudie
01 07 17
Commentaires
Relativité générale, mécanique quantique, hypothèse de l’explosion primitive de l’abbé Lemaître. Les retombées pour monsieur Tout-le-monde n’ont pas été négligeables : peu des choses rêvées par Jules Verne sont aujourd’hui hors de sa portée. Pourtant, alors même que les chercheurs piaffent d’enthousiasme, monsieur Tout-le-monde est fatigué. Fatigué que le monde avance sans lui, justement. Que tout avance de façon aussi systématique sans qu’il y apporte en apparence quoi que ce soit.
François Paganel