Éric Zemmour et Marine Le Pen
Eric a largement essuyé les balles dirigées contre le camp souverainiste accusé de penchant, voire de fascination pour le maître du Kremlin.
Le candidat de Reconquête paye plus cher que Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon, dont les positions étaient pourtant tout aussi tranchées. Mais il a été moins habile à se repositionner dans le « politiquement correct » : on ne remplace pas trente ans d’expérience politique…
Il a servi de paratonnerre, tout comme il a largement aidé, par son discours beaucoup plus tranché sur l’immigration, à dédiaboliser Marine Le Pen.
Espérant que cette dernière saura exploiter l’ouverture et se positionner en dehors des partis sans adopter une attitude revancharde.
C’est tout l’enjeu du second tour !
Mlp comme Z doivent aller ensemble à la à la rencontre des artisans de la rébellion à la fois nationaliste et conservatrice qui traverse l’Occident de la Belgique à l’Autriche, de la Hollande à la Hongrie ou la Pologne.
Partout une même myopie des élites, un même appel à faire digue contre les extrêmes, renvoyés au « fascisme », aux « heures les plus sombres de l’histoire ».
La France de 2022 est déchirée entre deux peurs : « la peur d’une nation qui s’inquiète pour son avenir » et redoute les conséquences d’une question migratoire non maîtrisée et d’un déclin de nos valeurs civilisationnelles.
Et en face « la peur d’enflammer les passions nationales ou religieuses, de “réveiller la bête immonde” du racisme et du nationalisme, par une approche trop binaire » et de « glisser vers une guerre civile ».
Ces deux peurs, cohabitent souvent à l’intérieur d’une même personne. Mais la peur n’a jamais empêché le danger sinon de lui faire face.
En écartant Eric Zemmour et ses concepts nous aurions à la fois l’invasion migratoire, le déclin de nos valeurs et la guerre civile.
Marine comme Eric doivent le comprendre et s’associer pour gagner ces élections sinon il n’y aura pas d’autres alternatives que la soumission ou la guerre civile
FCN