Surpopulation
Moi je suis pour l’arrêt du surpeuplement. Stop à la croissance démographique !
L'écologie consiste à retrouver des équilibres : entre les espèces d'abord, mais aussi entre les générations d'une même espèce.
L'enfer ce serait celui d’un jeune (rescapé d'un idéal de dénatalité) entouré de 10 vieux moribonds. Disent les natalistes !
Bon si je comprends bien ce qui est développé c’est d’accélérer la natalité, la situation idéale pour développer la croissance, pour financer notre système de retraite par répartition, est de faire plein d'enfants en nombre très important qui pourront payer pour les retraités et acheter pour se monter en ménage par la même occasion.
Et demain, ces nombreux enfants devront en faire à leur tour encore beaucoup plus pour financer leurs retraites en même temps que leurs achats propres.
Cela s'appelle une croissance infinie, et c'est impossible dans un monde fini.
C'est ce genre d'argument qui nous est rabattu à chaque moment par tous les médias et autres économistes ... et je reste poli.
Et ils en rajoutent !
"Sommes-nous conscients que si nous arrivons à l'âge de 80 ans c'est grâce à une symbiose entre les générations et que le mécanisme des caisses de retraites n'est possible que s'il y a des jeunes qui travaillent plus que pour eux-mêmes !"
Moi je me dis :
Faisons en sorte que des machines travaillent de plus en plus pour tout le monde. La réponse peut être : moins de monde sur la planète et modification de l’assiette des cotisations vieillesse. Moins les indexer sur les salaires par exemple, ce serait un bon début. Faire un peu plus casquer les financiers qui eux ne produisent aucune valeur ajoutée. Il est vrai que çà réduirait les dividendes à verser aux actionnaires et c’est peut être çà le vrai problème.
Et puis moins de naissances c’est moins de morts de faim, moins de pillage de la nature, moins de produits inutiles.
Bien évidemment que la pire des pollutions c'est la démographie ... Il faut avoir le courage de le dire haut et fort. La démographie est l’élément premier de la crise écologique.
Il faut remettre au gout du jour Malthus et le contrôle des naissances, sinon ce seront les guerres et les épidémies qui feront brutalement les ajustements nécessaires.
Est ce donc si difficile à comprendre ? Non certainement pas ! Alors cherchez à qui profite le crime ?
Francis NERI
20 01 14