Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

communautarisme

  • Medine déprogrammé

    Les gardiens du politiquement correct ont perdu une bataille, mais ils ne renonceront pas à se faire les chevaliers de la vertu en expliquant que Medine était la victime d’un petit esprit au premier degré ; qu’il fallait comprendre qu’il luttait, en fait contre la dérive islamiste et qu’il était le symbole de la liberté d’expression…

    Pour eux, Medine nous obligerait  à honorer nos propres valeurs. …et de dénoncer au plus vite l’extrême droite … Ce n’est pas l’islamisme qui pose problème, mais le refus de le banaliser.

    L’islamisme est le gardien de la société libérale …ce sont les libéraux qui sont les ennemis de la France …

    En fait il s’agit chaque fois de maquiller une revendication communautariste comme relevant  de la liberté d’expression et des « droits de l’homme ».

    C’est chaque fois la même chose : l’islamisme instrumentalise les droits de l’homme en les retournant contre la civilisation qui les a élaborés. Et çà fonctionne à tous les coups ; il condamne à l’impuissance ceux qui voudraient réagir contre lui.

    Le danger, pour nous Français en particulier,  c’est le multiculturalisme qui ne voit dans l’islamisme qu’un élément de la diversité alors que dans les faits, l’islamisme entend soumettre le monde occidental, et l’Europe en particulier, à ses ambitions.

    Alors oui nous avons remporté une victoire, mais ils furent peu nombreux dans le monde politico-médiatique  et intellectuel à mener avec nous cette bataille du combat frontal contre l’islamisme.
    Nous nous garderons bien de l’oublier et de le leur rappeler aux prochaines élections.

    Pour ce qui nous concerne, la lutte ne fait que commencer pour défendre notre langue, notre mémoire, notre culture nos codes sociaux, nos lois …et l’avenir de nos enfants.

    23 09 18
    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • La France à conquérir

     Bonjour,

    Pour ceux que cela peut intéresser, mon nouveau bouquin avance à grands pas. Par contre pour de nouvelles chroniques j'avoue que j'ai l'esprit ailleurs. Pourtant les évènements se précipitent semble t-il ! L'histoire accélère et Manfred est sur la brèche...lui !

    Je vous envoie sa dernière note. A lire avec attention et à conserver. Il a du lire mes "Chemins de l'avenir"

    La France à conquérir.

    On sait que les statistiques dites ethniques sont interdites en France. Ces jours-ci on a tout de même pu apprendre deux choses intéressantes. Dix pour cent de la population alsacienne (la
    population compte environ 1,6 million d'habitants) sont nés dans un autre pays. Et la partie de ces 10% qui se reproduit le plus sont les Turcs. Et on sait par ailleurs que plus de 90% des Turcs nés en France vont chercher un époux en Turquie. Un jour une élue membre d'une commission sociale attribuant des aides m'a dit : eh bien, oui, un jour ils sont là et il faut bien qu'on les aide. Les nouveaux arrivés par mariage arrangés sont aidés financièrement. On pourrait donc dire que des Turcs nés en France vont s'acheter un époux ou une épouse en Turquie avec l'argent des contribuables français. Les Turcs achètent aussi beaucoup d'immeubles en Alsace. En Allemagne aussi, et même des Turcs vivant de l'assistance sociale achètent des immeubles dans le centre de certaines villes allemandes. Comment font-ils ?

    Et ce soir la chaîne France 2 a diffusé un petit reportage sur les Chinois à Paris. La plus grande communauté chinoise en Europe. Ils sont 500 000. Le XIIIe arrondissement est pratiquement chinois. Et en expansion. Je me souviens d'avoir fait une petite étude sur les résultats comparés du concours général où l'académie de Paris sort toujours première. Seulement voilà, l'académie de Paris intra muros ne compte, si ma mémoire est bonne, que 2 millions d'habitants. Et les bonnes écoles de Paris, loin de respecter la fameuse carte scolaire, sucent les meilleurs éléments non seulement des académies voisines, mais encore puisent dans le reste de la France[1]. Un tabac sur deux à Paris appartient à un Chinois. Et pratiquement tous les restaurants ....japonais. Les Chinois sont en expansion. Comment font-ils ? Il y a certainement un plan, un projet, une méthode.

    Pour commencer, si les Chinois à Paris sont 500 000 et la population intra muros de Paris est de 2 millions, les Chinois font déjà un quart de la population. Un quart qui vit à Paris et n'a pas besoin de passer plusieurs heures dans le métro, voire dans un TGV pour se rendre à son
    travail. Un beau résultat. Pour des gens dont beaucoup sont arrivés un jour sans papiers. Mais comme les Chinois se conduisent bien, ils passent pour bien s'intégrer. Il y en aura cependant probablement, comme aux Etats Unis, un grand nombre qui ne jugeront plus absolument nécessaire d'apprendre le français.

    Selon mes observations, complétées par des déductions dans un fauteuil, les Turcs et les Chinois s'entraident. Comme les juifs. Au lieu de mettre leur épargne dans une banque française, les Turcs et les Chinois se le prêtent entre eux. Et investissent dans des objets qui leur permettent d'en vivre. Alors que les banques françaises investissent l'épargne des Français en Chine ou en Amérique du Sud, ou ailleurs qu'en France non pas temps pour payer un petit intérêt aux épargnants français, mais pour que leurs dirigeants puissent se payer se payer des salaires et des primes pharamineux.

    La manière des Turcs et des Chinois d'utiliser leur épargne leur permet de nourrir une population croissante à long terme, alors que la manière française, ou occidentale pourrait-on dire, permet à quelques uns de se faire des revenus énormes à court terme en menant leur communauté nationale non seulement à la faillite, mais à sa disparition. Sous l'oeil de dirigeants politiques qui s'agitent tous les jours pour la télévision, mais ne savent plus ce qu'est un destin national. Le mot le plus chinois pour la classe politique française est le mot politique.

    Nietzsche avait souhaité qu'il y eût un jour une philosophie de la médecine. Quand on a vu la campagne pour la fausse pandémie de grippe porcine, avec la participation de spécialistes réputés, on a pu constater qu'il y a moins de philosophie de la médecine qu'il n'y en a probablement jamais eu. Il en est de même pour ce que devrait être une philosophie de la politique. Et probablement d'une philosophie de la philosophie. C'est là sans doute que se trouve la vraie cause du naufrage de la civilisation occidentale constatée par Albert

    Schweitzer dans sa "Philosophie de la culture" de 1923.

    Tout cela sont des hypothèses. La partie la plus difficile d'une étude. Des études qu'un individu seul ne peut évidemment pas effectuer.

    Manfred Stricker



    [1] Si on rassemble l'académie de Paris et les deux académies voisines en une seule unité, qu'on donne un poids aux 12 degrés de ce concours et calcule un taux par rapport à la population, l'unité parisienne reconstituée se classe environ 6e ou 7e, celle de Strasbourg est première. Mais de toute manière de concours créé par Louis XV est saboté, car, on l'aura compris, il est élitiste. Les établissements privés à Strasbourg ne rapportent sauf exception, plus aucun prix. Et ne présentent probablement plus de candidats. Ce n'est pas chic de vouloir être bon. Ou alors il faut le cacher.