Situer : Zemmour et l’économie
Les objectifs :
Il y a urgence de mener des réformes drastiques afin de ne pas assister à notre inéluctable effondrement.
Une réforme ambitieuse de l’État est un préalable incontournable : diminution des dépenses de l’État de l’ordre de 140 milliards d’euros, suppression de 600 000 postes de fonctionnaires inutiles, voire néfastes.
Il faut PRÉVOIR également l’effondrement de notre service public si rien n’est fait rapidement, malgré les sommes considérables englouties en pure perte chaque année. Rappelons au passage qu’en 1975, la France occupait la sixième place mondiale pour la création de richesse par habitant pour finir aujourd’hui à la 26e place.
La perte d’emplois dans les secteurs industriel et agricole n’est pas une fatalité. Le pays pourrait revenir au niveau de ses concurrents européens à condition de prendre les bonnes décisions et ainsi voir la balance commerciale repasser dans le vert de près de -100 milliards (prévision 2022) à +100, voir +150 milliards assez rapidement.
Tous les candidats se fixent des priorités : sécurité, santé, emploi, éducation, défense, culture, institutions, écologie, services publics etc.
Seul Eric Zemmour donne toute sa place à la question « industrielle » et « économique » en mettant la priorité sur les solutions « locales ».
Le redressement économique du pays est affaire de la France, pas de l’UE ! Sans redressement économique de la France, aucune réforme concrète n’est possible. Sans cela, il ne s’agit alors que de promesses qui n’engagent que ceux qui y croient, faites par des politiques qui savent très bien qu’elles ne servent qu’à leur élection ou réélection.
Voici 50 ans que la France s’enfonce irrémédiablement dans la médiocrité faute d’avoir engagé les dizaines de réformes promises et jamais menées.
Comment obtenir les moyens du redressement ?
Taxes et impôts
Ils sont indispensables mais ces prélèvements dits obligatoires ont leur limite, soit 30 % du PIB pour un État dit libéral, et maximum 40 % pour un État dit social-démocrate. Au-delà il s’agit d’une dérive contreproductive démontrée par la courbe dite de Laffer ou plus communément par la formule « trop d’impôt tue l’impôt ».
À 47,5 % du PIB en 2020 les prélèvements atteignent une limite dangereuse pour l’économie.
Endettement
Nous avons déjà dépassé largement la limite sur laquelle nous nous étions engagés auprès de l’Europe, lors de la création de la monnaie unique.
À bientôt 120 % du PIB contre un engagement à 60 %, il ne reste plus aucune marge de manœuvre, d’autant plus que l’inflation arrivant, le remboursement des intérêts va devenir problématique (surtout si les taux US sont « libérés »).
Aucun accroissement de la dette ne sera possible sans mettre en danger l’existence même du Pays.
Réforme
Elle doit être drastique et urgente et reste donc la seule voie. Il faut engager enfin une lutte contre le gaspillage monstrueux actuel des deniers de l’État, afin de dégager une trésorerie estimée à au moins 150 milliards.
Un tiers de cette somme devra être affecté au remboursement de la dette, et le reste consacré à l’allègement des taxes grevant la compétitivité des entreprises principalement industrielles. En retrouvant leur place initiale de 25 % du PIB (contre 10 % en 2021), elles engendreront autant sinon davantage de rentrées fiscales.
Un cercle vertueux s’enclenchera, le chômage s’alignera sur celui de nos voisins, et le coût pour les finances du pays diminuera considérablement.
Éric Zemmour proposera un projet de transformation radicale du pays qui ouvrira pour la France la voie du retour dans le peloton de tête des nations industrielles.
C’est une réforme incontournable indissociable de toutes les autres. Ce choix permettra de passer le premier tour, étape indispensable pour affronter le président sortant et donc avoir une VRAIE chance de remporter l’élection.
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13 01 22