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mahmoud darwich

  • La diversité

    Le maire de Paris vient d'inaugurer un square à la mémoire du poète Mahmoud Darwich. Je ne connais pas ce monsieur. Ce que des amis m'ont fait savoir, c'est qu'il était impossible de circuler toute la matinée, les ponts de seine étant bloqués.

    On craignait, parait-il, des manifestations en raison de la présence de Mahmoud Abbas, le chef de l'Autorité palestinienne.

    Les parisiens n'ont pas apprécié !

    Je sais aussi qu'un quai Ben Gourion avait été inauguré au mois d'avril et que ma foi des manifestants anti-israéliens ont manifesté et que la plaque a été arrachée.

    Conséquence : peur de nouvelles manifestations, contre les palestiniens cette fois-ci et donc des communautés de « l'extrême droite » n'est ce pas ? L'annonce n'a pas été faite. On bloque les rues, c'est tout !  On n'a même pas mis de plaque, d'ici à ce que Riposte laïque vienne y consommer du sauciçon (attention au SS).

    Que nous enseignent ces deux « évènements ?

    Tout simplement que le « pouvoir » à peur de groupes identitaires qui deviennent de véritables Etats dans l'Etat.

    A force de faire l'autruche et de ménager tantôt l'un, tantôt l'autre et surtout de ne pas contrarier ces « diversités », de ne pas stopper leurs revendications de plus en plus violentes, le pouvoir crée les conditions de la violence inter-ethniques. La communauté chinoise vient de nous rappeler par exemple qu'elle n'avait pas l'intention de se laisser faire par des membres "égarés"de la communauté afro-magrhébinne.

    La société multi-culturelle est un échec, il est grand temps de s'en inquiéter et de prendre les mesures qui s'imposent, en commençant par rejeter le plus rapidement possible ce pouvoir décadent, d'ordre politique et de fonction publique, qui a peur de son ombre, afin de restaurer une société d'individus autonomes et responsables, non assujettis à des appartenances qui les aliènent et en font les otages de groupes sectaires les plus violents.