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société de consommation

  • Héritage culturel et crise identitaire.

    La crise du désir « d’être et de devenir » au bénéfice de deux slogans de mai 68 : « Il est interdit d’interdire » et « Jouissons sans entraves » provoque la décadence de  « l’empire occidental » qui refuse de se perpétuer. 

    Conséquence N° 1 : si nous n’y prenons garde, l’avenir appartiendra aux barbares qui ont faim, prolifèrent, et recherchent un espace vital économique et écologique qui se rétrécie comme peau de chagrin.

    Conséquence N°2 : c’est à présent eux ou nous ! Il n’y aura pas d’accommodements raisonnables, en particulier avec les islamistes.

    En Occident, l’énergie libidinale, celle du désir, est dévoyée au profit des élites d’une société qui rejette clairement l’idée de son identité, de sa projection dans un futur construit à sa mesure, dans la niche environnementale qui l’a façonnée au cours des siècles et qu’elle a emménagée à son profit.

    Que va t-il devenir, cet Occident, sans ce désir de se perpétuer, de construire et de reconstruire un monde ? Va-t-il sombrer dans une jouissance perpétuelle de « consommation » ou s’échouer sur le récif des peuples conquérants qui veulent bénéficier de son héritage et se substituer à sa population ?

    Cette faillite identitaire et cette carence du désir sont voulues, fabriquées afin qu’elles se projettent dans le champ de la consommation et du libre-échangisme.

    Les codes et procédures sociales de reconnaissance sont détournés et accaparés par ceux qui détiennent le pouvoir médiatique et la notoriété. La grande masse des individus « socialisés » s’y conforme.

    En société, quelle soit occidentale ou orientale, la quête identitaire se poursuit sur le mode de la revendication d’appartenance. Elle engendre des rivalités et frustrations provoquées par la recherche aléatoire de l’identité, de la reconnaissance.

    Cette identité perdue, ce relativisme culturel, comporte un verso recherché par les élites qui nous gouvernent et qui espèrent ainsi mieux nous manipuler : la honte de nos origines, de notre passé, le rejet de nos « valeurs » judéo-chrétiennes en particulier.   

    Le rejet de notre identité, nos valeurs, nos codes sociaux, et même de nos lois, se manifeste aussi au plus haut degré politique, économique et social. Tout se vaut du moment que l’argent circule au niveau des prédateurs, en particulier financiers, qui nous régentent. 

    Cette élite mondialisée prône un relativisme culturel qu’elle veut universel.  Un humanisme « global » où les cultures et civilisations seraient indifférenciées et leurs valeurs équivalentes.
    Ce « chauvinisme » qui n’aurait plus rien d’occidental, c’est celui des « droits de l’homme » majoritairement encombrés de principes inégalitaires, sexistes et tribaux  qui règnent dans le camp des « barbares » et cela n’a plus rien à voir avec les valeurs universelles que les philosophes du siècle des lumières ont apporté au monde.

    Le concept de l’Homme Universel tel que le désirent les tenants de la mondialisation libérale est un mythe soigneusement dévoyé et entretenu par les « marchands » qui nous régentent et font de l’Homme une marchandise.

    Malheureusement, dans leur aveuglement, que je crois volontaire,  ils n’ont pas pris conscience que leurs alliés objectifs, les islamistes, « les roulent dans la farine ». Ces derniers disent eux-mêmes qu’ils sont les seuls à combattre la mondialisation et le retour aux valeurs familiales et tribales : la fameuse « singularité de l’Islam » qui régit ces sociétés traditionnelles par la charia.   

    Heureusement, il n’y a pas, il n’y aura j’espère jamais, d’Homme Universel ». Chaque homme, chaque femme est unique et porteur de son identité.

    Il et elle sont libres d’adhérer aux valeurs qui les concernent,  de se les approprier, de les perpétuer et de les faire respecter avec ceux qui, comme eux, les partagent.

    Ils sont libres aussi de combattre pour elles contre certains qui les trahissent et d’autres qui veulent imposer les leurs. 

    L’erreur, la grande faute des dirigeants français et européens de droite comme de gauche a été permettre le regroupement des familles et de vouloir satisfaire les revendications identitaires des groupes ethniques et traditionnels ayant migrés massivement en territoire occidental sur l’invitation du patronat. 

    A partir de 1973, les politiciens comme Jacques CHIRAC et V.G.E  ont  organisé le sacrifice des populations autochtones, alors que Georges Habache, le palestinien, et ses amis arabes affichaient déjà clairement leurs intentions dans une interview accordée à Oriana Fallaci en mai 1972 : « Il est nécessaire que la nation arabe entière entre en guerre avec l’Amérique et l’Europe. Qu’elle déclenche une guerre totale contre l’Occident. Et elle la déclenchera. Que l’Amérique et l’Europe sachent que nous sommes à peine au commencement du commencement. Que le plus beau est encore à venir. Qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus de paix pour elles. Et ensuite, avancer pas à pas, millimètres par millimètres. Années après années. Décennies après décennies. Déterminés, obstinés, patients. Telle est notre stratégie. Une stratégie que nous élargirons par la conquête de vos territoires grâce à l’immigration que vous avez la bonté de nous faciliter. »    

    Les projets des Islamistes sont en train de se réaliser, plus personne ne peut raisonnablement le contester. Les musulmans enracinent, chez nous, leur identité et leur mode de vie et substituent leur population à la notre. 

    Allons nous nous laisser faire ? Notre propre mode de vie, notre héritage culturel ont été la résultante d’efforts considérables de la part de nos aïeux. Nous y sommes attachés car nous avons construit une société qui concilie la liberté individuelle et l’intérêt général. 

    Cette société n’est pas idéale, nous le savons, mais il nous appartient de la faire évoluer pour qu’elle continue à être pour nos enfants la meilleure des société possible, c’est de notre responsabilité et c’est notre devoir de rentrer en résistance contre ceux qui veulent nous le faire oublier. 

    C’est la raison pour laquelle nous sommes opposés à l’émergence d’une gouvernance mondiale, d’une humanité ayant perdu toute « singularité » grâce à l’effacement des différences, ce à quoi  se garde bien de souscrire la société islamique en territoire occidental. 

    Les conflits identitaires ne s’effaceront pas par le rejet de l’altérité, bien au contraire, et le métissage est une illusion d’optique, une tromperie qui permet tout au plus de faciliter l’immigration.

    Les islamistes se heurteront bientôt, très bientôt, à une simple alternative : rester Français en s’assimilant et cantonner leur religion à la sphère privée ou quitter la France et l’Europe le plus rapidement possible.

    Nous sommes pour encore un bon moment majoritaire et, la prise de conscience des autochtones se fait de plus en plus rapidement. Leurs réactions se manifesteront avec de plus en plus de fermeté envers les envahisseurs islamistes et leurs complices.

    Les prochaines échéances électorales devraient permettre un profond changement de stratégie envers la mondialisation et l’islamisation.

    Si cela ne se fait pas, alors que ceux qui croient prient le ciel que tout ne se termine pas en guerre civile et affrontements sanglants dont les musulmans seraient les principales victimes.        

    Francis NERI