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La France

La France est un pays très divers qui a toujours été déterminée par l’unité des Français. La clé de voûte de cette unité, ce sont les valeurs de la République, la même école, le même hôpital, la même Sécurité sociale, la même justice, les mêmes droits et les mêmes devoirs pour tous les Français, sans distinction de fortunes, d’origines, de religions.

Ces valeurs, depuis trente ans, nous les avons laissées s’affaiblir, car nous avons voulu « partager » au-delà du raisonnable avec ceux qui, attirés par le rêve « distributeur » venaient chercher chez nous ce qu’ils n’avaient pas chez eux. L’histoire nous a enseigné ce que ce genre de crise « culturelle » peut engendrer quand la République est faible : le replis sur soi, la désintégration sociale, la peur de l’autre, et surtout la haine de la France et des Français.

Après la droite, en 1981, la gauche la plus bête du monde, avec un aveuglement suicidaire s’est acharnée à déconsidérer et décrier les attentes bien réelles des citoyens français.

Il en est ainsi du droit à la sécurité, la maîtrise des flux migratoire, l’assimilation des migrants, les délocalisations, la mondialisation financière, les attaques contre la laïcité portées par un islamisme conquérant, la délinquance des zones de non droit, le respect du savoir et de l’autorité au sein de la famille, à l’école, dans la cité.

Les années 80 ont vues se constituer une sous culture de gauche, culpabilisante, dressant les Français les uns contre les autres, cultivant la repentance, le multiculturalisme, le rejet de la nation, le déni du réel avec l’arrogance parvenue des élites bobos.

Les élites de droite, au hasard de leurs retours au pouvoir n’ont pas fait mieux. Ils ont optés, au nom de la construction européenne, pour la dissolution de la nation et du modèle républicain dans les nuages et les brouillards d’une mondialisation démesurée propre au libre échangisme anglo-américain.

Une mondialisation ultra libérale volontiers destructrice de nos identités pour mieux dominer des individus soumis à leurs diktats économiques prédateurs.

Le renforcement de l’Etat et du modèle républicain est le préalable indispensable à la reconquête des territoires perdus que sont : l’entreprise, l’emploi, l’industrie, l’école, la gouvernance économique, la sécurité nationale, la lutte contre l’islamisation de la France.

La « mondialisation heureuse » est une gageure, une utopie qui ne se réaliserait qu’à la condition que chaque peuple se défausse d’une partie de son identité au bénéfice d’une identité supra-nationale. Les derniers soubresauts de la crise écosystémique mondiale ont, nous l’espérons,  brisés les dernières illusions des peuples européens à ce sujet.

Ce « chemin idéologique » est très mal fréquenté par des mafias et des escrocs de toutes appartenances. Ceux qui vivent de leur force de travail, salariés, employés, artisans, agriculteurs, commerçants, pécheurs, patrons de PME, bref ceux qui ont fait la France qui est la notre l’ont apprit dans la souffrance. Ils ne se laisseront plus déposséder sous prétexte de générosité et de droit à la différence.

La question qui nous est posée à présent est la suivante : si nous voulons survivre en tant qu’individus et en tant que peuple, que devons nous accepter de faire, comment le faire, à quels sacrifices devront nous consentir ?

Avec quels groupes, et quels pilotes allons nous choisir pour faire gagner la France et les Français ?   

 

Commentaires

  • Les questions de fond sont bien posées avec notamment : "d'où venons-nous, où voulons nous aller, comment et avec qui ?"
    Un changement radical de gouvernance semble s'imposer et les sondages d'opinion montre que les Français ne s'y trompent pas en voyant tous les indicateurs sociaux-économiques passer du rouge clignotant au rouge fixe.

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