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Dans la cours de Fresnes

Fillon est un européiste convaincu, contrairement à son « mentor », Philippe Seguin qui fut – et il suffit de réécouter ses discours- le chantre de l’anti-européisme-. Ce constat discrédite totalement Fillon à mes yeux. Et ce n’est pas la seule raison, car à défaut d’être « populiste » en novlangue, la vraie droite nationale est populaire, et s’affranchit, dans son idéologie, tout à la fois des supranationalités, et des invasions migratoires. Les Français d’abord, par le sang et pas autrement, dans un pacte social qui chasse les vautours de l’oligarchie financière et sait comprendre les enjeux qui amènent à la dette inextinguible, alors que le plus pâle des économistes sait que depuis janvier 1973, tout ceci fut orchestré pour asservir, petit à petit le peuple français. Il n’y a de dette que celle créée par nos dirigeants depuis plus de 40 ans. Il n’y a pas d’auteurs nationalistes qui n’aient eu l’amour du peuple mais aussi son dégout qu’il fut si prompte à se laisser mener dans des aventures guerrières ou économiques qui le dépassaient. Fillon n’est qu’un Laval socialiste maquillé en leurre « d’identité », le thuriféraire de la soumission acceptable à l’Union européenne, le fumeur de joints roulés dans la misère de l’euro consommés en cônes pour le bonheur de ses patrons de Bruxelles. La retraite par répartition transformée en chaine de Ponzi pour les actifs par Fillon, je n’en veux pas, à moins qu’on me verse mon million € cotisé depuis le début de carrière qui a en fait servi à entretenir les allocations des strates migratoires plutôt que de me permettre de vivre dignement en attendant ma retraite. On ne change pas les règles en cours route ! C’est cet égalitarisme jacobin d’obédience maçonnique qui tue notre peuple, et cette révolution que nous fêtons si bruyamment le 14 juillet, ne fut que l’acte déclencheur de la déréliction qui nous oppresse aujourd’hui. « Le baquet breneux de la fange égalitaire » comme l’écrivait Rebatet… Il ne connaissait pas alors la justesse de son propos ! Non voyez-vous, je suis un homme affable, j’aime et je souris, mais selon moi, les traitres à la nation ont un destin commun, tôt le matin, dans la cours de Fresnes.

Patrick Escudie

08 03 17

Commentaires

  • L'Europe certains pensent qu'on peut la réformer, simplement c'est oublier que Merkel règle la politique de l'Europe et qu'à 27 on ne peut réformer sans cassure.

    Les peuples sont sceptiques, surtout que les spécialistes en économie, en finance ne sont pas légions parmi les citoyens lambda. Donc ils faisaient confiance aux soi disant experts...c'est fini !
    Pour ma part, je considère les faits et ils sont éloquents NOUS sommes perdant avec l'UE et l'Euro ...et comment que nous le sommes.
    Alors ILS ont beau nous raconter que l'Euro et l'UE çà ne marche pas, mais que çà marcherait encore plus mal si nous en sortions, qu'il faut simplement plus d'UE, qu'ils vont rectifier les erreurs. ....ce discours là ne fonctionne plus et, s'il le faut, NOUS jetteront le bébé avec l'eau du bain ; c’est un bébé qui devient trop monstrueux.
    La preuve, depuis la crise des subprimes TOUT continue comme avant ...en plus grave et en plus prédateur.
    Alors dehors et vite ! Le bébé qu’on le laisse à l’assistance publique, celle de Mme Merckel et à ses pères de l’oligarchie mondialiste.

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