Race, mémoire, identité, culture.
Il ne fait guère de doute que ces débats sur la race, la mémoire, l’identité, la culture, l’économie, la finance, l’Europe et la Mondialisation vont nous occuper un bon moment, surtout si le pouvoir politique, les institutions comme les médias, les arts ou l’école continuent d’alimenter un discours à la fois victimisant (pour les minorités visibles) culpabilisateur (pour la population de souche et la France périphérique) et valorisant (pour les minorités « gagnantes de la mondialisation » comme Jacques Attali.)
Deux événements, en particulier, ont porté de rudes coups : la crise financière de 2008 et la crise migratoire de 2015. Ces deux événements ont montré que les partis de gauche comme de droite ont des logiciels inadaptés pour affronter les défis contemporains : que faire face à la mondialisation et à la financiarisation de l’économie ? Quelles réponses apporter aux flux migratoires et à l’explosion démographique qui s’annonce en Afrique ? Faut-il continuer à accroître la diversité des sociétés occidentales ?
La gauche comme la droite ne proposent pas de réponses, voire proposent des réponses contradictoires (en disant par exemple qu’il est impossible de réguler et de contrôler la finance, comme il est impossible de contrôler et de réguler l’immigration, (quitte d’ailleurs à s’insurger contre les gouvernements qui ferment leurs frontières).
C’est évidemment sur cette crise des partis, des appareils et des institutions, sur leur impuissance et leur incompétence que prospère la colère des peuples.
Les électorats ont tendance à se braquer, et pas seulement en Europe de l’est. Les électeurs demandent de revenir vers les fondamentaux : l’autorité, la sécurité, l’identité nationale, les valeurs, vivre et travailler au pays.
Pour les partis dits de gouvernement, ces demandes sonnent comme un désaveu, mais elles provoquent surtout un rejet encore plus fort de la démocratie : à quoi bon voter si c’est pour avoir toujours les mêmes que l’on ne veut plus depuis longtemps, qui bradent la France aux plus offrants, et qui ne savent faire que toujours plus de la même chose ?
Cette situation devrait avoir pour effet de radicaliser les citoyens qui ne veulent plus être accusés d’islamophobes, de privilégiés, de mécréants ou de racistes.
Pour se faire entendre, ceux-ci vont être amenés à manifester toujours plus leur désapprobation, à expliquer par exemple que l’oppression des femmes n’a jamais été aussi forte, que les minorités ont prit le pouvoir et provoquent le chaos, que les Français de souche sont victimes d’un terrible racisme anti blanc, que la France se couvre de mosquées salafistes qui menacent notre sécurité et veulent nous remplacer, que l’invasion migratoire des arabo-musulmans et des noirs africains ne fait que commencer.
Il apparait donc nettement qu’il manque clairement un discours de la part du politique et des médias qui soit lucide et objectif sur l’état du pays, sur les causes des problèmes, sur la situation de l’Europe etc.
Il me semble qu’ils ne le veulent pas…je ne suis donc pas optimiste ! Nous verrons bien en octobre et au Bataclan d’où, à présent, souffle le vent, du peuple ou de l’oligarchie …
Francis-claude Neri
http://semanticien.blogspirit.com/
24 08 18
Commentaires
Europe, il convient de formuler un certain nombre de principes de base. J’en ai identifié cinq :
Chaque pays d’Europe a le droit de protéger sa culture chrétienne, il a le droit de rejeter l’idéologie du multiculturalisme ;
Chaque pays a le droit de protéger le modèle traditionnel de la famille, il a le droit d’affirmer que tout enfant a droit à un père et à une mère ;
Chaque pays d’Europe centrale a le droit de protéger les marchés et les branches de son économie qu’il considère comme stratégiques ;
Chaque pays a le droit de protéger ses frontières et a le droit de rejeter l’immigration ;
Chaque pays européen a le droit d’être attaché, pour les questions les plus importantes, au principe « un État, une voix », et ce droit ne peut pas être contourné au sein de l’Union Européenne.
Tu pensais voter pour lui ! dommage il n'est pas français il est président hongrois
C'est juste :-)
Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à
travers les média. Elle détaille l'éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu'à maintenir le public dans l'ignorance et la médiocrité.
après ça tirer le rideau
Sincères condoléances aux naifs citoyens
chcoumoune y sait lire pas moi