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  • Une colère froide

    Ce soir, comme beaucoup d'entre nous, ma douleur et ma colère sont incommensurables face à l'assassinat de Philippine. Une victime de plus d'un système judiciaire défaillant, de la bien pensance, du gauchisme, de la lâcheté, et de la folie immigrationniste.
    Le débat sur les "dangers" de l'émotion m’écœure. C'est un peu facile de nous ressortir l'éternelle phrase : "La colère est mauvaise conseillère" ou, pire encore : "Attention aux récupérations politiques !".
    Ces faits de société sont éminemment politiques, n'en déplaise aux gauchistes. Et la colère est légitime ! Sans émotions, rien ne change. Ce sont bien nos émotions qui sont à la base de nos actions et devraient aboutir à la volonté politique de protéger les citoyens des dangers que représente cette immigration-là.
    Après le temps du recueillement doit venir celui de l'action. Pourtant nous ne voyons que des temps de recueillement depuis des lustres : des fleurs, des bougies, des marches blanches... puis PLUS RIEN <img class="xz74otr" src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t8d/1/16/1f621.png" alt="