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homosexualité

  • Théorie du genre.

    Ah que voilà un article intéressant et qui revient à la réalité de nos comportements sous l'angle des déterminismes biologiques et sociaux.

    La "pyramide de Maslow" sur la vraie nature de nos besoins est parfaitement bien reprise et avec clarté...Un Systémicien ne peut que dire ...ENFIN… retour au bon sens !

    On peut toutefois ne pas être d’accord sur les conclusions tirées d’une analyse bien conduite, mais où la place prise par « l’observateur » est très importante ce qui enlève de l’objectivité aux points de vue. Par exemple il est dit : « En conclusion, je m’adresse à celles qui croient encore à l’homme nouveau. Il existe ! Mais il ne vous plaira pas, vous le quitterez sans doute pour un homme un vrai. Gardez la tête sur les épaules, suivez votre cœur, la nature fait souvent bien les choses ! »

    L’homme nouveau existe oui mais la femme nouvelle aussi et il est certainement fort possible qu’elle préfère le nouveau à l’ancien et, dans ce cas, les hommes encore déterminés par leur biologie et leur contexte social (les machos ! ou les hommes « nature ») n’ont aucune chance avec celles-ci. De quoi creuser encore plus le fossé du « lien social » et accroitre le pouvoir de ceux qui « fragilisent la société » ! 

    Pour résumer, je considère que l’essentiel est dit dans cette phrase : « Confondre nos différences avec autant d’inégalités est pourtant devenu le nouveau cheval de bataille des féministes radicales ».

    Les, rares, réflexions en italique sont de mon fait !

    Francis NERI

    Théorie du genre.

    Mesdames qui croyez à l’homme nouveau, prenez un homme, un vrai !

    Publié le 5 septembre 2013 par Antoine Artus - Article du nº 319

    Je crois avoir vécu mon adolescence au moment ou se produisait un tournant capital et dangereux dans les mœurs à propos de la place des femmes dans la société et sa relation à l’homme.

    J’ai été éduqué (et probablement socialisé) dans l’idée qu’être un homme consistait à :

    - être sensible

    - savoir pleurer

    - savoir exprimer ses sentiments

    - savoir dire « je t’aime »

    - être à l’écoute de sa femme

    - être un père présent

    - être fidèle

    Certaines productions cinématographiques reprenaient ces stéréotypes masculins d’un nouveau genre et pourtant bien que formaté (par QUI et QUOI : famille, école, la rue) à les apprécier, ils ne me touchaient pas. Aussi longtemps que je me souvienne, si pour dix productions formatées à l’homme nouveau, je n’avais vu qu’un « Rocky », c’était ce dernier qui me fascinait et l’emportait.

    Les vielles productions cinématographiques des années 70-80 nous parlaient des hommes en ces termes :

    - La force

    - Le courage

    - La rébellion

    - Les principes

    - La protection de l’être aimé

    - Le sacrifice

    - L’honneur

    - La responsabilité

    - Les valeurs, la morale, l’éthique, le respect, l’identité,… 

    De bonne volonté, il m’était pourtant difficilement concevable de concilier ces deux tableaux.

    Puis vint l’adolescence, les premières filles désirées et de façon concomitante la volonté d’attirer leur attention. Pourtant observateur et à l’écoute du genre féminin, il m’était difficile d’en discerner les attentes.

    Nul doute qu’à l’âge ingrat, ni les femmes, ni les hommes ne savent vraiment ce qu’ils attendent l’un de l’autre. Le désir bien que biologique n’en répond pas moins à une certaine logique propre à chaque individu. Une logique propre mais pour autant conditionnée par un ensemble de déterminants : éducation, famille et société. Bien sur ces déterminants interagissent de façon permanente.

    Ca n’est qu’adulte qu’une constante dans le désir féminin s’est dégagée :

    La femme de façon générale est attirée par un homme qui lui inspire la sécurité. Cela se traduit par un homme, qui selon son milieu, se situe en bonne position. C’est à dire un homme qui possède un certain nombre d’attributs valorisés par ses pairs qui font de lui un homme respecté ou craint. En somme un homme dominant : Le bon choix pour assurer sa sécurité.

    Pour exemples je prendrais deux stéréotypes, la femme ouvrière et la femme bourgeoise.

    - La femme ouvrière aura tendance à trouver séduisant un homme viril selon les codes traditionnels de la virilité: fort, bricoleurs, amateur de belles voitures ou de sport musclés. Donc dominant dans son milieu social.

    - La femme bourgeoise aura tendance à trouver séduisant un homme brillant, puissant, cultivé c’est à dire dominant dans son milieu social.

    De telle façon qu’il n’existe pas « un homme » universellement désiré. Plus nous vieillissons, plus le poids de notre expérience en terme d’éducation, d’intimité et de notre rapport à société nous conditionne et nous éloigne des stéréotypes uniformes et carabinés de notre adolescence.

    Le désir est une étape et non des moindres à l’établissement d’une relation puisqu’il ne saurait y avoir de relation amoureuse sans désir. Pour autant le choix du partenaire ne tient pas compte de ce seul critère, d’autres qualités sont indispensables et à l’appréciation de chacun.

    (C’est là qu’il serait bon de développer un peu)

    Pour autant, l’intérêt est souvent porté à tort sur des traits de caractère qui deviennent facultatifs, d’autant plus si les fondamentaux disparaissent. Un homme pour entretenir le désir et/ou garder son épouse devra répondre de ses fondamentaux ( ????).

    Souvent dans nos couples, la verbalisation d’un mal-être fait état de faux problèmes, alors que l’on s’échine à les résoudre, l’essentiel nous échappe. Cette réflexion d’une banalité confondante peut pourtant être interprétée de façon à mettre en lumière certains effets néfastes produits par l’idéologie féministe.

    Il est nullement question de pointer du doigt un sexe ou l’autre, de participer à une quelconque guerre des sexes qui ne ferait que nous éloigner du véritable problème.

    Ce sont les écueils du féminisme qui précipitent parfois les couples dans une profonde détresse qu’il convient de dénoncer. Ce paradoxe qui fait de l’homme l’auteur de tous les maux de la femme et donc par extension un être tout puissant alors même qu’il est contesté dans ce rôle. (Bien vu : injonction paradoxale et double contrainte) La vérité se situe davantage dans le fait que le féminisme conceptualise chaque élément de genre selon une logique de pouvoir. Or nos différences biologiques comme celles socialement construites construisent notre désir et participent à notre complémentarité. Confondre nos différences avec autant d’inégalités est pourtant devenu le nouveau cheval de bataille des féministes radicales.

    Il peut sembler paradoxal aux néophytes que ceux qui exaltent le communautarisme, c’est à dire le droit à la différence puissent se compromettre avec cette idée. Mais c’est que bien qu’opposés en terme de logique, ces deux concepts participent au même dessein: fragiliser la société en attaquant ses fondements, créer l’homme nouveau, désincarné, désabusé pieds et mains liés au capitalisme mondialisé.

    Successivement (j’ajouterai(s) volontairement) ont été déconstruits les liens qui nous unissaient les uns aux autres. Autant de remparts à la société de consommation qui s’effondrent les uns à la suite de l’autre: la nation, la famille, le couple. A changer de modèle, faudrait il qu’il soit meilleur que le précédent or rien n’est moins certain.

    Le bonheur de ses citoyens, plus raisonnablement de leur bien être, tel devrait être le souci de nos sociétés. Or en ce sens, nos besoins étant somme toute limités, de ce qui pourrait faire l’objet de valeurs marchandes, il ne faut retenir qu’une nourriture suffisante, un toit, du bois de chauffage et des vêtements chauds pour l’hiver. Pour le reste, nul besoin d’argent. L’essor matérialiste que connaissent nos sociétés a offert à l’homme un formidable terrain de jeu à sa créativité, à sa quête de sens et de connaissances ainsi que du confort et la sécurité. Ce nouveau modèle a pourtant le devoir d’être critiqué dès lors qu’il échappe à ses obligations: permettre à l’homme et à sa descendance de vivre mieux que ses ancêtres. C’est ici que le bât blesse, « mieux » ne signifie pas plus « riche » ni plus « vieux », c’est malheureusement la seule interprétation que nos sociétés établissent au mépris d’une réalité plus complexe sans pour autant être inaccessible.

    Par ailleurs les besoins de l’homme ne sont pas figés, la société peut en créer de nouveaux, la capacité de chaque homme à les satisfaire dépendra de son niveau de frustration (et de ses capacités). Par l’affichage permanent d’idéaux inaccessibles, nous générons une frustration de masse qui conduit chacun d’entre nous à nous dépasser en vue d’accomplir des objectifs plus ou moins factices. Sur ce point nous nous devons de mener une réflexion sur le sens des objectifs-impératifs imposés par notre société et sur les moyens réels qu’elle nous propose pour parvenir à les atteindre. (excellent : finalité, objectifs, moyens)

    Lorsque ces objectifs-impératifs intériorisés auxquelles nous répondons de bonne foi ne mènent pas au bien être escompté, nous nous devons d’interroger le modèle qui nous les a dictés. (pas seulement l'interroger, il nous appartient d'en changer les pratiques)

    Croire que l’intérêt général a guidé pas à pas la révolution culturelle et sociétale du vingtième siècle est une erreur. Ce qui structure et construit le monde dans lequel nous vivons répond bien souvent à des intérêts économiques, financiers et de pouvoir bien plus qu’à des principes philanthropiques.

    C’est à ce principe auquel n’ont pas échappé l’institution familiale et la destruction du couple comme dernière micro entité de lien social n’en n’est que le prolongement. La destruction de ses institutions répond à une logique implacable: les individus déçus des liens qui les unissent se détournent les uns des autres, l’isolement, la déception, la perception de l’autre comme un danger les pousse à trouver ailleurs des sources de satisfaction, c’est ici qu’a lieu le passage de relais: alors qu’hier vous vous satisfaisiez d’un week-end sous la couette, aujourd’hui vous dévalisez un centre commercial.

    Le féminisme n’est finalement que l’idiot utile du capitalisme. Plus grave encore, il se soucie bien moins du bien être des femmes que de sa propre survie. Il travaille à entretenir sa raison d’être au même titre qu’une guerre de sexe et de genre.

    La construction sociale de comportements normées de type féminin existe, en revanche prétendre nous libérer de tout déterminisme biologique comme sociale est stupide.

    Faire croire à l’idée d’un libre arbitre absolu est un mensonge. Aucun de nous n’est libre, n’est libre que celui qui croit avoir le choix. Par ailleurs quand bien même nous serions libres de choisir, choisir nous engage et restreint nos libertés.

    Faire croire à l’idée d’une égalité parfaite entre homme et femme est absurde, l’égalité n’est qu’un concept, il ne s’applique qu’à d’autres concepts, la nature, elle, en a cure.

    L’idée est que bien qu’en partie le genre soit socialement construit, sa construction sociale est nécessaire. Le nerf de la guerre des féministes semble être de libérer les jeunes filles des déterminismes sociaux qui les conduit à choisir à compétence égale des professions plus sociales que rémunératrices, or finalement nous nous substituerons qu’un déterminisme par un autre, l’homme est ainsi fait qu’il épouse naturellement les normes qui lui sont suggérées.

    Ainsi le mot liberté pris dans ce raisonnement est une imposture. Ne se sentiront libres que celles et ceux qui croient avoir choisi de leur plein grès une profession plutôt qu’une autre.

    Le désir d’un genre pour l’autre n’existe que si je reconnais dans l’autre genre toute sa singularité par rapport au mien. Il ne saurait y avoir de désir autre que physiologique s’il n’obéissait pas également, comme l’ensemble de nos comportements, à des déterminismes sociaux. S’assurer le meilleur partenaire impose le fait que nous puissions le situer par rapport aux autres grâce à un ensemble de normes partagées par le corps social. La féminité ou la virilité sont deux grilles de lecture qui varient sur la forme mais jamais sur le fond, nous choisissons le meilleur partenaire au regard des normes et des affinités individuelles afin d’assurer l’intégrité de la cellule familiale et ainsi le meilleur environnement à notre progéniture.

    En conclusion, je m’adresse à celles qui croient encore à l’homme nouveau. Il existe ! Mais il ne vous plaira pas, vous le quitterez sans doute pour un homme un vrai. Gardez la tête sur les épaules, suivez votre cœur, la nature fait souvent bien les choses !

     

    Antoine Artus

     

  • La tyrannie du nihilisme homolâtre et le référendum

    Pour une fois je ne diffuserai pas les conclusions de Martine Aubry et de son avocat de mari, comme ma réponse d’ailleurs, car elles comportent une décision du tribunal que je ne puis transcrire librement sur mon blog. Je suis, d’autre part d’accord avec mon avocat (e) pour constater que mes adversaires ont beau jeu de vouloir utiliser à charge le moindre de mes propos dans leurs conclusions.

    D’autre part cela leur permet d’insinuer, avec un immense mépris, l’idée que je suis le propagateur d’une « idéologie » suspecte. Laquelle ? Ils ne précisent pas, mais c’est ma vision de l’islam qui ne leur convient pas !

    Il me vient des idées de poursuite en diffamation !

    Aussi en voyant la façon dont est traité le Député Vaneste j’ai rédigé un article que vous ne lirez pas, du moins tant que je n’en aurais pas fini avec ce procès qui s’éternise et qui brime MA liberté de  penser, de m’exprimer et de débattre.

    Mais bien heureusement j’ai des amis qui savent le faire avec talent. Alors je vous laisse avec Lucien ! Et vous au moins vous pouvez faire des commentaires. Avec prudence toutefois car ce blog est scruté en permanence par les » techniciens » de Martine Aubry dont ON m’ affirme qu’ils sont également ceux du PS…mais chut … je n’en dirais pas plus !      

     

    §

     

    Tout ce qui ne fait pas partie de ce courant (dont j'ai analysé les métastases théoriques dans plusieurs ouvrages et articles, par exemple ici) est catalogué d'"extrême droite", par exemple "resiliencetv" (écrivez le nom de ce site dans "cherchez une URL"); ne parlons pas dans ce cas du député Vanneste, même si ses derniers propos se sont avérés fondés. Il ne s'agit évidemment pas d'homophobie mais du refus de cette idéologie qui a remplacé le "socialisme scientifique"censé démontrer que le communisme serait un progrès pour le genre humain. On sait désormais ce qu'il en fut. Mais ce courant persiste et signe. L'homosexualité elle-même est perçue comme un progrès au sens où l’homosexualité n’est pas vue comme une tendance sexuelle mais un marqueur culturel obligatoire pour apparaître ouvert (un “ élément de progrès des civilisations » avait écrit Hugo Marsan in Le Monde du 7/3/97 à propos d’un livre de Henning Bech : When men meet : homosexuality and modernity) dépassée il est vrai sur sa gauche par la théorie queer remettant en cause la notion même d'homo ou d'hétéro avec ladite théorie du "genre".

    Il est en tout cas regrettable que même le candidat Sarkozy s'y est laissé prendre en confondant critique de ces théories nihilistes et homophobie. Mais faut-il s'en étonner lorsque lors de son annonce de candidature il parle de crise économique et financière, mais jamais de crise morale et spirituelle ? Comment peut-il prétendre alors faire de la France une nation "forte" s'il reste encore sous les fourches caudines de la lumpen intelligentsia politico-médiatique ?…Cela voudrait dire qu'il ne comprend pas lui non plus la réelle césure entre le peuple et l'élite, du moins supposée, parce que son radicalisme alimente les courants conservateurs en particulier religieux : les homolâtres sont en réalité les idiots utiles des propagandistes intégristes puisqu'ils renforcent ce faisant la critique de la modernité laïque effectuée par ces derniers : si en effet l'homolâtrie et/ou le queer sont les horizons indépassables de la "post" modernité, préférons dans ce cas plutôt se réfugier dans les mondes anciens. La tyrannie nihiliste homolâtre ou hypersexualiste (la contraception au berceau ou quasiment) est à la base de la poussée intégriste qui balaie aujourd'hui non seulement la France mais aussi les pays du Club Med dans lesquels cette tyrannie fait toujours ses parties fines.

    Peut-être que le référendum permettrait de cautériser sa propagation en en organisant aussi un sur l'Education ? Le degré de perdition de celle-ci, noyautée par cette tyrannie qui se considère comme une armée anti-libérale éliminant toute pensée libre, serait des plus salutaires.

    Car le référendum n'est pas d'essence bonapartiste ou plébiscitaire comme le pense Alain Duhamel (sur RTL le 17/02/2012) puisqu'il est surtout pensé (par exemple chez René Capitant) sous l'acception rousseauiste du Contrat social en ce qu'un système pleinement démocratique doit être mixte : représentatif et direct; et ce dernier point peut être obtenu en France du fait que depuis les deux cohabitations et la non démission du Président lors de défaites au référendum, ce dernier n'apparaît plus comme un plébiscite ou une sanction, mais seulement une intervention du Peuple sur des questions qui l'intéressent de manière vitale. Autrement dit, l'appréhension du référendum a changé puisqu'il n'est plus le déclencheur systématique d'une démission du Président. Dans ce cas il joue pleinement son rôle, celui de questionner chaque citoyen et non pas seulement un individu parmi d'autres. En ce sens, il n'est pas sûr qu'un référendum sur la peine de mort aurait été automatiquement repoussé comme le prétendent certains. En tout cas il est temps de se servir chirurgicalement de cette arme démocratique pour permettre l'asepsie de ce grand corps malade qu'est devenue une France ébranlée de plus en plus par cette tyrannie totalitaire, nouvel avatar du communisme et de son inhumanité ou "la mort de l'Homme" au profit de créatures interchangeables, hybrides, zombifiées.

    http://www.resiliencetv.fr/?p=10212

    lucien.oulahbib@free.fr

    0664944909

    http://lucien.samir.free.fr/biographie/index.html