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la force du verbe

  • Le moment est venu.

    « Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le moment est venu »
    Victor Hugo

    Je fus tout surpris en entendant Manuel Valls exprimer, semble t’il, de l’inquiétude en constatant que les réseaux sociaux peuvent mettre en œuvre une organisation et une communication «systémique» ; c'est-à-dire qui relie, qui crée des ponts et des ancrages entre les hommes, les groupes, sur tout le territoire et au-delà, qui libère les interactions et rapproche les idées de ceux qui s’opposent.
    Une communication qui organise, qui socialise, qui éduque, qui apaise, rassemble au lieu de diviser

    Il a raison d’avoir peur !

    C’est bien ce que nous nous efforçons de faire, en voulant retrouver l’essence même de la démocratie que certains veulent broyer : la liberté de penser ensemble, de concevoir ensemble notre avenir, de dépasser les clivages qui nous divisent.
    Bref, « prendre le MEILLEUR de chacun » et le faire fructifier.

    C’est possible à partir d’une réflexion « transpartisane » sur ce groupe et ce site.
    Nous pouvons ensemble nous interroger sur l’origine et la cause de nos fractures sociales au lieu d’éternellement n’en constater que les effets.
    Nous pouvons prendre ensemble conscience de la complexité des défis qui nous sont adressés et proposer des solutions que nous soutiendrons et imposerons également ensemble.
    Nous pouvons ensemble élaborer les outils et les moyens adaptés à nos attentes, nos besoins, et exiger qu’ils en soient fait une bonne utilisation.
    Nous pouvons ensemble, à partir de nos pages, nos groupes, nos blogs mis en cohérence, amplifier ou désamorcer des « effets » négatifs ou positifs. Soutenir telle action et décrier telle autre.
    Nous pouvons dire comment, ensemble, nous entendons réguler, contrôler les pratiques économiques, financières, écologiques, éducatives etc. et remédier aux malversations.
    Nous pouvons ensemble identifier les personnes faisant preuve d’énergie, de compétence et possédant un degré suffisant d’altruisme, pour nous représenter politiquement et qui appliqueront le projet que nous leur avons demandé d’appliquer.

    Ce n’est qu’une idée, mais il semble que Victor Hugo ait raison, c’est le moment de cette idée.
    Nous invitons tous nos amis à la partager et à la mettre en œuvre afin qu’elle ne reste pas qu’une idée.

    Francis-claude Neri
    24 09 16