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la nation

  • Voyage au bout de la nuit

    Oui nous connaissons et nous allons connaître la NUIT, l'infamie, l'abomination avec des gens abominables, et nous verrons, comme l'avait dit Monseigneur le Comte de Paris combien nous coûtera cher en honneur et en vie de n'avoir pas défendu Israël, disait-il, le dernier bastion de la race blanche en Orient.

    Car si nous avions défendu, nos frères ou nos cousins, si nous avions fait corps dans la défense contre l'abomination, elle n'aurait jamais osée relever la tête.

    Maintenant, la Hyène folle, a senti le sang frais, et rien ne l'arrêtera que sa propre mort quand elle aura dévorée jusqu'à ses enfants. Et que les traîtres européens qui défendent les Palestiniens, entre autres, pour ne pas oser défendre l'Islam arabique fassent leurs testaments, car ils seront les premiers mécréants à tomber.

    Qu'ils ne pensent pas un instant que l'Islam a une quelconque peur des chrétiens, il ne craint que le Lion de David, il ne tremble que devant Lui.

    Nous mangerons dans la bouillie salée du sang notre hypocrisie relapse, notre fausse philosophie et nos mensonges, parce que nous avons trahi notre honneur, notre foi, notre drapeau et notre pays.

    Nous avons jeté aux ordures toutes nos valeurs les plus sacrées devant le monstre aux mille têtes de l'Islam ainsi que le disaient les légendes: devant le Mensonge, nous plierons, comme nous avons mis genou en terre devant le Nazi.

    Nos politiques, nos gouvernants, nos responsables sont corrompus, corrompus par l'or, par le pouvoir, corrompus et gangrénés par le faux humanisme d'un socialisme pourrissant et dégénéré, suant le pus abject devant l'Islam faux et pervers.

    Et si je dois y laisser ma vie d'Homme, j'irais comme mes ancêtres croisés du Temple la donner en Terre Sainte et certes pas dans le déshonneur de cette France qui a finalement eu raison de mettre le rouge de la honte à son drapeau.

    Jean-Luc de Cabrières  

    03 04 17