la Martine de Lille
Bonjour,
Ce texte a été supprimé à la suite d'une assignation de Madame Martine Aubry et son époux Monsieur Jean-louis Brochen qui engage une procédure en mon encontre.
Je suis assigné à comparaître le lundi 12 septembre 2011 à 9 h au Palais de justice 4 boulevard du Palais 75001 Paris.
Je n'ai pas encore eu le temps de prendre mes dispositions, mais j'ai rencontré hier notre ami Bertrand qui me confirme ses informations.
Toutefois il m'apparaît difficile qu'il puisse apporter plus de preuve à ces allégations et je ne veux pas prendre plus de risques sur ce qui pourrait être des diffamations si ce n'était pas démontré et par la même occasion nuire à Madame Aubry et Monsieur Brochen, envers qui je n'ai aucun ressentiment personnel sinon que je ne suis pas de son bord politique. D'autre part, je réagis assez mal à ce qui circule sur leur compte depuis fort longtemps et qu'ils ne semblent pas avoir pris la peine, jusqu'à présent de démentir. C'est la raison essentielle qui m'a fait porter une oreille attentive à ce que Madame Aubry qualifie de rumeurs.
Bien évidemment un simple blogeur n'a pas les moyens d'enquêter comme un journaliste ou un officier de police et il ne peut se fier, comme je l'ai fait, en ce qui concerne Bertrand, qu'à un ami. Il m'a semblé toujours très informé et tous ceux qui le connaissent apprécient sa pertinence et sa lucidité.
Par contre il me semblait, et il me semble toujours facile, à Martine Aubry et Monsieur Brochen d'apporter les rectificatifs qui pourraient sans équivoques possibles dissiper les malentendus.
Par exemple, pour une hospitalisation, il faut un acte de sécurité sociale, des soins infirmiers, un médecin, une entrée, une sortie et je suis peut être naïf, mais tout cela devrait pouvoir être confirmé ou infirmé. Les "rumeurs" à ce sujet, se seraient tues depuis longtemps, ainsi que les autres par la même occasion.
En conséquence, j'ai décidé de retirer cette chronique par qui, semble t-il, le scandale arrive, d'attendre le retour de mon avocat pour savoir comment me défendre et de remplacer cette chronique par le texte complet de l'assignation afin de laisser en quelque sorte un "droit d'accusation" sur ce blog à Madame Aubry et Monsieur Brochen.
Je vous tiendrai bien évidemment au courant de la suite donnée à cette affaire qui m'inquiète, car je n'ai pas les possibilités financières, ni les compétences pour faire face aux moyens d'une personne dirigeante du puissant parti socialiste et qui brigue les plus hautes fonctions de la république. J'habite un HLM, avec tous les problèmes qui y sont posés en terme de relations, j'ai une modeste pension de retraite qui suffit tout juste à nos dépenses et les sommes réclamées en dédommagement me semblent, personnellement, exorbitantes. Alors s'il faut se rendre à Paris en septembre pour être de toutes façons condamné, car je ne serai pas prêt, je préfère rester chez moi pour éviter des frais de déplacement et d'avocat.
Souhaitez moi bonne chance !
Bien à vous
Francis NERI