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  • Pourquoi pas la démocratie ?

    Quand je vous disais que l'approche systémique d'un évènement correspondait à la meilleure "appréhension " possible de la réalité. Si vous n'êtes toujours pas convaincus, lisez attentivement la chronique de notre ami Lucien !

    Analyse, synthèse, mise en relation historique des évènements, projection vers le futur !

    Merci Lucien !

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    Depuis les "indépendances", dans les années 50-60, à l'époque du socialisme réel et du tiers mondisme tout puissant ces divers peuples d'Afrique du Nord et du Proche Orient ont cru en leurs dirigeants formés à l'école du communisme et de l'arabisme qui leur disaient que leur version de la modernité était bien supérieure au régime démocratique occidental.

    Ce fut l'illusion, jusque dans les années 80 ; ainsi un Yasmina Khadra qui n'a pas de mots assez durs pour l'opposition en Algérie, a encore la nostalgie des années 70 alors que ce fut le pire moment pour ce pays qui subit la tyrannie d'un Boumedienne amenant avec lui l'islamisme pour mieux arabiser une population à qui l'on avait vendu dans les maquis le mythe d'un pays pluriel où même les juifs et les pieds noirs auraient leur place. A cette époque et jusqu'à la révolution khomeyniste en Iran (1979), ces peuples n'ont eu qu'une version édulcorée de la démocratie, ou, plutôt une version en pis du colonialisme d'après seconde guerre mondiale, c'est-à-dire le bourrage des urnes, la ségrégation politique, l'ordre religieux de plus en plus exigeant au fur et à mesure que le pouvoir militaire désormais au pouvoir lui donne des gages pour que les religieux tiennent la société civile pendant que les généraux "apolitiques" s'enrichissent en paix (salam).

    Las de ces mensonges et manques certains ont été regardés du côté de l'Iran, du moins secrètement parce que l'on ne pactise pas avec les shiites, et comme le régime communiste semblait encore plus pernicieux que le régime démocratique, les peuples de ces pays se sont dits qu'après tout il fallait aller dans cette direction, d'autant que certains intellectuels de renom (Foucault) disaient que la révolution iranienne était l'avenir en ce qu'elle répondait aux insuffisances sociétales de la société occidentale.

    Ce discours a toujours pignon sur rue. Il est fort. Et même se renforce malgré ce qui se passe en Tunisie, en Egypte, parce qu'il est déjà sur sa lancée et que la pente est très abrupte, impossible de freiner, surtout avec le boycott anti-israélien qui aujourd'hui emporte toute raison ; ce qui fait qu'en définitive il y a plus aujourd'hui de sympathisants de la cause islamiste, et palestinienne, en Europe que dans les pays concernés qui eux en ont fait le tour depuis qu'ils se sont aperçus que les islamistes (palestiniens compris) ne valaient guère mieux question libertés et développement.

    Les Irakiens ont en fait l'expérience après les Algériens et les Afghans : interdire de jouer aux dominos et de fumer au café, interdire la danse dans les mariages, interdire jusqu'au sport, c'était aller trop loin dans la densification de l'énergie spirituelle qui ne doit être saisi que par et dans le djihad à ériger constamment c'est-à-dire en érection permanente (d'où l'impossibilité qu'il puisse croiser une femme). Aussi, et aussi surprenant soit-il, la version hard de l'islam a plus la côte dans les pays qui ne connaissent pas l'islam au pouvoir, même déformé par la dictature ploutocrate, que dans les pays qui le subissent et qui savent bien, l'exemple de l'Iran ne s'avérant décidément pas probant, que l'islam, même intégral, ne sera pas la solution mais à nouveau le problème. Or, visiblement, ces peuples n'aspirent pas à la guerre, même contre Israël. Ce qui énerve bien par exemple ce clown pour cirque de dernière catégorie qu'est le triste sire Kadhafi qui cherche à faire les yeux doux aux tunisiens après les avoir insultés

    Mais regardez ce qui se passe en France. Sont invités dans les médias pour parler de démocratie que des penseurs se prétendant ultra critiques, post démocrates ou voulant transformer la démocratie en communisme intégral. Que peuvent dire un Todd, un Rancière, Stiegler, Debray, eux qui ne font que vomir sur, en, dans, la démocratie en particulier, l'Occident en général ? N'en déplaise à Pierre-Louis Basse d'Europe 1.

    Aussi conseillons aux jeunes générations de ces pays de ne pas faire l'erreur de leurs aînés qui ont cru aux âneries de tous ces cerveaux fumeux qui ont formé ceux cités plus haut, fuyez-les, allez voir ailleurs, il existe de vrais penseurs, mais, hélas, ils sont une poignée, de plus en plus âgés, et surtout mis aux oubliettes par la ploutocratie bobo post mao et hyper post moi (le déluge), parce que ces néo-Néron ont un "agenda" : ils veulent juste voir le spectacle de la Révolution comme le disait Rivarol, mais n'importe laquelle, parce que, tel le risque de mort, cela fait monter l'adrénaline,  cette courbe du climat mental qu'ils n'ont pas dans leur herbier d'expériences.

    Ne tombez pas dans leur piège. Ils n'ont rien à dire sinon médire et maudire. Puisez votre inspiration ailleurs pour forger votre démocratie.

    http://www.lucien-sa-oulahbib.info/article-dictatures-islamisme-pourquoi-pas-e-la-democratiess-65776237.html

    lucien.oulahbib@free.fr

    0664944909

    http://lucien.samir.free.fr/biographie/index.html

     



     

     

     

     

  • Les chemins de l'avenir

    L'islamisation du monde a un objectif: la reprise en main des "masses populaires», car s'il n'y a pas "du pain et des jeux" pour maîtriser et endormir le peuple, on peut toujours le consoler et le faire patienter en promettant la vie éternelle, les vierges gratuites et tout le reste.

    Bien sur, les islamistes n'ont rien inventé, çà a très bien marché et longtemps en Occident; alors pour quelles raisons çà ne marcherait pas encore avec des masses occidentales dépossédées de leur identité, décadentes et "islamisées" ?

    Ouvrons les yeux, la mondialisation libre échangiste anglo américaine est un totalitarisme allié objectif du totalitarisme islamiste

    « On »  ne nous laissera pas combattre l'islam et encore moins les islamistes, cela ne fait pas l'affaire de nos politiciens et de nos élites actuelles, ils ne nous laisseront pas faire, ils nous préfèrent "dhimmis" et dociles plutôt que lucides et combatifs pour le respect de nos "acquis".

    Que croyons nous qu'il puisse se passer en Tunisie ou ailleurs ? Il est plus que probable que la reprise en main est en cours, et que les Islamistes seront aux premières loges.

    Avant que cela ne nous arrive, faisons le ménage chez nous. Débarrassons nous de nos "parasites", le "reste" viendra tout seul !

    N'attendons pas 2012 pour nous rassembler et lutter. Les élections seront des leurres si le peuple européen ne s'en mêle pas avec force et détermination.

    Partout en Europe des hommes et des femmes se lèvent et disent NON aux totalitarismes marchands, NON à l'islamisation de l'Europe, OUI à la liberté, OUI à la nation, OUI à des Etats forts, justes, responsables, coopérants et fédérateurs, Oui aux valeurs judéo chrétiennes, gréco romaine, républicaines et laïques.

    Sachons les entendre et les accompagner dans leur lutte. Ils ont besoin de nous comme nous avons besoin d’eux. Ils savent où sont nos racines et quels sont les chemins de l’avenir et, les peuples que renient leurs racines sont sans avenir.

    Nous avons une option décisive à prendre, des choix à faire, faisons le "ici et maintenant", sans attendre, demain il sera trop tard !    

     

  • Mondialisation et islamisation : le défi !

    Le mal est bien plus profond qu'on ne le dit et l'écrit actuellement.

    Le problème n'est pas véritablement dans les hommes, mais dans le système. Il n'est plus ni observable, ni maîtrisable. L'idée de gestion globale et de régulation a failli avec la mondialisation en 1973.

    La mondialisation avec la crise dite des subprimes a dévoilé la réalité de deux totalitarismes modernes qui sont des alliés objectifs : mondialisme et islamisme. La libéralisation des capitaux, des marchandises et des hommes associée au problème de l’islam.

    Il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu'ils se tiennent par la main en Tunisie comme ailleurs et que c'est le début d'un processus qui se nourrit de nos renoncements.

    La primauté du groupe, qu’il soit islamiste ou consumériste, sur l’individu est le problème de fond !

    D'autre part, notre culture, basée sur la consommation de masse et la recherche du plaisir, structure et dévoie les relations et l’organisation sociale dans laquelle nos élites veulent nous enfermer pour mieux nous manipuler.

    Il serait vain d'attendre, pour nous tirer de ce mauvais pas, le père noël ou quelqu'un de sa famille, de gauche comme de droite, çà ne marchera pas.

    Il n'y a rien entre le politiquement correct et le politiquement raisonnable, qu'un enfer pavé de mauvaises intentions mondialistes et islamistes.

    Un homme, ou une femme même providentielle comme Marine Le Pen, ne changera rien à l’affaire. Ce n’est pas en changeant les élites corrompues et incapables qui nous gouvernent par d’autres, qui ne feront guère mieux, que nous réglerons nos problèmes globaux.

    C’est en changeant nous-mêmes que nous ferons changer les autres et que nous les obligerons à changer de système de gouvernance.

    Les Tunisiens semblent l’avoir compris et, au péril de leurs vies, ils devront aller jusqu’au bout.

    L’histoire a peu ou pas de sens, une poignée de Tunisiens peut la changer. Exemple à suivre ?