Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Racisme le paravent d’un autre combat

Le combat forcené contre l’antiracisme, ça sonne faux… très faux. La France n’est pas raciste, elle a absorbé avec bonheur tout un tas d’immigrés européens, tellement bien qu’ils ne se distinguent même plus du commun.

Quel employeur tique au nom de Da-Silva, ou de Bettini. Qui se méfie d’un Doubre, le francisé d’un Doubrowski polonais ? Ces gens là ont-ils jamais revendiqué quoi que ce soit et causé le moindre problème ?

Oui, mais ils étaient presque de notre culture. Les asiatiques, anciens des Boat-People, n’étaient pas de notre culture, et alors, entend-on parler d’eux en mal ? Apparaissent-ils dans les faits-divers de manière plus significative que la population locale ? La colonisation ? La belle affaire. Les pays asiatiques aussi, ont été colonisés. Exigent-ils une repentance, des dommages et intérêts ? Ont-ils une forme de haine à notre égard ? Posent-ils des bombes dans toute l’Europe ? La colonisation quand même ? Les Suédois, les Danois, les Norvégiens, les Finlandais, n’ont pas colonisé et ils ont les mêmes problèmes que nous, avec les mêmes gens. Alors ? Et puis, avant la France, la Turquie a colonisé le Maghreb. Les Maghrébins demandent-ils de la repentance aux Turcs ?

L’esclavage ? Vous voulez parler des cinq siècles de razzias d’esclaves blancs, par les musulmans, sur les côtes françaises et italiennes ? Non, pas celui-là, il n’est pas politiquement correct. Alors, des millions d’esclaves noirs capturés par les mêmes musulmans ? Non, pas celui-là non plus, toujours pas politiquement correct. D’ailleurs c’est la France, qui dans les premiers, a aboli l’esclavage.

Non, il ne faut parler que des négriers blancs du commerce triangulaire. Qui achetaient leurs esclaves aux arabes ? Non, ça non plus, il ne faut pas en parler. Bref, l’esclavage non plus, ce n’est pas une bonne raison et les pays n’ayant pas pratiqué l’esclavage, sont emmerdés eux-aussi. Leurs aïeux ont défendu la France ? Et alors, les nôtres aussi ont défendu la France. Les petits enfants des résistants réclament-ils quelque chose de spécial ? Peut-on arguer de la bravoure de ses arrière-grands-parents pour réclamer, soixante-dix ans plus tard, de ne pas, à Rome, faire comme les Romains ?

L’esclavage et la colonisation : fausses raisons

Non, l’esclavage, la repentance, la colonisation, sont juste les ingrédients, utilisés par des idiots utiles et braillards, d’un paravent destiné à cacher quelque chose de plus sombre. On le trouve dans l’entourage d’Assa Traoré : l’islam radical. On le trouve aussi dans les cortèges contre le racisme, ou la xénophobie, chez les militants les plus virulents du « vivre ensemble », pour qui ce vivre ensemble se résume à l’acceptation, aux forceps, du voile et des us musulmans les plus rigoureux, sur la voie publique, dans les écoles et les entreprises.

Ce combat soi-disant contre le racisme, n’est qu’une gigantesque opération de promotion de cet islam originel, conquérant, nihiliste, celui qui fait disparaître les femmes, casse les statues, réfute l’histoire d’avant le prophète, nie les autres cultures.

Les asiatiques, colonisés, n’exigent pas de repentance. Ils ont fait fructifier leurs héritages coloniaux, ont adopté, maîtrisé et surtout bonifié, les sciences et technologies, nées à 100 % des européens, en Europe ou des Européens émigrés aux Etats-Unis.

Les autres, dont la contribution à la modernité se résume à pas grand chose, sinon rien, ont dilapidé les héritages coloniaux, peinent à s’approprier sciences et technologies et surtout, n’arrivent pas à les prolonger.

Ce sont ceux-là mêmes, qui accusent l’Occident blanc de tous les maux, tout en se pavanant avec ses produits manufacturés, de préférence de luxe et les utilisent pour vomir leur haine des états où ils ont choisi de vivre, souvent même, de la générosité de ceux qu’ils traitent de bourreaux.

Ils ne veulent pas vivre avec nous, ni trouver une place honorable, auprès de nous, comme ceux qui, dès le premier enfant né en France, l’ont appelé, à l’époque, Philippe ou Catherine et pour qui nous nous sommes naturellement poussés.

Non, ils veulent nous soumettre, pour nous faire expier, des siècles et des siècles, le fait de ne pas croire comme eux.

 

Qu’ont-ils à proposer, à apporter, à part se plaindre et tout casser ? Le néant.

 

https://www.linkedin.com/pulse/racisme-le-paravent-dun-autre-combat-pierre-duriot/

 

20 juin 2020
Pierre Duriot

Francis-claude Neri
http://semanticien.blogspirit.com/

 

 

Les commentaires sont fermés.