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  • Pourquoi ?

    Pourquoi la population reste-t-elle indifférente devant la violation de ses droits, l’écologie punitive l’insécurité permanente, les délires wokistes ?

    L’aspect sécuritaire :   l’État ne s’oppose pas aux provocations, il apparaît faible. Les délits restent sans réponse et sont suivis par d’autres, souvent plus violents. L’impunité affichée des terroristes leur octroie une aura de force, déclenche la peur et permet aussi le recrutement de nouveaux adeptes, sincères ou opportunistes.

    Les citoyens n’ont plus confiance en l’État, ni en ses défenseurs comme la police. Chacun se sent isolé et sans défense et « ne se soucie plus que de ses intérêts privés. Désormais, on « refuse de s’engager et de s’exposer… Ainsi, l’indifférence et l’apathie apparentes cachent une décision bien arrêtée de non-engagement ».

    Cette attitude se développe d’autant plus que les partis politiques d’opposition sont aussi victimes du politiquement correct afin de conserver leurs « places » et leur relative influence.

    Privé de tout recours fiable, en particulier contre les terroristes, le peuple ressent une peur qu’il n’ose exprimer. La peur isole les personnes, phénomène exceptionnel et… caractéristique. La conduite individuelle est dominée par l’évitement de toute manifestation personnelle et de toute initiative, par la peur de se faire remarquer.

    L’apathie des populations occidentales est flagrante. Mais comment s’en étonner ? Elles subissent en continu l’action des subversifs et propagandistes gauchistes, islamistes ou écologiste ?

    L’État n’est plus seulement impuissant, il est complice.