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  • Le changement

    Un petit programme pour commencer.

    Si nous ne changeons pas notre façon de penser, nous ne serons pas capables de résoudre les problèmes que nous créons avec nos modes actuels de pensée.

    Albert Einstein

    La prière de la Gestalt 

    Non-axiomes :

     « Donnez moi la sérénité d'accepter ce que je ne peux pas changer, le courage de changer les choses à ma portée, et la sagesse de les distinguer. »

    Donnez moi la capacité de conjuguer l'émotion, la connaissance et la raison

    Donnez moi l'énergie, la compétence, l'occasion et les moyens de maîtriser mes émotions pour accéder à la conscience

    Donnez moi la sagesse d'accepter ma différence et que l'autre soit différent 

     Comment ?

    • Stimuler : La production des ressources naturelles : la sérotonine, les endorphines...pour soulager les souffrances, et lever les blocages qui limitent l'accès à l'homéostasie (équilibre /paix intérieure)
    • Eliminer : Le stress qui nous empoisonne la vie et nous empêche d'avancer sur le chemin de la sérénité.
    • Plonger : Dans un état d'auto-suggestion hypnotique (conscience modifiée) qui multiplie l'efficacité de production des ressources naturelles.
    • Accompagner : En faisant partie intégrante et dissociée d'un tout (parrainage, famille, communauté) 

    Un objectif !

    Ne cherchons pas à atteindre la vérité. Il semble qu'elle n'existe que pour ceux à qui elle aurait été révélée. Il est plus raisonnable pour la plupart d'entre nous d'accéder à sa propre réalité, de l'appréhender, d'en modifier nos perceptions si elle nous importune ou nous fait souffrir, de la vivre, de l'accepter, de l'aimer, de la partager.

    Une méthode !

    L'approche écosystémique :

    Prise de conscience de la complexité.

    Abandonner la réduction de la complexité à ses composants élémentaires (méthode cartésienne).

    Découverte d'une nouvelle approche prenant en compte l'instabilité, l'ouverture, la fluctuation, le chaos, le désordre, le flou, la créativité, la contradiction, l'ambiguïté, le paradoxe. 

    Donner des explications simples, logiques, à la luxuriance du monde et qui soient acceptables dans un contexte donné.

    Trouver les connections favorables au rapprochement des individus isolés au sein de « bulles temporelles » en opposition.

     A suivre ...!

  • Identité nouvelle

    J'ai longtemps recherché la « bonne méthode » qui me permettrait de faire évoluer, voire changer, mes attitudes et mes comportements pour me permettre de prévenir ou de faire face, au mieux, aux situations, évènements, drames, qui venaient régulièrement perturber le cours de mon existence. J'ai compris très vite qu'il n'existait aucune école pour enseigner cette discipline.

    Après de trop longues errances sur des chemins mal fréquentés, j'ai découvert qu'il me fallait avant tout mieux penser, mieux percevoir et me libérer de certains « conditionnements » bloquants.

    Pour cela, je devais apprendre ce qu'était véritablement le stress et le gérer, ainsi que la peur de vivre et de mourir.

    Il m'a fallu de nombreuses années pour comprendre l'immensité de la tâche et que, ma foi, elle était sans fin.

    Ceci étant, je crois avoir bien progressé et, je n'ai jamais hésité à partager mes découvertes. Par exemple sur la gestion du stress, l'approche systémique ou les différentes formes de communication. Je pense aujourd'hui que ce n'était pas suffisant !

    Vous avez été nombreux à me demander de préciser ces thèmes et surtout de les rendre plus accessibles. Ce que j'hésitais à faire dans l'idée que la connaissance, çà se mérite si on veut qu'elle produise de la compétence.  Et puis, il est des questions difficiles à « vulgariser » car elles relèvent de l'insight[1] à leur point de convergence.

    J'ai compris un jour que s'il était difficile de « faire passer » certaines connaissances, on pouvait au moins dire à quoi çà vous a servi et qu'on pouvait transmettre « sa » méthode. Chacun l'accommodant au mieux de ses intérêts et l'appréhendant au niveau qui est le sien.

    Récemment, une amie, très âgée, à qui je rendais visite m'a dit : «  Je vous dois beaucoup, sans vous et vos conseils je ne vivrai plus. Il me reste peu de temps, mais j'ai trouvé la sérénité et je partirai en paix »

    Vous imaginez le choc d'une telle déclaration et la responsabilité que cela sous-tend !

    Bien sur, on m'a souvent demandé des « recettes », surtout durant ma période d'éducateur sportif. Des recettes pour gagner ou mieux pour détruire, liquider l'adversaire ! Je répondais : « Commences par te demander pour quelles raisons tu veux gagner et comment tu veux le faire ».

    Seuls les meilleurs ont entrepris de répondre à la question ; n'est ce pas Julien, Antoine, Emilie ?

    Aujourd'hui rien n'a changé je suis simplement plus conscient de cette « responsabilité » du devoir de transmettre, passer le relais, aider ceux qui le demandent et qui sont prêts à faire un effort pour cela.

    En ces temps de troubles considérables de l'identité et du sens, quelles que soient les circonstances, les évènements, les défis à relever, les réponses se trouvent au niveau de la prise de conscience individuelle. Il s'agit toujours de développer son attention, mieux penser, mieux percevoir, rester libre et manoeuvrant pour « s'être utile » ainsi qu'au groupe humain d'appartenance et à l'espèce.    

    Si vous avez un jour ressenti le désir de trouver ce plus qui est en vous, vous comprendrez ce que je veux dire.

    Cette vieille dame faible et fatiguée m'a clairement fait savoir ce que je devais faire. Je ne suis plus très jeune non plus et il ne me reste probablement plus beaucoup de temps.

    Je vais donc tenter de transmettre mes « recettes » pour le changement. Nous dirons que ce n'est que des recettes et tout au plus une méthode. Pour le « reste » il faudra que ceux qui le veulent aillent chercher profondément en eux les moyens de le faire. Je ne puis que les accompagner, s'ils le désirent.

    Une question tout de même ! Est-ce que cela à voir avec l'identité ?

    Qu'en pensez-vous ?

     La suite au prochain post ! 



    [1] Insight : « Découverte éclair »

  • Virus réducteur

    Une autre manière, écologique, de régler la question de l'identité selon Manfred ! Prenons garde toutefois de sortir ses propos de leur contexte : la grippe...porcine. Après cela qui va se faire vacciner ?

    Quand, dit-il, je vois un être humain hétéro-déclaré, plus auto-déclaré que hautement compétent - je me dis qu'ils sont peut-être hautement intelligent, d'une intelligence qui dépasse largement la mienne, et qu'il a fait quelque chose que je ne peux pas vraiment comprendre.

    Mais je n'abandonne pas le problème. J'accumule des informations et des témoignages et j'arrive souvent à la conclusion que ces super-experts étaient tout simplement incompétents, quelquefois plus incompétents que des personnes ordinaires. 

    Dans l'affaire de cette campagne de vaccination contre le virus porcin (entre-temps on a ennobli son nom, mais cet adjectif me plaît beaucoup), je considère un épidémiologiste qui dit que 40% de la population alsacienne peut être atteinte, pour bien moins compétent que les quelques 80% des infirmières alsaciennes qui ne se feront pas vacciner.  Ce professeurs est d'ailleurs atteints d'un syndrome qu'on devrait nommer et étudier; je propose : le syndrome du spécialiste; celui, par exemple, qui est équipé d'un marteau et qui finit par voir des clous partout.

    Je suis aussi de l'avis de notre correspondant que la Nature va bien un jour réagir contre l'humanité pour l'empêcher de détruire la création. Encore que la Nature n'est pas à un milliard d'années près et que même si l'humanité arrivait à détruire presque toute la création, il resterait encore assez de gènes pour recommencer à presque zéro, remettre de l'humus et des arbres sur les montagnes dévastées par les humains. 

    Un moyen élégant et efficace de se débarrasser d'une grosse partie de l'humanité est une bonne mutation d'un virus qui réduirait l'humanité de moitié en quelque six mois. Lutter contre cela par une campagne de vaccination mondiale ? C'est déjà cuit. Pour barrer la route à un virus, il faudrait, ai-je lu vacciner 70% de la population d'un seul coup, il faudrait donc 6 milliards x 70% de doses, donc 4,2 milliards. Impossible. On pourrait peu à peu accroître la capacité des laboratoires à produire des vaccins en lançant tous les ans une fausse campagne, sorte d'exercice de musculation. Et il faudrait passer à la vaccination forcée d'une population de plus en plus méfiante. L'OMS, devenu instrument des lobbies de la santé, aurait-elle eu un tel plan ? Peu vraisemblable, à mon avis. 

     M.S.